Wednesday, May 18, 2011

ILS CRURENT EN LUI



Jean 11 :45-57
Verset Clé 11 :45

« Plusieurs des Juifs venus chez Marie, qui avaient vu ce qu’il avait fait, crurent en lui. »

            Dans l’ancien testament, nous rencontrons plusieurs femmes de foi. Certaines d’entre elles étaient plus puissantes que les autres, dans la mesure où non seulement elles-mêmes avaient ma foi, mais aussi elles étaient les promotrices de la foi auprès de ceux qui en ont besoin. Le premier exemple sera Rébecca. Si nous parlons de Rébecca, nous avons ce souvenir de ce qu’elle disait « Oui, » quand ses parents lui demandèrent son avis pour partir tout de suite à la demande du serviteur d’Abraham. Partir dans un pays lointain en vue de se marier avec un homme dont le visage est méconnu était risqué. Mais Rébecca ne douta point de ce que Dieu bénira sa vie quand elle se maria avec un homme de Dieu. Son attitude, sa parole, sa marche si audacieuses et certaines étaient assez inspiratrices pour donner la bonne influence autour d’elle, jusqu’à devenir mère de myriades. Par-dessus tout, quand Rébecca avait la foi en Dieu, elle put consoler son mari Isaac de la perte de la mère de celui-ci, Sara. Grâce à sa foi, Isaac devint un homme de foi, héritier de la promesse de Dieu donné à son père Abraham.

            Il y a aussi une femme nommé Débora. Elle était une juge d’Israël à l’époque où les Israélites furent opprimés par le roi de Canaan. Il y avait un homme Baraq. Debora lui ordonna de partir en guerre contre les Cananéens. Mais celui-ci était trop timide, et dit à Débora, « si tu viens avec moi, j’irai, mais si tu ne viens pas avec moi, je n’irai pas. » Les villes étaient dévastées et abandonnées, car personne ne s’occupait du sort de la nation. Cette réponse de Baraq était le reflet de l’état d’âmes des hommes en Israël. Mais Dieu éleva Débora comme mère en Israël. Quand Débora marcha avec l’assurance de ce que Dieu l’a élevé pour libérer son pays, Dieu travailla puissamment avec elle. Dieu changea un homme poltron Baraq comme un puissant leader du pays réunissant les 12 tribus divisées. Débora ne put rien faire vu la situation pitoyable de son peuple, mais elle ne laissa pas le moindre doute entrer dans son cœur. Sa foi fut utilisée précieusement pour élever un homme et pour délivrer tout Israël. Par son exemple, nous apprenons l’importance de retenir la foi et implanter la foi en les autres. Que Dieu nous accorde beaucoup de femmes comme Débora et Rébecca.

            La foi est semblable à une tour qui se dresse au milieu de la foule. Si les touristes visitent Paris, ils sont impressionnés par la haute tour Effel qui domine la ville. Cette tour construite sur quatre pieds cimentés se tient vraiment solidement. Elle donne l’impression de ne jamais s’écrouler. Quand nous allons en dessous, nous sommes dominés par son aspect gigantesque. Effel n’était pas croyant. Mais quand ses ennemis l’attaquaient sans cesse au sujet de la tour, il déclarait avec une claire attitude de foi que cette tour devait rester. Puis il fit de son mieux, pour que la tour ne soit pas enlevée selon le projet initial de la municipalité. Pourquoi je cite ce cas d’Effel qui n’est pas croyant, parce que tout d’abord c’est le cas d’un Français et puis surtout pour vous montrer que l’homme peut influer sur le monde quand il a l’assurance inébranlable. Satan vient sans cesse semer les grains de doute dans notre cœur. Mais si nous ne perdons pas notre cœur dans l’incrédulité et retenons fermement la foi, nous pouvons vaincre toute jalousie de Satan et nous pouvons être utilisés pour construire la ville illuminée sur la colline en France. La France qui est en face d’une grande menace de la chrétienté, a besoin plus que jamais des hommes et des femmes de foi. Jusqu’à maintenant nos bergers pensent que l’évangélisation des français est impossible pour des raisons X ou Y, mais ils se sont repentis récemment de leur absence de la foi de résurrection et se mettent à prier que Dieu élève par eux 12 disciples de Jