Friday, October 30, 2009

PQ 30/10

UN HOMME QUE TOUT LE MONDE AFFRONTE

Jr 14-17
VC 15:19
"C'est pourquoi ainsi parle l'Eternel: Si tu reviens à moi, je te ferai revenir à ton poste devant moi; Si tu sépares ce qui est précieux de ce qui est vil, Tu sera comme ma bouche. C'est à eux de revenir à toi, Mais ce n'est pas à toi de revenir à eux."

     Jérémie se lamente de son jour de naissance, car il était un homme de contestation continuelle parmi le peuple. Les gens du peuple ne cesse de le contester et se moquer de lui. Mais l'Eternel promet qu'il sera avec lui, sans cesse. Jérémie réclame qu'il était avec Dieu et qu'il supporte le déshonneur à cause de son nom. Jérémie avec une grande souffrance quand le peuple le contestait. Mais il s'écarte de la foule réjouissante et passa un temps solitaire et médita la parole de Dieu. Pour lui, la parole de Dieu est tellement agréable qu'il est dit, "Je les ai dévorées..." C'était un goût énorme qu'il avait envers la parole de Dieu.
     Puis, Dieu promet qu'il sera sa protection et il délivrerai de toutes les méchancetés des hommes, en le faisant le mur de bronze. Le peuple ne pourra pas l'emporter sur lui, mais il l'emportera sur eux. S'il sépare ce qui est précieux de ce qui est vil, il sera le porte parole de Dieu. Parfois l'homme se confond en ce qui concerne Dieu selon son propre critère, si bien qu'il est difficile de discerner ce qui est vraiment précieux. Après avoir contemplé la parole, Jérémie en arrive à discerner ce qui est précieux et ce qui est vil. Dès qu'il prononce ces mots qui sont jugement de Dieu, les prophètes se mettent à dire, "ne prophétise pas ainsi." Ainsi Jérémie devint un homme de contestation.
     Quand j'ai voulu manger profondément ces jours-ci la parole de Dieu. De plus en plus, j'ai pu discerner la parole de Dieu. C'était un bon goût de Dieu. Or le problème, c'est que ma parole devient plus claire, en ce qui concerne le bien et le mal. Dès que je prononce ces mots, cela commence à gêner certains hommes. On commence à me critiquer. Mais ce qui est précieux est le royaume de Dieu. Les gens cherchent le royaume terrestre, en sorte que leur vie soit confortable et réussie. Mais ce qui est précieux est le royaume de Dieu qui nous est confié pour le prêcher. Parfois nous avons envie de nous compromettre avec le désir du monde ou le désir ce la chair qui est en les brebis. Mais nous sommes appeler pour séparer ce qui est précieux de ce qui est vil. Si nous sommes fidèles pour proclamer cette vérité, quoi que beaucoup de gens nous maudissent et nous contestent, Dieu est à côté de nous et il nous délivre. Les prophètes disaient, "paix, paix," et le peuple aimaient ce genre de message. Mais Dieu dit qu'il sera percé de l'épée et il sera dans la famine et les oiseaux du ciel et les bêtes sauvages les dévoreront. Il est clair que si nous cherchons la paix sans nous repentir, nous périrons sans faute. Le péché du peuple est comme ce qui est gravé dans le coeur comme une pierre grave par le burin. Il n'y a aucun moyen de le convertir. Mais seulement si nous nous mettons confiance en Dieu et marchons, Dieu nous donne la victoire. D'où notre consommation de plus en plus profonde de la parole de Dieu seule. Je décide de ne pas me laisser intimider par les critiques des hommes, mais de manger et dévorer la parole de Dieu, jusqu'à ce que le feu brase mon coeur.
Un mot, tiens toi comme un mur de bronze.

Thursday, October 29, 2009

PQ 28/10

N'Y A-T-IL PLUS DE BEAUME EN GALAAD

Jr 7-9
VC 8:22
"N'y a-t-il plus de baume en Galaad? N'y a-t-il plus de médecin là-bas? Pourquoi donc le rétablissement de la fille de mon peuple ne progresse-t-il pas?"

     A partir du temple qui est la maison de l'Eternel, à cause de la religion compromettante, tout le peuple fut corrompu. Il fut malade de puis la tête jusqu'au plante de pieds. Les leaders profèrent sans regret le mensonge, en disant, "paix, paix." Mais c'était une tromperie par laquelle tout le peuple se corrompait. Dieu s'est résolu de ne pas écouter leur prière. Il a décidé d'envoyer les ennemis au peuple pour le punir par l'épée et de l'amener loin de leur pays en captivité. Jérémie eut coeur brisé, sa souffrance était énorme. Il confesse que son coeur souffre au dedan de lui. Car le tourment de son âme est grand. Puis il se lamente en disant, "N'y a-t-il plus de Baume en Galaade. La Baume en Galaad fut utilisé pour guérir la plaie. La plaie d'Israël était grande à cause de leur méchanceté. Il souffrait sans cesse du sentiment de conscience coupable d'avoir violé la loi de Dieu et d'abandonner Dieu. Dans la terre lointain, la fille de Sion souffre et gémit. A cause de cette punition, la fille de Sion aurait du sentir la guérison. Mais lmalgré la punition de Dieu, le peuple ne se repentit pas, mais s'obstinait dans leur pensée coupable.
     Lorsque dans la calamité, quand le peuple se repend alors le peuple peut avoir la guérison. C'est la baume de Galaad. Mais tant que le peuple ne se repend pas de ses péché, le peuple doit rester continuellement dans le péché et il n'y a pas d'espoir de guérison pour le peuple. La Baume en Galaad est Jésus. Quand nous venons à Jésus avec n'importe quelle péché et n'importe quelle blessure, il nous bande la plaie et il nous guérit. Je me repend de ce que je suis malade de péché. En voyant l'infructuosité des bergers du pays, j'ai été découragé et me suis dit, "Oh Seigneur, jusqu'à quand?" Il me semblait que Dieu ne veuille pas me bénir, moi et mon ministère en France. Depuis quelques temps, surtout depuis que j'ai vu la scène corrompue des hommes politiques, j'ai perdu le goût de joie dans mon âme et m'écriait, "Oh, jusqu'à quand Seigneur..." Alors j'ai voulu être consolé et regardait les bergers, mais je me suis découragé de leur infructuosité. Mais je trouve que je suis dans le tourment. Je suis maintenant plus âgé et j'ai ce sentiment de ne pas accomplir grande chose devant Dieu. Mais en priant, Dieu m'a donné cette parole. Jésus est la Baume en Galaad. Si je viens à lui, il se charge de tous mes fardeaux de la mission et il me fait marcher par la foi jusqu'au bout. Je dois mettre cette Baume sur ma plaie, sinon ma plaie se propage, sans avoir aucun amélioration. Je suis malade à cause de la déception des hommes. Mais ce sur quoi je dois m'appuyer est Dieu et sa parole. Que Dieu remplisse mon coeur de la débordante de joie de le servir et de manger sa parole. Je prie que Dieu guérit ce pays par la Baume en Galaad de Jésus.
Un mot: la Baume ne Galaad prévoit Jésus.

PQ 29/10

UNE ALLIANCE BRISÉE

Jr 10-13
VC 11:4
"Que j'ai prescrite à vos pères, le jour où je les ai fait sortir du pays d'Egypte, du creuset de fer, en disant: Ecoutez ma voix et faites tout ce que je vous prescrirai; Alors vous serez mon peuple, et je serai votre Dieu."

    Tout le peuple devint idolâtre car il eut peur de la terreur de la terre et érigea les idoles avec le bois de la forêt. Ils fabriquent des idoles avec le bois de la forêt, mais Dieu se différencie d'avec les idoles. Nul n'est semblable à toi répète Jérémie. Tous les rois de toutes les nations craindront Dieu, car il n'est pas l'oeuvre d'artiste, il est le Dieu vivant qui créa le ciel et la terre avec toute sa puissance. Jacob est son héritage, le peuple saint à une grande honneur incomparable. Dieu fit d'Israël son premier-né. Mais à cause de son coeur rebelle et orgueilleux, Israël abandonna Dieu et ne l'écouta pas. Jr prie que Dieu le corrige avec équité, car si on le corrige avec la colère, personne ne pourra rester sur la terre.
     Dans le Ch 11, Jérémie parle de l'alliance que Dieu établit avec son peuple. Dieu a délivré son peuple de l'esclavage en Egypte. Puis il dit au peuple; écoutez ma voix et faites tout ce que je vous prescrit: Alors vous serez mon peuple, et je serai votre Dieu. Jérémie disait Amen, car son coeur fut tellement ému à la pensée de cette alliance. Alors Dieu dit à Jérémie de se tenir dans les rues de Jérusalem et crier: Ecoutez les parole de cette alliance et mettez-les en pratique. Mais le peuple n'a pas écouté les paroles, ils sont suivi chacun l'obstination de leur coeur mauvais. Alors Dieu se venge d'eaux, car même s'ils crient Dieu, Dieu ne l'écoute pas. Ils sont devenu comme l'olivier verdoyant, remarquable par la beauté de son fruit. Tel était le nom que Dieu avait donné à son peuple, mais étant brûlé au feu, il est réduit à rien pour qu'il ne soit bon à rien et qu'il ne vaille à rien.
     Dans le Ch 13, cette inutilité du peuple est comparé à une ceinture que Jérémie a acheté par l'ordre de Dieu et qu'il a caché dans le rocher et qu'il trouve de nouveau quelque temps après et qu'il a trouvé inutilisable à cause de l'humidité. Comment ce peuple qui a été héritage éternel de l'Eternel est-il devenu ainsi inutilisable? C'est parce qu'ils n'a pas prêté l'oreille à la parole de promesse.
     Dieu nous a sauvés du péché et nous a établi comme se serviteurs. C'est pour que nous puissions conduire ce peuple à Dieu. Mais nous avons commis le péché, parce que nous avons servi les idoles au lieu de Dieu. Les idoles sont les affaires du monde, la famille, la gloire du monde et la réussite. Beaucoup en les cherchant, oublient la bénédiction de Dieu et devint inutilisables et inutiles. Quand Jérémie prêche cette parole, cette parole étant tellement dur aux oreilles du peuple, celui-ci complotait contre lui, en sorte que le prophète tombe dans la même situation que notre Jésus qui fut amené à la boucherie comme une brebis muette et qui fut retranché de la terre comme une plante fanée. Quand il voulut défier le péché d'idolâtrie du peuple, le peuple dit: "Ne nous prophétise pas." Donc Dieu intervint contre le peuple qui était si orgueilleux et arrogant. Mais Jérémie doit dire la vérité, non  une parole trompeuse et compromettante: ne vous ralliez pas à vos idoles, revenez à Dieu et adorez-le seul. Même si tous quittent Dieu et mêmes les fils le quittent, il doit prononcer la parole du jugement de Dieu au peuple rebelle. Nous devons prononcer la parole de grâce en même temps que la parole du jugement de Dieu. Que Dieu fasse de nous son peuple pur dans cette génération adultère et idolâtre.
Un mot: la parole de l'alliance de Dieu m'est un trésor.

Wednesday, October 28, 2009

Message de 01/11/09


JESUS, LE BON MAÎTRE

Marc 10 :17-31
Verset Clé 10 :18

« Jésus lui dit : Pourquoi m’appelles-tu bon ? Personne n’est bon, si ce n’est Dieu seul. »

            Un jeune homme vint à Jésus et demanda comment gagner le royaume de Dieu. Ne voulez-vous pas gagner le royaume de Dieu ? J’ai demandé à un jeune homme s’il veut gagner le royaume de Dieu. Il m’a répondu avec un grand Oui. C’est très bien. Par cette parole, nous pouvons apprendre d’abord, pourquoi Jésus est digne d’être appelé bon, ensuite que Jésus voulut à cet homme riche en disant, « va et vends.. » Entretemps Jésus enseigna aux disciples le Dieu souverain dont la grandeur est au-delà de notre imagination. Que Dieu vous donne ce matin une parole puissante et précieuse !

D’abord, un jeune homme riche qui questionna Jésus sur la vie éternelle. Regardons le verset 17. « Comme Jésus se mettait en chemin, un homme accourut et, se jetant à genoux devant lui, il lui demanda : Bon Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? » Il était très suppliant, car il se jetait à genoux. C’était un acte d’humilité que de se jeter ainsi à genoux. Nous pouvons le juger en disant que c’est une pure hypocrisie vue la suite de l’histoire. Mais il n’est pas ainsi. La requête qu’il formula était un problème si désespérant de sa vie, qu’il ne put s’empêcher de s’approcher de Jésus de cette manière. Quel était son problème de vie ? « Bon Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle. » En ce qui concerne la culpabilité, il y a deux pathologies selon les psychanalystes. D’abord la psychose, c’est le sentiment de ceux qui n’y entrent pas, et la névrose, c’est le sentiment de ceux qui n’en sortent pas. Freud qui avait dénoncé l’aspect funeste de la culpabilité disait quand même que dans une certaine mesure, la culpabilité est nécessaire. Combien de jeune d’aujourd’hui n’ont moindre sentiment de culpabilité après avoir commis le péché. Ce jeune homme est plutôt ceux de la névrose. Il avait beaucoup de sentiment de culpabilité qui sans cesse le poursuivait. A cause de cela, quoi qu’il ait cet ardent désir d’entrer dans le royaume de Dieu et jouir de la vie éternelle, il n’avait pas d’assurance de cette vie éternelle. Il était un homme riche et il était aussi un homme religieusement correct. Mais son âme souffrait sans cesse sous le lourd joug du sentiment de péché. Il fut constamment poursuivi par la puissance de la mort et la peur du jugement. C’était en fait l’enfer qu’il vécut chaque jour.

            Il est à noter qu’en s’adressant à Jésus, il entama la conversation par cette appellation : « Bon Maître. » Si c’était Pierre, il aurait dit, « Monsieur vous avez bien fait de dire ainsi, car il est bon maître. » Mais Jésus en l’écoutant, commenta cette appellation, en disant, « Pourquoi m’appelles-tu bon ? Personne n’est bon si ce n’est Dieu seul. » Par ces mots, Jésus en dit long qu’il est Dieu, quoique de façon implicite. Beaucoup de contemporains considérait que Jésus est un prophète, un parfait homme, et cela est de même pour aujourd’hui. Mais selon la logique appelé syllogisme, Dieu est bon, l’homme appelle Jésus bon, donc, Jésus est Dieu. Une seule faille, c’est qu’on ne sait pas ce que l’homme dit était vrai. Mais si on voit la Bible, il n’y a personne qui était aussi bon que Jésus. Vraiment sa bonté était parfaite. Il servait des grandes foules par la guérison et le message du pardon et finalement il se sacrifia lui-même sur la croix comme l’agneau de Dieu pour pratiquer ce pardon. Il était le bon berger qui donnait sa vie pour ses brebis. Jésus est vraiment bon et seul Dieu est bon. A la grande méconnaissance de nos contemporains, Jésus est Dieu.  

            C’est vrai que Jésus était Bon maître. Mais le mot bon a une connotation spirituel et profond. La vraie bonté est différent de celle des hommes. Nous pouvons dire qu’il ou elle est un homme ou une femme de bien, un bon homme ou une bonne femme. Mais du point de vue de Dieu personne parmi les hommes n’est bonne. Par exemple, Jésus parlait la semaine dernière des disciples et du père d’un démoniaque. Ils étaient des serviteurs sincères et un père débonnaire. Mais à cause de leur incrédulité et les pensées fatalistes, ils étaient jugés peu bon ou plutôt mauvais pour le fils démoniaque. Ils étaient vraiment sincères et bons à son égard, mais aux yeux de Dieu, il était une race bonne à rien, car ils ne savaient intercéder pour une âme malade. Ainsi la bonté de l’homme est très relative et équivoque. seule la bonté de Dieu est valable, ayant une influence véridique. Dans l’occident, depuis quelques siècles, l’humanisme est rampant. L’humanisme est une idéologie de mettre en valeur la vertu humaine. Les révolutionnistes français l’adoptait au nom de la Raison Suprême, et tentait de le faire prendre la place de Dieu. L’humanisme considère que par l’homme une utopie, une sorte de paradis d’équité et de justice peut se produire au monde. Cet espoir était complètement brisé en passant deux grandes guerres sans précédent du 20e siècle. Mais Jésus dit clairement que personne n’est bon si ce n’est Dieu seul. Si nous sommes chrétiens, nous ne devons pas être humanistes. Nous devons accepter que personne n’est bon et Dieu seul est bon. Nous devons accepter notre état d’un pécheur déchu et nous efforcer de nous pardonner les uns aux autres. Nos contemporains disent, « Bon Dieu ». L’antithès de « Bon Dieu » est « Mauvais pécheur. » 

Ensuite, la barrière de la relation d’amour entre Dieu et le jeune homme riche. Jésus parle maintenant de la 2e moitié de la décalogue. Jésus montra que s’il gardait ces commandements, le jeune homme pourrait entrer dans le royaume de Dieu et il aurait la vie éternelle. La deuxième partie de la décalogue concerne la relation avec les autres, tandis que la première partie était pour la relation avec Dieu, comme nous apprendrons la semaine prochaine, ce décalogue fut bien résumé par le scribe dans son exposé, « Tu aimera ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton âme et de toute ta force et de toute ta pensée. Et tu aimera ton prochain comme toi-même. » Jésus parle seulement cette deuxième partie à cet homme, parce que l’homme a cette preuve qu’il les avait pratiqué parfaitement dans la relation avec ses prochains. Jésus avait visé cela pour lui enseigner quelque chose. L’enseignement de Jésus n’est pas sans objet, mais a toujours un objectif claire. C’est la grande sagesse de Dieu. Quelle était la réponse de l’homme ? Il dit, « Maître, j’ai gardé tout cela dès ma jeunesse. » Il n’y avait pas de problème pour lui de rester intact de la passion de la jeunesse. Il ne regardait même pas la belle femme passante dans la rue, comme si son cœur est un rocher. Toutes les filles, si décolleté soient-elles, n’étaient pour lui que des sacs de chanvre ambulants. Cela ne lui faisait rien. Le vol ou le meurtre n’existaient pas dans son dictionnaire. Le faux témoignage, c’est une horrible pratique impensable. Honorer le père et la mère ? C’est un dernier commandement à enfreindre. Donc, Jésus lui-même mit ce 5e commandement à la dernière place.

Regardez le verset suivant. Jésus, l’ayant regardé l’aima. Jésus vit son âme et elle était à ses yeux trop aimable. Elle luttait si inlassablement pour vaincre sa nature coupable et l’a vaincu presque. Donc, Jésus l’aima. Le fait que Jésus l’aima signifie Jésus s’apprêta à nouer une relation d’amour avec le jeune homme. Et le jeune homme, par son observation stricte, paraît être digne de recevoir cet amour de Jésus. Mais la réalité n’est loin de ça. Jésus tendit son cœur vers l’homme, mais le cœur de l’homme n’est loin d’atteindre ce cœur, en raison de sa chair dominante. L’homme observait tous ces commandements, mais il le fit de façon non spirituelle mais de façon charnelle, en vue de son propre salut. Depuis que l’homme chutait, l’homme devient charnel, car aucun teinte de l’Esprit n’y demeurait. C’est comme Dieu disait au jour de Noé, « mon Esprit ne restera pas toujours dans l’homme, car celui-ci n’est que chair ». Paul disait une fois qu’il avait éduqué si longtemps les chrétiens corinthiens, mais ils restaient toujours chrétiens charnels. Au moment où ils devaient cosommer l’aliment dur, ils restaient encore comme bébé en demandant du lait. Quand un pasteur voulait qu’un de ses fils devienne désormais un berger responsable et fructueux, il rétorqua, « désolé, père, je veux simplement la liberté ». Durant 20 ans de sa vie dans une famille chrétienne, il restait une personne qui cherchait la liberté. C’est la chair. Jésus dit, ce qui est né de la chair est chair et ce qui est né de l’Esprit est Esprit. Il y a une claire dichotomie. Cet homme eut beau avoir apparence d’être revêtu de l’habit religieux et avoir ce noble désir d’obtenir la vie éternelle. Son observation strict n’appartenait qu’à la chair. La vie religieuse sans Esprit est une vie de souffrance infinie. Marc Jr a témoigné pendant Worship Hour, son désir de porter du fruit de l’Esprit qui est amour, paix, patience, bonté, bienveillance, fidélité, douceur, et maitrise de soi. Il était dans la chair autrefois. Mais maintenant, il veut porter du fruit de l’Esprit. C’est un noble désir. Prions pour lui. Venez nombreux à Worship Hour pour l’encourager. Sachez une chose, il y a une abîme infranchissable entre Dieu et vous, qui vous rend fondamentalement incapables de porter du fruit. La repentance sincère et profonde de vos péchés seule vous rend capables de porter du fruit et nouer une relation d’amour avec Dieu. Soyez humbles et venez à Dieu pour confesser vos péchés. Peut-être que vous être reproché par votre mentor, ne vous acroupiez pas, Dieu corrige ceux qu’il aime, venez confesser audacieusement vos péchés par vos témoignages. Vous quitterez l’angoisse de votre vie charnelle et entrerez dans la vie paisible et heureuse gouverné par l’Esprit de Dieu. 

Troisièmement, Jésus demanda la réorientation de la vie du jeune homme riche. Jésus comprit et regarda de front le problème. Donc, Jésus dit à cet homme, « Il te manque une chose ; va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi. » Saint François d’Assis vendit toute sa propriété pour la distribuer aux pauvres avant d’entrer dans un couvent. C’est une très célèbre histoire. Cette parole nous demande-t-elle de suivre tous l’exemple de Saint François ? Quel est votre avis ? A mon avis, non. Que signifie alors cette parole de Jésus faite à ce jeune homme riche.

            C’est le changement de l’orientation de la vie de l’homme que Jésus voulut. Jusqu’à maintenant, son mode de vie était qu’il vivait sa vie pour lui-même. Tous ses activités sont mises sur l’orbite de « je, me, mien. » Son obéissance absolue aux commandements aussi était pour satisfaire ce système, « je, me, mien ». C’est un dilemme de l’être humain. Une femme qui a vécu longtemps sa vie sacrificielle, mais dès que sa fierté fut touchée par un correcteur, retourna à son ancienne vie egocentrique. Cela en dit long du fait que l’homme est foncièrement egocentrique comme la plante de mimosa Méditerranéen dont les feuilles se replient au toucher des hommes. Cet homme restait sans paix et constamment troublé du sentiment de jugement, à cause de ce système de « je, me, mien. » Jésus proposa de vendre sa propriété afin qu’il fasse un virement de sa vie de ce système égocentrique à un nouveau système d’ordre altruiste. Ce virement est très important dans la vie d’un homme. Si je vous pose à ce moment cette question : Vivez-vous une vie egocentrique ou une vie altruiste ? Moitié et moitié ? Il nous paraît que la vie egocentrique soit normale dans ce monde matérialiste et la vie égoïste qui est sa jumelle conduise au bonheur. Ainsi les gens sont acharnés et très sensible pour ce qu’ils reçoivent, mais ils sont très pingres et insensible pour ce qu’ils donnent. C’est un des phénomènes les plus singuliers de nos temps modernes. Mais ce n’est pas seulement les gens modernes, mais vu la réaction des disciples, qui disaient, « qui pourra être sauvé ? » c’est le problème de l’humanité très ancien. Mais Jésus veut que cet homme change son mode de vie. Ou plutôt Jésus impose une condition pour qu’il ait la vie éternelle : la vie altruiste et sacrificielle.

Quatrièmement, les oreilles du disciple. Alors comment pouvons-nous changer notre vie, alors que nous sommes formés depuis notre jeunesse ? Jésus dit à la fin de la phrase, « Puis, viens et suis-moi. » Jésus savait que la vie éternelle peut s’obtenir par le chemin de disciple. Le jeune homme riche voulut obtenir la vie éternelle, mais s’il est possible, il voulut l’acquérir sans suivre Jésus, mais selon Jésus, il faut suivre Jésus. Il n’y a pas d’autre chemin qui rend l’homme possible d’obtenir la vie éternelle que de vivre une vie de disciple. Imaginez que vous êtes devenu un professeur mondialement célèbre dans votre domaine et nominé au prix Nobel. Ce peut être fantastique. Mais si vous n’êtes pas disciple de Jésus, vous êtes malheureusement perdu. Vous êtes privés de la vie éternelle. Donc, il faut venir à Jésus et le suivre. Et pour le suivre, il faut que vous prêtez vos oreilles à sa parole. Proverbe 2 :1 et suivants dit, « Mon fils, si tu reçois mes paroles et si tu retiens en toi mes commandements, si tu prêtes une oreille attentive à la sagesse, et si tu incline ton cœur à la raison… alors tu trouvera la connaissance de Dieu. »

            Surtout, notre Seigneur Jésus qui donne l’entraînement par ses mots qui rechignent nos oreilles, est Bon. Il faut donc mettre la confiance en sa bonté, malgré sa parole dure, comme cet homme licencié qui s’en alla dire pardon au patron injuste dans l’obéissance à son mentor. Cela a pu être lâche, mais Jésus bénit toujours les oreilles attentives quoique les paroles les rechignent. Ce jeune homme riche dont le cœur fut assombri eut raté l’examen d’entrée du cercle supérieur des disciples. Souvent, Jésus ne se plaint pas que nous ne réalisons pas ce qu’il nous demande. Mais ce qu’il veut voir c’est si nous avons la volonté et le zèle de l’écouter. Si nous avons la volonté et le zèle de l’écouter, c’est déjà 19/20 réussi dans son teste. C’est la raison pour laquelle Jésus répète plus de cent fois « Que ceux qui ont les oreilles entendent. » Es 50 : 4b parle par excellence de ces oreilles du disciple, en disant, « Il éveille, chaque matin, il éveille mon oreille, Pour que j’écoute à la manière des disciples. »

            Je me permets de vous poser ce matin cette question ? Avec quelle manière écoutez-vous mon message ? A manière des disciples ou à la manière des mendiants ? Si c’était les oreilles d’un mendiant, vous ramasserai ce qui vous convient et rejetterez ce qui vous gêne. Cerrains écoutent la parole par l’oreille droite et la font sortir par l’oreille gauche. Ainsi, déjà le lendemain, ils n’ont plus de souvenir de ce qu’il ont entendu la veille. Ce n’est pas une bonne manière d’écouter. La manière d’écouter du disciple est de digérer même des mots difficiles. « Va, vends,… » Quels durs mots ! « Va, travaille durement le matin et le soir… pour ta famille et pour Dieu. » Quels mots durs ! Mais si tout cela arrive jusqu’à nos oreilles, c’est à cause de la bonne volonté de notre maître, afin qu’en la pratiquant, nous puissions renoncer à nous-mêmes et nous puissions grandir comme des généraux, pas nous planter comme des pions. Le phénomène de suicide en chaîne de ces jours fait le peuple français commencer à sentir qu’il a besoin d’une certaine discipline. Mais pour qu’il soit un peuple d’un instrument de Dieu, il faut qu’il reçoive la divine discipline. C’est comme si Israël fut entraîné pendant 40 ans dans le désert. C’était dur, mais c’était nécessaire pour qu’il devienne le royaume de sacrificateurs et une nation sainte. Les Français sont un peuple libre. Mais si nous voulons être utilisé précieusement par Dieu, être un peuple libre peut être un handicap. Il faut que chacun soit discipliné. Discipliné en quoi ? A mon avis, la fidélité est un des sujets les plus demandés d’entraînement pour le peuple de Dieu. Car la Bible dit, « ce qu’on demande d’être administrateurs, c’est que chacun soit trouvé fidèle. » Par nature, nous sommes infidèle, mais comme notre Dieu est fidèle, nous avons pour vocation cet apprentissage durant toute la vie de sa fidélité. La fidélité n’est pas un mot trop agréable aux oreilles de nos contemporains. Cela est vrai. Une fille se vantait, « j’étais jamais fidèle à une chose. » L’apprentissage de fidélité nous paraît coûter une fortune de vie. Une fois, les disciples disaient, « s’il en est ainsi, il vaut ne pas se marier. » Mais ce n’est pas le cas. Cette discipline de fidélité est si gracieuse. Quand nous l’apprenons, une joie indicible surgit en nous. Si un peuple n’est pas discipliné, la Bible dit, « son espoir s’évanouit ». Nous devons penser à notre héritage à laisser pour la prochaine génération qui va diriger notre nation. Notre discipline n’est pas seulement pour notre propre génération. Si nous nous disciplinons, Dieu bénit notre prochaine génération.     

Cinquièmemen, tout es possible à Dieu. Maintenant Jésus explique comment un riche peut entrer difficilement dans le royaume de Dieu. Le verset 23 dit, « Jésus regardant autour de lui, dit à ses disciples : Qu’il est difficile à ceux qui ont des biens d’entrer dans le royaume de Dieu ! » Aux disciples qui furent stupéfaits, Jésus expliqua ce fait par le biais d’une parabole du chameau et du trou de l’aiguille, pour faire ressortir la quasi impossibilité pour un riche d’entrer dans le royaume de Dieu. Jésus dit, « Il est plus facile à un chameau de passer par le trou de l’aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu. » Maintenant les disciples s’étonnait encore davantage, et se disaient les uns aux autres : Alors, qui peut être sauvé ?

            Que dit Jésus ? Il dit, « Cela est impossible aux hommes, mais non à Dieu, car tout est possible à Dieu. » Quand Jésus dit cela, il n’a pas mis la condition comme la semaine dernière, « à celui qui croit. » Tout est possible à Dieu, car Dieu est le créateur. Même si personne ne l’espère, si Dieu le veut, il peut rendre possible ce qui est impossible aux hommes. Par exemple, lors de la captivité en Babylone, le peuple était plus que souffrant sous le joug d’oppresseurs. On ne savait quand cela se terminerait. Il perdit tout l’espoir de la délivrance. Mais Dieu avait décidé de changer la situation. Il toucha l’empéreur perse Cyrus et fit revenir son peuple au territoire de leurs pères. Le prophète Esaïe décrit ce changement à venir en disant, « Je mettrai un chemin dans le désert et des fleuves dans la terre aride. Les animaux des champs me glorifieront, les chacals et les autruches, car j’aurai mis des eaux dans le désert, des fleuves dans la terre aride. » Dieu est au-dessus de tout homme. Il est inimaginablement grand et inimaginablement haut au-dessus de toutes choses. Il ne dépend même pas de la foi d’un homme. Les hommes s’assombrient facilement devant la réalité froide à cause de sa pensée négative. Mais en Dieu tout est possible. « Nothing in impossible in God. »

            Les gens disent qu’on peut acheter tout avec l’argent. Mais on ne peux rien acheter ce qui touche au spirituel. Plutôt l’argent est un chemin de perdition pour l’âme, comme nous le voyons dans ce récit. Mais quand Jésus rend visite chez quelqu’un, il peut être changé. Nous pouvons avoir beaucoup de raisonnement en ce qui concerne les gens sauvés. On peut facilement catégoriser les gens pour exclure certains du salut et y inclure certains. Mais, Dieu n’a pas de limite. Il peut accorder le salut à qui il veut. Nous devons prier, car on ne sait vraiment pas la volonté de Dieu. En Angleterre, le berger Ian voulut faire un détour quand un jeune homme à long cheveux s’approche et se disait qu’il serait un dernier type évangélisable. Mais quelques mois après, il fut pêché par son propre père et il devint un fidèle disciple de Jésus et devint le deuxième protagoniste de l’histoire rédemptrice de CBC de l’Angleterre. Les étudiants d’un école préstigieux ne semblent manquer de rien. Il paraît impossible de les évangéliser. Mais en allant dans l’école, un homme commença à prier. C’est le commencement du ministère de Dieu. Chacun de nos disciples doit voir beaucoup de vision, même tous les étudiants de leur école venir étudier la Bible. Les français dans leur haute culture sont semblables à ce jeune homme riche. Il nous paraît impossible de les évangéliser. Puis nos cœurs s’assombrissent et nous sentons que nos membres du corps s’apesantissent  d’une impuissance. Mais il faut croire qu’il est impossible aux hommes, mais possible à Dieu et prier. Que Dieu nous donne cette foi et la vision qui y correnspond cette année pour amener son peuple à Dieu. Amen. 

Sixièmement, la récompense de Dieu promise aux disciples fidèles. La confession de Pierre dans le verset 28 nous montre à quelle résolution Pierre marchait par la foi. Il n’était point riche, car il avait abandonné sa richesse et même sa famille pour suivre Jésus. Il s’appauvrit pour Dieu. Il est notoire qu’il avait encore cette envie résiduelle de la richesse du monde, pour qu’il dise, « alos dans ce cas qui pourra être sauvé ? » Pourtant, il pensait qu’il pourrait réclamer le salut, car il avait tout abandonné pour suivre Jésus. Jésus lui-même savait quelle vie il décidait de vivre. Jésus les consola en disant qu’ils seraient récompensés dans l’avenir, eux qui avaient abandonné tout dans le passé et le présent. Ils étaient ceux qui ont quitté leur membres de famille et les biens matériels de la terre. Entre-temps, ils eurent quelque sentiment de perte en eux. Mais Jésus les assura en disant qu’ils auraient la récompense de leur vie sacrificielle. Un de nos frères dans l’exposé de CBA, il avait beaucoup d’amis comme sont inscrits leurs noms dans son téléphone portable. Mais il confesse que souvent la relation avec eux est délicate et en Jésus il trouve les vrais amis, y compris l’équipe instrumental de l’animation. Son visage souriant qui était autrefois souvent sombre donne beaucoup de grâce aux frères et sœurs de l’église. Dans l’amitié en Christ, son âme se met à s’épanouir. La communauté lui donna pour ainsi dire la saveur de la vie. La premier phrase de Jésus est écrit sous forme d’énumération des choses sans article. Mais la seconde phrase est écrits avec des articles pluriels indéfinis. Si nous perdons un ami, Dieu nous donne des amis en centaine d’autres en Dieu. Donc la décision de suivre Jésus est propice.

Septièmement, l’homme a l’instint de trouver un maître. Je voudrais réfléchir avant de conclure mon message sur le mot maître. Le maître est un mot fort en français. On l’utilise partout, le maître d’école, le maître d’avocat, même les contremaîtres. Mais qu’est-ce que ce mot veut dire vraiment ? C’est le maître qui peut influer sur toute notre vie. Nous le cherchons à notre conscient et inconscient, comme ce jeune homme riche. Ce n’est pas un homme qui me transmet la connaissance intellectuelle, mais un homme qui peut vraiment influer sur ma vie. Qui est-il ? En terme de CBC, ce peut être un enseignant. Mais le terme de maître est à mon avis plus fort que cela. C’est tout simplement un maître. Un bon maître. L’homme peut-il être bon ? La réponse de Jésus est assez septique, car l’homme est par nature une des créatures déchues. Nous pouvons embellir la vie d’un grand maître, mais le maître humain ne peut être parfaitement bon. Mais si le bon Dieu est avec lui, à mon avis lui aussi peut être bon et influent. J’ai mis dans mon blog deux gracieux témoignages de M. Timothée et M. Estéban de l’Amérique du sud présentés à l’occasion de Foundation day. Si nous les lisons, nous trouvons vite que feu Dr. Samuel Lee était leur bon maître. Dr. Samuel Lee n’a pas eu beaucoup d’occasion de parler avec eux sauf deux ou trois fois lors du grand assemblement international. Mais son influence spirituel a marqué leur vie, afin qu’ils puissent consacrer leur vie et qu’ils deviennent tous de grands et puissants serviteurs de Dieu de leur continent. C’est ça l’influence. Mais combien de fois dans notre vie pouvons-nous bénéficier de ce genre de faveur ? Les Douze sont les personnes les plus enviés du monde, car ils étaient accompagnés nuit et jour par le maître de l’univers. Ah ! ne serait-ce que quelques jours, si un homme est accompagné par un vrai maître qui lui donnera le vrai sens de vie ! Mais hélas ! cela est d’une extrême rareté !

            J’avais ce grand envie de rencontrer un maître dans ma vie. Quand je suis entré dans l’université de Séoul, je n’ai pas de vrai sens de ma vie. Après une lutte inlassable de nuit et jour pendant le lycée, j’ai pu enfin y entrer, mais j’étais comme une brebis perdue. La lutte pour la concurrence acharnée étant finie, mon cœur eut ce creux indescriptible. Je vagabondait sans trop savoir quoi faire jour et nuit ici et là dans les rues de Séoul, en consomant l’alcool et la cigarette. On dirait que j’étais un intellectuel que tout le monde de la Corée enviait, c’était une bonne école. Mais au fond de moi, j’étais un hédoniste intellectuel. En tout cas, j’étais heureux d’être avec les gens intellectuels comme moi, je le dis parce que j’étais assez orgueilleux de ça, franchement. J’ai vagabondé la nuit dans les rues de Séoul, mais le jour, je veux être démarqué par la grande intellectualité. Mais je ne put trouver la personne qui peut me conduire comme mon maître. J’ai rencontré beaucoup d’amis qui avaient le même désir que moi. Et nous avons formé un cercle de recherche de la vérité avec un nom de « cents écoles philosophiques » selon le nom donné aux philosophes à la période des printemps et des automnes de la chine. Nous avons lu les livres philosophiques de la Chine et des pays occidentaux et louant une salle comme salle de Tyranus dans Act 19 de la Bible, avons une réunion régulière pour la discussion. 

            Mais tous ces débats de grands philosophes ne pouvaient me satisfaire. Plutôt, plus je lisais les livres, plus mon âme semblait assoiffés et creux. Entre temps, j’avais toujours un certain respect du christianisme. J’ai entendu d’un maître qui enseignait la bonne voie de Dieu aux disciples. Mon cœur était si sombre à cause du non sens de vie à l’époque. En errant dans le crépuscule des rues de Séoul, j’entrais dans la salle de culte des églises locales et s’asseyait dans l’obscurité long laps de temps et sortais. Malgré mon désir de trouver un maître, il n’y avait personne qui puisse me conduire. Quand je suis venu en France, j’ai voulu aller dans un lieu qu’on ne connaît pas un endroit bien isolé. A côté des mes camarades qui choisissent l’école prestigieux de Paris, j’ai pris le train pour me ‘réfugier’ dans une université d’une campagne perdue. Ca m’était franchement égal, car d’une manière ou d’une autre, la vie semblait être perdue. Je savais que la raison de mon séjour en France n’était qu’une obtention d’un diplôme qui servira quelque part dans mon avenir. J’ai jamais espéré rencontrer un maître qui puisse influer dans ma vie. Cinq ans sont passées. Après la vie de Paris, je suis revenu à la même région. Malgré que la raison de la descente de cette ville fusse pour la finition de ma thèse, mon cœur était rempli de la tristesse à cause de l’échec apparent de ma spiritualité. J’étais désolé de mon berger que je devais le quitter sans lui laisser un disciple à Paris. C’est à peu près à cette époque que j’ai pris connaissance de Dr Samuel Lee. Je n’ai aucune relation avec lui. A l’époque, je pionniais la ville de Marseille et j’étais solitaire avec ma femme et mes deux enfants. Mais quand je suis seul loin des collaborateurs, je suis devenu sans appui. Je priais beaucoup que Dieu m’aide. Au fur et à mesure que le temps passait, j’ai pu reconnaître que d’être appelé à servir la mission de Dieu dans une des villes inconnues de l’étranger au nom de Jésus, mon Sauveur était une grâce immuable. La vie commença à me revenir et me rechauffer. J’ai pu réfléchir sur ma vie qui était perdue dans cette région solitaire il y eut 5 ans, mais maintenant revint là retrouvé. C’était grâce à l’appel du Seigneur que j’étais sauvé de mes péchés. Dans la solitude, j’ai pu contempler cette grâce que mon Seigneur m’a donné à travers l’église de CBC. La grâce inondait chaque jour dans mon cœur. Il avait envoyé son serviteur et m’a invité à l’étude de la Bible, m’avait invité à chaque conférence biblique allemand, à faire collaborer pendant 5 ans à Paris, et maintenant, en me jugeant digne d’être pionnier m’avait envoyé à cette ville pour m’occuper des âmes souffrantes. C’était grâce sur grâce, cet appel immérité, à moi qui était si misérable. Quand cette grâce m’avait envahi, j’ai versé beaucoup de larme. Et mon cœur fut rempli du remerciement envers le serviteur qui avait fondé ce mouvement des étudiants. Alors, j’ai acheté une longue parapluie pour laquelle j’ai dépensé malgré ma bourse si pauvre – elle était made in France et l’emballa si précieusement puis en marquant son nom en dur et grand caractère avec le marqueur et l’envoya aux Etats-Unis avec mes mots de remerciement.Il semble que ce cadeau a attiré l’attention de Dr Samuel Lee et quelques temps après, le message de Chicago se mit à être envoyés à une adresse d’une ville de Méditerranée de France. J’étais si heureux de pouvoir recevoir le message d’un serviteur de Dieu. Puis ce message me parvenait jusqu’à ce qu’il fut décédé, donc pendant dix ans. Je les lisait chaque semaine avec une grande soif et je me suis plongé dans son enseignement chaque semaine. Je me suis laisser entraîner en quelque sorte par son message durant mes années de pionnier. Comme M.Timothée et Esteban, moi aussi, je n’ai pas beaucoup d’occasion de parler avec lui, sauf que je l’ai regardé de loin. Ma femme a prié avec lui, mais moi non. Et c’est tout. Pendant la dernière année, il fut dans le tourment de l’accusation de ses anciens amis. Et je l’ai vu pour la dernière fois. Je ne peux oublier sa silhouette quand il regardait par la fenêtre seul l’extérieur et en ressentant l’existence d’une personne dans le couloir, il s’esquiva vers sa chambre. Il était un serviteur solitaire abandonné par ses collaborateurs. Mais il était un maître qui avait influé sur la vie d’innombrables personnes de la Corée et des Etats-Unis. J’ai laissé ma femme à Chicago quand je retourna en France après la conférence, car ma famille et mon ministère était dans le tourment à l’époque, pour qu’elle ait l’encouragement. Mais je ne savais pas que c’était la dernière fois de voir ce grand maître. Il m’a appelé une fois quand j’étais dans le tourment du travail en cours du processus du licenciement. Il m’a donné la direction de comment agir vis-à-vis de la direction quand celle-ci me paraissait injuste. Je lui obéit. C’était la dernière occasion de parler avec lui. Maintenant je reconnaît que je suis un homme heureux, car j’ai pu goûter de la grandeur d’un homme dans ma courte vie. J’ai cette exemple à suivre. J’ai traversé pas mal de tribulations dans ma vie. Mais j’ai cet exemple d’un maître pour que je me tienne et suive continuellement Jésus. Je remercie Dieu qui a eu pitié de mon petit cœur de remerciement envers le serviteur et me l’a permis comme mon mentor pendant quelques temps sur la terre. Ce mentor est passé au ciel. Puis je l’ai vu une fois dans mon rêve quand ma mère fut décédé. En tout cas, il m’a laissé un héritage : sois fidèle jusqu’à la mort. Il était un intermédiaire afin que j’ai ce maître infiniment fidèle, Jésus-Christ mon Seigneur.  

Jésus conclut en disant, « Plusieurs des premiers seront les derniers, et les derniers seront les premiers. » Quand les disciples avaient quitté la maison et la terre, et le bateau de pêche, il semblait qu’ils deviennent les derniers personnes de ce monde, comme un ruiné du monde. Mais ce n’était pas le cas. Ils vivaient une vie pauvre avec Jésus. Mais ils étaient les hommes les plus riches du monde. Car ils seront les premiers dans le royaume de Dieu et gouverneront chacun des grandes villes de la cité. Donc, nous n’avons pas besoin de nous décourager à cause de notre situation actuelle apauvrie. Nous devons regarder en face et marcher, jusqu’à ce que Dieu nous donne la récompense promise. Paul dit, dans la partie concluant de sa première épître à Timothée au sujet des biens matériels, ces mots suivants qui selon moi peuvent servir des mots excellents pour la conclusion de mon message. Ecoutez-les. « Recommande aux riches du présent siècle de ne pas être orgueilleux et de ne pas mettre leur espérance dans des richesses incertaines, mais de la mettre en Dieu qui nous donne tout avec abondance, pour que nous en jouissions. » Les disciples de Jésus disaient, « qui pourra être sauvé ? » Mais Beaucoup de riches furent convertis en Christ. C’est l’œuvre puissante de Dieu. Quand Jésus dit au jeune homme riche, « va et vends… », ce n’est pas pour lui enlever les biens matériels mais pour que le jeune homme riche ait l’espérance vivante dans le royaume de Dieu, non dans des choses périssables de ce monde et vive une vie donnatrice pour le besoin des autres. Allelouia !


Monday, October 26, 2009

questionnaire pour 08/11/09

JESUS, BON SAMARITAIN

Luc 10:25-37
Verset Clé 10:33

1. Lisez le verset 25. Quelle même question posa le scribe que le jeune homme riche de Mc 10? Quelle est la différence de l'appellation par rapport à lui? Comment Jésus répondit-il différemment que dans le cas du jeune homme?

2. Lisez le verset 27. Comment le scribe résuma-t-il la loi? Que dit Jésus? Que signifie "fais cela" et "tu vivras"? Quel est le motif de la question du scribe concernant le prochain? (29)

3. Lisez les versets 28-32. Quelle était, dans la parabole, la réaction des deux leaders religieux envers celui qui fut blessé à mi mort par les mains des brigands? Comment par cet acte leur problème fondamental fut-il révélé?

4. Lisez les versets 33-35. Quel sentiment le samaritain, quand il le vit, eut-il envers l'homme blessé? Pouvez-vous décrire ce sentiment de façon plus saisissable? Que fit-il concrètement pour sauver l'homme blessé? En quoi cet acte ressemble-t-il à celui du serviteur souffrant, Jésus?

5. Lisez 36-37. Lequel de ces trois personnes s'avérait-il être le prochain de celui qui était tombé blessé? Que dit Jésus envers le scribe qui lui donne la bonne réponse?

Amour de Noël pour les personnes âgées et isolés



La maltraitance contre les personnes âgées prend de l'ampleur

Une violence qui n'est pas seulement physique mais aussi financière

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l est une actualité qui fait débat : celle des prisons. A l'inadaptation et à la vétusté des locaux, à la surpopulation carcérale, à l'augmentation des suicides, au malaise de l'administration pénitentiaire, on peut ajouter la situation de ces vieux prisonniers qui ont purgé leur peine et qui restent en prison, car on ne sait où les mettre.
Il y en aurait environ 500 pour lesquels la prison sert de maison de retraite, d'Etablissement d'hébergement pour prisonniers âgés dépendants (EHPAD). De maltraitants à une époque de leur vie, ils sont devenus maltraités, alimentant un peu plus le champ déjà bien rempli de la maltraitance.
Parallèlement à la maltraitance des enfants, celle des personnes âgées apparaît de plus en plus émergente. Surtout dans sa fréquence. Son risque d'augmentation, parallèle à celle des personnes âgées, est une réalité. Ainsi, en 2015, il est prévu, dans notre pays, plus de 2 millions de personnes âgées de plus de 85 ans. L'indigence des chiffres officiels n'a d'équivalent que leur caractère on ne peut plus flou. Les seuls chiffres dont on dispose sont issus des données d'Allô maltraitance des personnes âgées (ALMA) recueillies en 2001 !
On relève notamment que les cas de maltraitance sont plus fréquents au domicile : 67 %, contre 29 % en établissement d'hébergement. A ceci près que l'enquête se garde bien de préciser que sur les 2,1 millions de personnes de plus de 80 ans recensées à la même époque, seules 20 % étaient hébergées en institution. De même, en 2000, on retrouve une enquête départementale réalisée par une équipe hospitalière de Lille et, en 2005, une enquête qualitative nationale réalisée par la direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Dress) et, depuis, plus rien.
Etonnant domaine que celui de la maltraitance en général et des personnes âgées en particulier. On peut ainsi distinguer deux grands types de maltraitance : une macromaltraitance, celle de la violence, pas uniquement physique, qui demande plus à être reconnue que discutée, et une micromaltraitance. Celle-ci est bien plus insidieuse, quotidienne, d'une certaine façon perverse, car souvent inconsciente, mais surtout plus grave que la précédente, car quotidienne et tout aussi mortelle. Elle correspond à l'addition de multiples dysfonctionnements qui, pris isolément, paraissent anodins mais qui, additionnés, se révèlent délétères. Et, de toute façon, grevés d'un pronostic vital bien plus désastreux qu'une canicule même sévère.
Ces dysfonctionnements sont multiples : ils vont de la perte de la prothèse dentaire, d'une toilette faite à la va-vite, de médicaments laissés sur la tablette, l'initiative de leur prise étant laissée au patient, en passant par une macération dans des draps souillés par des urines et ou des matières fécales, une camisole chimique, des décalages horaires dans les soins d'hygiène, l'administration des médicaments, des repas et autres. La liste est longue... La synthèse de tous ces dysfonctionnements peut se résumer ainsi : ce sont des personnes qui sont prises en charge comme des " non-personnes ". Un type de maltraitance particulier est également à relever, car prenant de plus en plus d'importance et grave par ses conséquences létales : la maltraitance financière.
On estime ainsi que, dans les années à venir, une personne de plus de 65 ans sur cinq ou six en sera victime, les femmes et les sujets en perte d'autonomie en priorité. Aux Etats-Unis, on évalue à plus de 5 millions le nombre des victimes, chiffre à l'évidence sous-évalué dans la mesure où nombre d'entre elles se taisent soit par honte d'avoir été dupées, soit surtout par inconscience du préjudice. L'ampleur du phénomène a même conduit à faire passer la maltraitance financière du domaine du droit civil dans le champ du droit pénal. Il devient, par suite, légitime de se demander quelle peut être la signification d'une démarche dont a priori on peut avoir des difficultés à comprendre le sens dans la mesure où elle s'inscrit en contradiction avec une volonté affichée de prolonger la vie et le confort des individus. Il n'est alors pas sans intérêt de faire référence aux travaux psycho-comportementaux menés dans les années 1960, à l'université de Yale, par Stanley Milgram.
On connaît la célèbre expérience au cours de laquelle un sujet initialement réticent à envoyer, sur ordre, des impulsions électriques douloureuses (en fait il s'agit de pseudo-impulsions, mais le sujet ne le sait pas) à un autre sujet finit par véritablement prendre goût à l'envoi des impulsions et à la souffrance ainsi induite. Cette présentation certes résumée de l'expérience rappelle, néanmoins, la propension de l'être humain à être maltraitant pour ses semblables.
C'est dans ce sens que l'on peut dire que la maltraitance est une maladie sociale non infectieuse, mais contagieuse et transmissible. Qu'il est possible d'être inconsciemment maltraitant, ne serait-ce que par maladresse, mais que l'on peut aussi y prendre du plaisir. Qu'un ordre donné émanant d'une personne ayant autorité peut obérer tout sens moral et représenter un excellent alibi d'exécution. Une formation spécifique à la prise en charge des personnes âgées devient donc indispensable, un simple bénévolat étant appréciable mais bien insuffisant.
Or, quel que soit l'endroit de la planète, on s'aperçoit que les comportements de maltraitance sont ubiquitaires. L'instauration d'un contre-feu devient donc nécessaire. Son efficacité sera en grande partie dépendante de ses acteurs. Ces derniers peuvent être issus d'horizons professionnels variés. Toutefois, de par leur formation, leur territoire d'exercice, leur contact permanent et quotidien avec la population, avec sa souffrance, les médecins ont et doivent y occuper une place privilégiée.
Ce n'est pas forcément le cas actuellement. Mal préparés par des études inadaptées à une réalité sociale sans cesse en évolution, nombre de médecins se sentent désemparés devant les situations de maltraitance. Une pédagogie de diagnostic et de soins est certes nécessaire, mais elle ne représente qu'une formation incomplète si elle ne s'accompagne pas de l'apprentissage des mesures permettant la resocialisation des patients.
Il n'en demeure pas moins que les médecins possèdent de par leur exercice l'avantage d'un prérequis socioprofessionnel. Le devoir de signalement ne doit pas être vécu comme un acte de délation, mais comme la première étape d'une démarche thérapeutique efficace. Un certificat médical adressé au Centre communal d'action sociale (CCAS) de la mairie de secteur, structure qui dispose d'un espace service aînés, permet le déclenchement d'une enquête sociale. Complémentaire de cette démarche, une stratégie d'information va s'avérer intéressante.
Elle s'inscrit dans la relation médecin-patient. Elle a pour but de développer avec les familles une communication par laquelle il devient possible d'expliquer l'importance d'une osmose intergénérationnelle, par exemple. On a trop eu tendance à oublier ce rôle de lien social que la médecine a vocation à assumer. Il est temps qu'elle retrouve cette dimension humaine que l'essor technologique a eu tendance à lui faire oublier.
A quoi sert-il de soigner des personnes âgées si elles continuent à être confinées dans des conditions de maltraitance qui auront pour effet des rechutes, des récidives et, à terme, une évolution fatale dans la douleur et l'indignité ? Mourir, oui ; crever, non. Entre ces deux états certes identiques par le résultat, il existe une différence essentielle, celle d'une dimension éthique indispensable à la bonne santé d'une société.
La meilleure arme contre la maltraitance réside dans l'avènement de comportements adaptés, de l'éclosion d'une culture, notamment gériatrique, en se gardant d'oublier cette pensée d'André Malraux : " La culture, ça ne s'hérite pas, ça se conquiert. " Cette conquête ne peut que renforcer le lien social et donner tout son sens à cette réflexion de ce vieux sage africain, Hamadou Ampate Bâ : " La qualité d'une société se reconnaît à la façon dont elle traite ses vieux. " Et peut-être aussi ses vieux prisonniers.
Jacques Soubeyrand


Chef du service de médecine interne et gériatrie
à l'hôpital Sainte-Marguerite
de Marseille

PQ 26/10

CIRCONCISEZ VOS COEURS

Jr 4-6
VC 5:1
"Parcourez les rues de Jérusalem, Regardez, informez-vous, Cherchez sur les places, s'il s'y trouve un homme, s'il y en a un qui mette le droit en pratique, qui recherche la fidélité et je pardonne à Jérusalem."

     Jérémie, devant la menace imminente de l'invasion de l'ennemi, prévient au peuple, d'être circoncire le coeur pour l'Eternel. Il dit, "Soyez circoncis pour l'Eternel, Circoncisez vos coeurs Hommes de Judas et habitants de Jérusalem, de peur que ma fureur n'éclate comme un feu et ne s'enflamme. Sans qu'on puisse éteindre, à cause de la méchanceté de vos agissements." A cause de cette méchanceté, finalement les ennemis envahissaient et dévastaient le pays. La tristesse du prophète était débordante, à a vue du peuple qui s'engouffre de plus en plus dans le mal. Elle pénètre jusqu'à son coeur et fait gémir: Mes entrailles! mes entrailles! Je souffre de toutes les faiblesses de mon coeur.
     Comme autrefois Sodome et Gomorrhe, Dieu promit qu'il épargnerait le peuple à condition qu'il s'y trouve un homme qui pratique le droit, quoi que cette condition soit beaucoup plus atténuante par rapport à ces villes maudites. Le pays est en plein d'idolâtrie, de prostitution et d'adultère et dit depuis le pauvre jusqu'au grand: Il n'existe pas et le malheur ne viendra pas sur nous. La nation envahissante va dévorer le pays, tous les récoltes du pays. La raison fondamentale de cette calamité est marqué dans 6:10. "Voici que leur oreille n'est pas circoncise, et qu'ils sont incapable d'être attentifs. Voici la parole de l'Eternel est pour eux un déshonneur. Ils n'y trouvent aucun plaisir. Des prophètes prophétisent faussement en disant: Paix, Paix. Mais il n'y a point de paix.
     Par la parole d'aujourd'hui, j'apprend qu'il ne faut pas endurcir e coeur devant la parole de Dieu. Il faut se convertir et circoncire le coeur pour pratiquer la justice. Devant la parole de combien y a-t-il de temps que cela lui arrive, Dieu m'a aidé à réfléchir sur mes faiblesses chroniques. J'ai cette mauvaise habitude de tourner les chaînes de TV pour satisfaire ma curiosité visuelle. Je me repends de cette tendance de chair qui m'a induit dans la tentation. Je prie que je puisse être veillé pour ne pas me donner à la consolation humaine et sentimentale, mais pratiquer la justice de Dieu dans tous les coins de ma vie. Je trouve qu'il y a des péchés et des maladies chroniques pour certains de nos membres de l'assemblée. Il faut qu'ils soient attentifs à la parole de Dieu et diligenter pour se repentir sincèrement et humblement devant la parole de Dieu. Que leur maladie soit guérie pleinement par la puissance de la parole de Dieu.
     Nous sommes impuissant devant la vague d'impiété du monde. Mais nous devons avoir le coeur de berger et prier pour le monde qui est souffrant à cause de son péché. Je me repends de ce que je n'ai pas pu garder le coeur de berger jusqu'à bout en me disant, "Jusqu'à quand et jusqu'au où." Mais Jésus a renouvelé encore ma force, afin que je puisse servir cette nation jusqu'au bout, jusqu'au terme de ton temps qui m'est désigné. Je prie que tous nos collaborateurs puissent concevoir le coeur de berger pour cette génération pécheresse.
Un mot: Un homme qui met en pratique le droit

Saturday, October 24, 2009

message de 25/10/09


LA PRIÈRE, RIEN QUE LA PRIÈRE

Marc 9 :14-29
Verset Clé 9 :29

« Il leur dit : Cette espèce (de démon) ne peut sortir que par la prière. »

Pierre Soulages, un peintre français moderne célèbre dit qu’il sent du profond noir sortir une espèce de lumière. Il utilise le terme « outrenoir » comme le plus profond noir et l’utilse dans ses tableaux qui ne sont que les lignes et les formes en noir. Pour lui le noir était une couleur, comme nous avons appris la semaine dernière que Marc dit que le blanc est une couleur. Le noir de Soulages représente la couleur des gens modernes d’après guerre. Deux côtés de Rhin en europe se revêtirent de cette couleur. Mais surtout, nous voyons que dans son cœur se dresse cette couleur noir, comme Sainte Beuve disait que l’ouvrage d’un auteur n’a qu’à révéler sa vie elle-même. Dans son témoignage, Soulages dit, qu’il n’appartient à aucun groupe et cette appartenance, il ne peut la supporter. Il barre de mur le côté de la mer de son atelier pour qu’il soit bloqué de tout contact humain pendant son travail. J’ai pu voir que là se trouve une sorte de psychologie européen après guerre ; isolation et individualisme. Les européens s’asseoirent dans un fatalisme noir qui dépasse, si je cite le terme de Scheffer, la ligne de désespoir. Mais Soulages voit dans sa vieillesse quelque lumière s’épancher du fond de noir. Cette lumière est d’autant plus éblouisante qu’elle est entrourée du noir. Ses tableaux n’ont presque aucune titres, si ce n’est un comentaire pour les ouvrages regroupés. Il dit qu’il est en train de créer un espace avec ce qu’il appelait regardeurs. Jésus était replendissant en blancheur, et cette couleur était d’autant plus brillante que le fond du monde était ‘outrenoir’. Ce noir profond est une couleur de fond du récit d’aujourd’hui du démoniaque guérie. 

Regardez le verset 14. Jésus et ses trois premiers disciples descendirent de la montagne. Jésus amena ses trois premiers disciples sur la montagne. Jésus se mit à donner une forte impression depuis quelques temps qu’il sépara les groupes avec une apparente préférence. Quoi que Jésus aimât tous les disciples, Dieu mit un certain ordre au milieu de sa bande. C’était selon la souveraine volonté de Dieu que ces trois hommes furent choisis. Donc, nous ne pouvons pas dire pourquoi lui, pas moi. En tant qu’homme, donc nous ne pouvons imaginer quel est son critère du choix, sinon que nous ne pouvons que conjectuer. Cela ne semblait pas suivre l’ancienneté, car André ayant  conduit Pierre, elle était plus ancien que Pierre et il ne semble pas non plus que la foi soit une critère, car André avait une excellente foi d’apporter 5 pains et 2 poissons plus que Jean ou Jacques. Mais Jésus choisit les hommes commes il le veut. C’est le mystère de Dieu. L’établissement des hommes dans l’ordre est une nécessité, car Jésus partira bientôt et la communauté eut besoin d’un ordre dans le combat de Dieu. Et à mon avis, ces trois premiers étaient les gens les plus zélés d’accomplir la mission ou les plus volontaires de se donner. Dans ce monde où l’anonymat domine, la compagnie de Jésus risque de se tourner comme la société anonyme. Mais Pierre s’avança toujours le premier pour proclamer la vérité. Il leva la main quand un bénévole fut demandé, « moi, moi » Jean avait cette confiance incomparable en l’amour de son maître et quant à Jacques, il était digne d’être parmi les premiers car il fut le premier martyr qui était certainement la conséquence de son zèle ardent pour Dieu. Lors de la descente de la montagne de transfiguration, comme autrefois Moïse, dans leur visage fut reflété la lumière du ciel qu’ils avaient expérimenté sur la montagne. Si ce critère du choix de Jésus est vraisemblable, c’est certainement la bénédiction dont bénéficient tous les dévots de Dieu dans l’histoire.

            Quand Jésus descendit avec son premier groupe, il y avait la deuxième groupe qui attendait depuis lontemps. Car dès qu’on les vit, tous accoururent vers eux. Pourquoi attendirent-ils si ardemment ? En un mot, c’était parce que ces 9 personnes qui restaient au pieds de la montagne ne purent guérir le fils démoniaque, vu la suite du récit. Donc, la discussion dans laquelle les scribes s’étaient engagés avec les disciples était bien au sujet de cet échec de guérison. La discussion serait à peu près comme cela : « comment, vous, prétendus disciples d’un grand maître, n’avez-vous pas pu guérir ce malade ? » « N’importe quoi. Nous avons l’expérience d’avoir chassé beaucoup de démons, en parcourant le pays il y a quelques temps, nous avons guéri aussi beaucoup de malades. Seulement, la demande de guérison était cette fois trop subite, ou quoi ? » « Ah ha ! » En tout cas, la puissance des disciples fut remise en cause et cette puissance était celle qui a été enseignée depuis 3 ans sous un maître soi-disant puissant. Donc, la puissance de Jésus lui-même fut remise en cause par leur faiblesse. Les scribes étaient sur le point de conclure, « Voilà, vous êtez dingues. Votre maître est aussi dingue. » Les gens modernes aiment à discuter. Mais la puissance de Dieu ne vient jamais de la discussion. Paul dit, « Et nous en parlons, non avec des discours qu’enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu’enseigne l’Esprit, en expliquant les réalités spirituelle à des hommes spirituels. » La puissance et l’autorité viennent d’en haut. Donc, il faut prier. Les disciples durent surmenter la démangeaison de la bouche, et ne pas s’engager à une vaine discussion avec l’adversaire. Mais à ceux qui échouent, la parole fleurit toujours davantage. Je voudrais qu’il est bien judicieux de parler de cette scène honteuse des disciples, car elle nous donne une leçon importante.

            Jésus savait tout, mais il demanda aux disciples, « sur quoi discutez-vous avec eux ? » La réponse était évidente, comme nous l’avons vu. Mais il y a une raison. Ils n’avaient même pas terminés leurs mots balbutiants qu’un homme s’avança fortement, et dit, « Maître, j’ai amené auprès de toi mon fils, en qui se trouve un esprit muet. » Ici, le but de cet homme était bien évident, c’est de voir Jésus, car s’il vit Jésus, se disait-il, Jésus le guérira. Malencontreusement, Jésus n’était pas sur place et s’absentait avec trois disciples. Le père adressa la requête aux disciples, pour savoir s’ils pouvaient faire quelques choses. Ces neufs lancèrent un cri commun tonitruant vers le malade, mais celui-ci les regardait avec les yeux curieux d’un spectateur. Ils ne purent même faire bouger un petit doigt du garçon. Quelle honte ! Nouveau défi, nouvel échec. S’eurent-ils été appuyés trop sur leur réussite du passé ou eurent-ils souffert de l’esprit d’un orphelin étant laissé par Jésus au bas de la montagne. On ne sait. Mais, Jésus ne prendra pas de considération de la circonstance atténuante. Sa reproche est, verra-t-on, trop directe et sévère. En effet, ces disciples impuissants étaient un déshonneur au Seigneur. Voilà la raison de ce questionnement de Jésus. Les disciples n’avaient pas honte de Jésus, car ils s’étaient montrés comme disciples de Jésus, donc quand Jésus reviendra à l’avènement, Jésus n’aura pas honte d’eux. C’est nul doute. Mais les disciples n’avaient pas pu honorer Jésus à cause de leur impuissance. A ce point-là, Jésus aura honte d’eux. Ils n’arrivèrent pas honorer Jésus, malgré leur volonté de l’honorer. Les conséquences priment dans l’œuvre de Dieu. Jésus ne demande pas comment ils avaient accueilli le malade gentillement et prié pour la réussite des membres de sa famille, ou son amélioration de l’état critique du moment, etc. Mais ce qui compte, c’est s’ils avaient chassé le démon ou s’ils ne l’avaient pas chassé, et s’ils ont guéri la brebis de sa maladie de péché ou s’ils ne l’avons pas guérie. Au bout de 7 ans, si on laisse une brebis dans la peur de mort et que son problème du péché soit touché, le berger sera certainement un sujet de reproche de Jésus. En tout cas, l’échec des disciples était un point de déshonneur de Jésus. Jésus n’était pas honoré par eux. Jésus eut honte en tant que maître. Votre vie honore-t-elle Jésus ? Les Thessaloniciens, malgré les tribulations, retenaient fermement leur foi, ce que rendit Paul fier d’eux. Toute l’Asie et l’Achaïe connut, dit-il que dans la Thessalonique il y a des authentiques chrétiens. Jésus fut honorés par eux. Quand un pécheur accepte Jésus et est sauvé, le nom de Jésus est honoré. Puis Jésus nous donne un point d’honneur. Qu’il y ait beaucoup de points d’honneur parmi nous cette année.

            Le père dit, « En quelque lieu qu’il le saisisse, il le jette par terre ; l’enfant écume, grince des dents, et devient tout raide. J’ai prié tes disciples de chasser l’esprit, et ils n’en ont pas été capables. » Il nous paraît bien évident que lorsque le père est venu avec son fils, il a raconté ce récit en version originale aux disciples. Mais les disciples ne purent donner aucune remède à cet homme, au plus profond désespoir d’un père. Ils n’étaient pas émus même à l’écoute de cette histoire accablante. Puis, ils se mirent à discuter avec les disciples. Jésus fit des reproches sévères en écoutant le rapport du père. Quelle était sa reproche ? Regardez le verset 19. « Jésus leur répondit : Race incrédule, jusques à quand serai-je avec vous ? Jusques à quand vous supporterai-je Amenez-le moi. On le lui amena. » Jésus soupira de l’impuissance des disciples. Jésus en était plutôt en colère. Il eût été découragé, en raison du fait qu’au bout de 3 ans d’entraînement, les disciples n’étaient toujours pas à la hauteur du pouvoir d’un guérison d’un démoniaque. Cela était d’autant plus désolant que bientôt Jésus allait quitter le monde en laissant ses disciples tous seuls. Que faire ? Rien ne semblait possible pour changer ces hommes banaux de la Galilée. Mais Jésus ne s’en découragea pas et donna encore un coup de baguette pour que les disciples surmontent leur incrédulité qui leur était était si inhérente. « Race incrédule ! jusqu’à quand ? » 

            Un autre version traduit race incrédule, « une génération non croyante ! » C’est presqu’un outrage insupportable pour le chrétien, car il se compare aux non croyants. Par l’impuissance, ils furent classés à un horrible catégorie de païens. Pensez-vous que votre titre vous sauve ? Ce qu’il sauve, ce n’est que votre face. C’est la puissance dont nous avons parlé en haut nous sauve. Car Jésus ne peut plus nous supporter. Ne pas supporter signifie l’envie de la séparation. Réfléchissons sur cela. Dans l’épître de Paul aux Corinthiens, quand il dit que le mari non croyant se sépare, il se sépare, et le mari croyant peut se séparer de la femme non croyante qui ne croit pas en Dieu. Jésus veut se séparer de ces gens inutiles. Car ils n’étaient pas trop différents de ces Pharisiens qui s’asseyaient avec leur titre croyant et ne font rien que de demander une signe de leur vie, telle réussite, embauche, promotion, etc. auxquels Jésus soupira, en disant, « pourquoi cette génération demande-t-elle un signe ? » Un croyant a quitté son église et s’en alla à une autre église où il y avait un miracle de guérison. Puis il commença à avoir une impression qu’il est devenu le vrai croyant. Le croyant est celui qui croit en la véracité de la parole de Dieu et qui la met en pratique dans sa vie, jusqu’à ce que la puissance de Dieu le revête. Dans le monde multiculturel en Occident, les gens deviennent de plus en plus relatifs ou agnostiques. Un jour, un jeune homme a dit, « je m’engage pleinement », mais le lendemain, il dit, « quand l’ai-je dit ? » Le diable relativise le cœur, en faisant penser, « ce n’est pas trop grave de ne pas m’y donner et de toute façon c’est la parole de 2000 ans auparavant qui ne s’appliquerait pas entièrement au monde d’aujourd’hui. » Puis ils servent Dieu comme s’ils versent quelque cotisation. Donc leur philosophie est qu’ils aideraient volontaire Dieu s’ils en a le loisir, mais s’ils n’ont pas de temps, ben, tant pis. Alors de plus en plus, les croyants perdent la force et vivent une vie de défaite comme les non-croyants. Parfois, les non-croyants font des choses avec tellement de zèle et conviction qu’on s’en étonne. Mais les croyants sont tellement hésitants de faire quoi que ce soit pour Dieu, qu’ils deviennent ahurissants aux yeux des non croyants. Ils sont la mauvais influence de qui exhale l’odeur de la mort vers le monde, contrairement à ce que Paul dit au sujet du rôle du croyant : odeur du Christ. Paul recommandait que le croyant véridique se sépare de ce genre de croyant charnel. Jésus veut vraiment se séparer de ces gens impuissants. Mais Jésus eut la miséricorde et les supporta avec sa dernière force, en vue qu’ils deviennent les hommes utiles à Dieu par la foi. Dans l’histoire, Dieu en avait assez mare de son peuple rebelle. Il voulut les effacer de la terre. Mais un instant après la prière de Moïse, il changea d’avis, il se souvint d’Abraham, le croyant. Mais en fin de compte, tous ont péri dans le désert, comme la rétribution de leur incrédulité. Qu’un soi-disant croyant met ses pieds et vit sur la terre est vraiment une grâce immuable de Dieu. Mais il faut savoir qu’il aura un jour succombé s’il n’serait jamais vraiment durant sa vie inspiré de la puissance de Dieu.
           
            L’incrédulité fait un dégât au monde. A cause de leur mauvaise influence incrédule, le nom de Dieu tomba à terre et la génération fut en train de périr. Si la génération périt, ce n’est pas parce que la maladie était tellement profonde, mais parce que les disciples de Jésus sont impuissants. C’est la raison pour laquelle Jésus leur fit reproche. La reproche de Jésus est sévère, beaucoup plus sévère qu’un pasteur oriental d’un ton bizarrement élevé. Mais en tout cas, il nous fait écouter cette reproche, si nous ne voulons pas périr avec ce monde malade et être considéré comme responsables de la perdition des gens de ce monde. Nous devons vivre ne serait-ce qu’une minute, par la foi. Les mots : vivez par la foi sont les mots gênants à nos contemporains. Néanmoins, Jésus répète sa reproche, « Race incrédule, jusqu’à quand serai-je avec vous ? » Maintenant, c’est le temps que nous prions pour le salut des brebis françaises par la foi. C’est vrai que depuis 25 ans, nous avons crié ce même cri, comme la durée de l’affaire de Gregory. Mais quelle est la différence de l’autrefois. Maintenant, Jésus vous parle, vous reproche de le l’incrédulité, afin que vous ramassiez votre lit d’incrédulité et défier pour le salut des brebis françaises. Une brebis fut enlevée, vous devez redoubler votre force en chanteant « c’est le rempart de notre de Dieu » de Luther. Vous priez beaucoup et attendez à la porte de notre centre pour obtenir une brebis, si vous n’avez pas encore une brebis ou une brebis qui recule. Il y a plein de gens qui traversaient le soeuil de notre centre à Worship hour. A cause de l’échec, vos cœur s’était-il rebellé, ce n’est pas grave. Jésus vous appelle ce matin, « venez à moi. Ecoutez. » N’écoutez pas que c’est une reproche blessante pour vous, quoique le ton du Seigneur soit élevé, « race incrédule. » C’est pour vous. C’est de vrai pour votre âme et votre finalité. Il veut que vous soyez redressés de tous vos échecs du passé et que vous commenciez une nouvelle vie de foi. Ne dépendez pas de votre antiquité de la foi, mais renouvelez votre intelligence et acceptez cette parole pour vous. Vous pouvez être dès aujourd’hui puissants.

            Aussitôt que l’enfant vit Jésus, l’esprit mauvais qui était en lui se démena, en sorte que l’enfant entra dans une convulsion violente. L’enfant tomba par terre et se roulait en écumant. Le diable est toujours meurtrissant. La pensée qui détruit le corps vient de Satan. Ainsi le démoniaque des Géraséniens ne cessait de se meurtrir en frappant de pierre son corps. Les pensées de suicide viennent du diable qui ne veut pas que l’homme glorifie le nom de Dieu, son créateur. Selon mon enquête pour le CBA: question : Y a-t-il un commentaire de vos collègues à ce thème ou sujet pendant la conversation? Notez-les. La réponse : Comme ils étaient longtemps fonctionnaires ils ne sont pas habitués de travailler dans la préssion comme les salariés de l'entriprise privée. On dit que c’est un effet de cocote minute. Dès qu’on trouble l’ancien mode de vie tranquille, ces français ne supportent plus la pression et se donnent la mort. Satan est toujours à côté de nous, pour nous détruire. Mais il ne faut pas le laisser gagner le combat. Il faut que NOUS gagnions ce combat et le chassions loin de nous, car sinon il est tapis à notre porte, et nous engloutira.   

            Avant de commencer l’opération, Jésus demanda la durée de la maladie. Jésus le demanda non parce qu’il ne savait pas, mais parce qu’il était très important pour les gens concernés par la maladie de connaître cette chronicité de la malade avant de la guérir. Quand vous allez au cabinet, une des premières questions posées par le médecin est « depuis quand avez-vous toussé ? Depuis quand avez-vous de la fièvre ? » Nous souffrons souvent d’une maladie ou d’un mal, en ne sachant pas depuis quand nous en étions souffrants. Pour ainsi dire, nous souffront du présent. Cette souffrance ignorante au présent se prolonge et risque de se prolonger très durablement. Nous devons savoir depuis quand j’ai ces maux. En général, à la différence de la possession démoniaque, la maladie psychologique a une origine concrète, soit la séparation d’un cher, ou un choc ou une maladie physique, etc. On dit que c’est le domaine du médecin psychiatrique de l’étudier de nos jours. Mais à mon avis, Jésus qui disait, « venez à moi, vous êtes fatigués et chargés, je vous donnerai du repos » peut guérir parfaitement la maladie psychologique. A la différence de la maladie psychologique, la possession démoniaque ne peut être résolue par le médecin psychiatrique. Celui-ci doit reconnaître l’existence du démon et céder le rôle au serviteur de Dieu pour qu’il assume la guérison. Mais comme il y a très peu de serviteur qui en est capable, le médecin s’en occupe aujourd’hui davantage même sur ce problème spirituel. D’où l’inefficacité de leurs travaux. En tout cas, Jésus demande au père depuis quand son enfant était ainsi. A cette question, le père de l’enfant répondit, « depuis son enfance. » Cette question rappela tous les mauvais souvenirs du père et celui-ci se mit à raconter tout ce qui lui était arrivé. Regarde le verset 22. « et souvent l’esprit l’a jeté dans le feu et dans l’eau pour le faire périr. » Le cœur du père devint misérable et il s’appitoyait fortement en ce moment, car toutes les mauvais souvenir lui ravivaient comme une cicatrice ouverte. C’était une amertume de la vie si profonde, que personne ne put partager avec lui. Un fils démoniaque donna une peine insupportable au père. N’est-ce pas qu’il était si mignon quand il était tout petit. Entre mère et père, n’est-ce pas qu’on avait espéré qu’il deviendrait un des plus grands hommes du monde ? Mais tout l’espoir s’évanouit, quand il tomba un jour dans le coma et qu’il fut condamné à vie de porter cette maladie epiléptique.

            Ici, il me paraît judicieux de réfléchir sur le pourquoi de la question de la chronicité de Jésus sur la maladie. Cette question porte une grande importance. C’est une historique de la maladie. Dans le monde juridique, il y a ce qu’on appelle casier judiciaire, c’est-à-dire enregistrement des crimes passés. On ne peut ignorer ce casier judiciaire, car tôt ou tard, le potif du crime fait surface pour être récidiviste. De la même manière, si une âme est dominé par un démon, ce démon ne veut quitter sa victime de long date si facilement. C’est lorsque Jésus vint et que nous prions que ce démon peut quitter. Si quelqu’un est rebelle, il faut réfléchir de la chronicité de la rebellion, car si on a actuellement la rebellion, il y a quelque trace de rebellion dans le passé. Vous êtes sauvés, donc vous ne vous inquiétez pas. Personne ne vous juge. Mais simplement, Jésus veut pronostiquer votre santé spirituelle et vous donner une remède s’il est nécessaire. Si un de vous est anormalement entêté vis-à-vis des autres, chaque fois en faisant monter la voix, examinez si vous avez quelque part une trâce de l’entêtement dans le passé. Si quelqu’un est passionnel, n’y a-t-il pas une trace de la passion depuis sa jeunesse ou son enfance et n’est-elle pas trainé pour qu’il tombe dans le piège de Satan chaque fois. Quand nous ne connaissons pas cet origine, c’est comme si vous souffrez de peur en voyons le dos de quelqu’un menaçant. Mais si vous trouvez cette origine, cette personne se retourne et montre le visage. Puis, du coup votre peur disparaît, car il n’est rien. Quelque soit votre âge, que ce soit l’âge physique ou l’âge spirituel, si vous sentez ce démon vous faire souffrir, ce serait recommendable d’écrire un long témoignage par exemple 30 ou 40 pages, jusqu’à ce que vous trouviez l’origine de vos problèmes et le Seigneur vous aide à les résoudre. M. Cooper dans son livre « dynamique de l’amitié », confessa qu’il avait ce penchant d’acheter de nouveau habits, même s’il n’en avait pas trop besoin. Il commence à avoir du mal de cette mauvaise habitude à caractère charnel. Alors en remontant sa vie, il trouva que ce mal existait depuis son enfance où il était corpulent et donc ne put être hébillé d’un vêtement qui lui plaisait et se mit à concevoir une envie de s’habiller beau en maigrissant. Ce désir continuait d’exister en lui. Quant à moi, j’ai servi le cours de zapping, mais en y réfléchissant, je me suis aperçu que j’ai ce penchant de tourner les chaînes de télévision pour voir ce qui satisfait ma curiosité. Mais je me souviens qu’un jour de mon enfance, mon père avait amené à la maison un poste de télévision en noir et blanc de petite taille, et c’était une boîte de merveille pour moi. Je n’arrêtait pas de rêver de le regarder. Et je suis tombé souvent dans la pensée charnelle en le regardant. J’ai cette habitude de permettre des pensées réclamant la consolation quand la situation devient pressante. A un moment donnée, j’ai trouvé que c’est un défaut fatal pour un serviteur de Dieu. En y pensant, je me suis aperçu que comme ma mère m’a exigé tellement de travail acharné, sans même que je connaisse le sens de ce travail, j’ai eu cette habitude d’échappatoire de chercher la consolation humaine et charnelle. La trouvaille de ces problèmes par l’écriture de témoignage était l’accomplissement de moitié de ma guérison.

            Dans sa profonde tristesse et l’amertume, le père poussa un joker mais sans trop d’assurance. « Mais si tu peux quelque chose, viens à notre secours, aie pitié de nous. » Autrement dit, « Si ça te convient, aie pitié de nous. » Nous pouvons bien comprendre le cœur de ce père. Après avoir tout raconter l’historique de la maladie de son fils, le père devint très fataliste. Il se rappela toutes ses efforts pour la guérison de son fils, comme cette malade depuis 12 ans de la femme de perte de sang qui alla consulter tous les médecins célèbres du pays, mais qui ne lui donnait aucun résultat souhaité, mais qui ne lui fit que ruiner financièrement. Ce père aurait eu le même problème pour parcourir toutes les villes pour avoir la guérison de son fils. Mais personne ne lui apportant le rémède, mais tous étant si exigeant en ce qui concerne la facture sans donner la possibilité d’être remboursé au cas de non guérison, le père a du subir lui aussi d’une crise financière. Mais peu importe, seulement s’il eut une chance que son fils soit guéri. D’où cette demande peu assurée du père.

            Nous subissons beaucoup d’échec dans la vie comme ce père. En sorte que finalement, nous espérons une chance. « Si tu peux… » Mais quelle était la réponse de Jésus ? Jésus semble à une personne qui lance ses mots réprobatifs à quiconque il rencontre. Cette fois aussi, Jésus reproche sévèrement. Il dit, « Si tu peux… tout est possible à celui qui croit. » Si nous croyons vraiment, quelque chose que nous avons considéré comme une chance devient la réalité. Marc 11 :22 dit, « Ayez foi en Dieu. » Puis il dit, « en vérité, je vous le dis, si quelqu’un dit à cette montagne : Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et s’il ne doute pas en son cœur, mais croit que ce qu’il a dit arrive, cela lui sera accordé. » Napoléon a dit, « dans mon dictionnaire, il n’y a pas de mot : impossible. » Mais lui aussi il dut déchoir après la défaite à Waterloo et était captif dans l’île de Saint Hélène. Mais pour le peuple de Dieu, tout est possible. Vraiment tout est possible, même déplacer la montagne, même redresser l’arbre courbé par l’effet de la nature pendant des années et des années, à condition qu’il ait la foi. Vraiment la foi de vieux continent est devenu comme les arbres de midi de la France coubré sous l’effet de la nature pendant des années et des années. Mais si le peuple a la foi, il peut changer le vieux continent d’Europe afin qu’il ait la foi en l’Evangile. C’est un acte plus héroïque que celui de Napoléon. C’est un acte qui mérite notre défi de jeunesse. Dieu nous a réservés pour cela. Notre jeunesse est pour cela. Le vieux père est venu avec la triste voix, « si tu peux… » mais Jésus voulait qu’il ait la foi absolue en Dieu tout puissant avant qu’il demande la guérison de son fils.

            Le père s’avança avec son cœur de repentance, alors le fatalisme qui était en lui se replia. Il dit, ou plutôt, il hurla, « Je crois ! viens au secours de mon incrédulité. » Il dit, « Je crois ! » autrement dit, il crois maintenant en la puissance de Dieu en Jésus. Mais le père savait qu’il fut encore trop vulnérable à la puissance d’incrédulité, bien qu’il s’écrie d’une voix forte, « Je crois. » D’où ces mots de la fin de la phrase, « Viens au secours de mon incrédulité. » Il sut qu’il ne pourra pas surmonter le doute qui l’avait tant de fois accablé jusqu’à maintenant, s’il s’appuyait seulement sur lui-même. Donc, il demanda humblement l’aide de Dieu pour qu’il supplée sa faillibilité.

            Ici, nous voyons que Jésus défie l’incrédulité des disciples et le fatalisme du père, en disant « tout est possible à celui qui croit. » La foi n’a pas de limite. Nous devons donc défier toutes choses par la foi. Mais, ici une chose à discerner. Jésus n’exclut pas son exaucement sur toutes les questions, mais il met la priorité au domaine spirituel. Quand Paul dit, « je puis tout par celui qui me fortifie », il parle du domaine du salut premièrement avant son problème de sa privation physique. Nous citons la parole habituellement, Mt 6 :33, « Cherchez premièrement son royaume et sa justice, tout cela vous sera donné par-dessus. » Ici même, Jésus est en train de parle du domaine spirituel. Les gens interprète les versets de la Bible à son propre profit. Puis leur conclusion, « j’ai cherché premièrement de tout mon cœur, mais Dieu ne m’a pas donné ceci et cela. Adieu donc ami. » Nous trouvons beaucoup de gens de ce type dans le roman de voyage du pèlerin. Quand Jésus dit tout ou la bible dit que Jésus est tout en tous, il parle du domaine du spirituel d’abord avant le domaine physique. Jésus défit les gens afin que dans le domaine spirituel, il remporte la grande victoire sur l’impossibilité. On peut guérir une âme malade, on peut convertir une âme à la repentance, on peut la faire changer d’une âme égoïste à une âme sacrificielle. On peut chasser les démons de l’esprit mauvais et rendre l’homme libre. Si nous cherchons premièrement le salut de Dieu, Dieu donne le reste comme un supplément, car Dieu est satisfait de nous. Cette année commençant prions que tous nos candidats de bergers deviennent bergers des âmes de campus. Prions que Dieu aide fr. Angelo à rencontrer un étudiant de campus pour l’étude de seul à seul. Prions qu’Anthony débute le prêche dans le campus pour rencontre une âme. Prions que Marc Jr. aussi commence à servir une âme par la parole de Dieu. Que Liivar puisse prêcher audacieusement sans peur de persécution dans HEC pour rencontre une brebis. Croire en Dieu paraît simple. Mais nous devons prier humblement Dieu jusqu’à revêtir sa puissance. Si nous croyons en Dieu, nous pouvons surmonter tous les obstacles et nouer seul à seul étude avec un étudiant de la Bible. Puis le reste, Dieu le remplit au-delà de ce qu’on imagine. Si vous le doutez encore, considérez l’issue de votre pasteur dont la vie a été raconté la semaine dernière, 5 ans de service de dévouement sans se soucier de sa thèse, au bout desquelles Dieu lui a donné à la fois des fruits d’âme sauvée et la réussite d’études.

            Jésus veux accomplir la guérison de cette âme pauvre, donc, il menaça l’esprit impur et lui dit : Esprit muet et sourd, je te l’ordonne, sors de cet enfant et n’y rentre plus. Et le démon sortit en poussant des crix, avec une violente convulsion. L’enfant devint comme mort, mais le démon fut sorti.

            Quand Jésus fut rentré dans la maison, ses disciples l’enterrogèrent en privé : Pourquoi n’avons-nous pu chasser cet esprit ? Quelle était la réponse de Jésus ? Regardez le verset 29 et lisons-le. « Il leur dit : Cette espèce (de démon) ne peut sortir que par la prière. » Le problème des disciples était l’incrédulité et le problème du père était le fatalisme et le manque de foi. Mais tous ces problèmes se résument ici à ces mots de Jésus : manque de la prière. Jésus ne put travailler en leur faveur, tant que leur prière était pauvre. Ils se courbaient chaque jour comme Jésus, mais dès qu’ils se courbaient, ils ne savaient quoi prier, donc, soit ils somnolaient, soit ils se taisaient, soit ils gémissaient de la difficulté de la vie, puis ils se levaient, car c’était l’heure de départ, l’heure de manger, l’heure de travail, etc. Quant au père, il ne priait pas pour son fils. Il l’aimait, il s’asseyait au chevet de son fils quand il s’endomit après la convulsion avec les larmes aux yeux. Mais il ne pria pas Dieu d’Israël qu’il puisse le guérir de cette maudite maladie, en citant chaque nuit par exemple Esaïe, « Ma main est-elle trop courte pour libérer ? N’ai-je pas assez de force pour délivrer ? » Or, nous n’avons rien d’autre à faire que la prière, si nous voulons expérimenter la puissance de la guérison d’une âme souffrante du péché. Comme Jésus dit, cette guérison de l’âme malade est tout à fait possible, si nous nous appuyons sur lui, quoi que ce pays est un pays entièrement malade comme Esaïe dit depuis la tête jusqu’au planche des pieds. Par la prière, la délivrance du démon est possible. C’est une clause de l’assurance pour ceux qui prient. Tout est possible à celui qui croit et cette foi est à celui qui prie. La foi ne vient pas automatiquement. Elle n’est pas à celui qui est éloquent, ni à celui qui a une excellente idée. Elle est à celui qui prie, et si on prie, elle arrive sans faute. Depuis quelques semaines, nos collaborateurs missionnaires se réunissent à 23 h chaque samedi soir pour prier communément à grand cri pendant une heure. Nous ne pouvons pas être moins bruyants que les gens du bar à côté qui mettent la musque à fond, nous disions-nous. Selon mon observation, les premières deux semaines étaient assez difficiles pour mes collaborateurs d’adopter ce projet. Mais au fur et à mesure de la prière, nous nous sentons légères et joyeux. Je souhaite que notre cercle de prière nocture aie de plus en plus de membres. Déjà pendant Worship hour 7 gens de bar nous ont rendu visite à la fin du programme. C’est le signe du commencement de l’évangélisation du quartier. Vraiment sans la prière, cette espèce de démon fêtard – cette semains, ils ont fait trois nuits consécutives la fête – ne peut sortir. Mais d’un autre côté, sachons que la prière à haute voix n’est pas tout. le serviteur souffrant Jésus ne nous semble pas assez prier dans cette partie de la Bible, car il y a aucun mention qu’il avait prié durant le récit. Mais la parole conclusive de Jésus nous fait entrevoir qu’il était dans un constant état de prière. Jésus leva les yeux vers ciel et soupira avant qu’il ne guérisse autrefois le sourd-muet. Cette fois aussi, Jésus priait pour ce démoniaque intensément, mais invisiblement. Un serviteur bien connu dans l’amérique latin disait que la prière est comme l’air qu’on respire chaque jour. La vie quotidienne est la prière. Peut être que Jésus pria de cette manière. Quelqu’un m’a demandé : pourquoi Jésus, qui est Dieu doit-il prier ? Le serviteur souffrant Jésus priait dans son agonie pour être semblable aux hommes qui ont immanquablement besoin de la prière. Donc, nous devons nous courber humblement devant Dieu et lui demander pitié sur nous et sur les autres. Et Dieu agit sans faute. Si B. Thierry prie sans cesse pour Yve-Maël qui est persécuté actuellement, Dieu tendra ses bras pour qu’il retourne, en reconnaissant le besoin de la parole. 

            Concluons notre message. Jésus se lamenta de l’incrédulité des disciples et se lamenta aussi du fatalisme du père. Mais Jésus vint et guérit le garçon souffrant de démon par sa puissance. Jésus dit, « Tout est possible à celui qui croit. » Puis si nous prions, il promet de nous donner sa puissance. Que Dieu vous aide à avoir la foi absolu par le moyen de la prière ardente, en sorte que vous obteniez le salut d’une âme voire de plusieures âmes souffrantes pendant votre vie sur la terre et que votre vie de berger soit ainsi bénis.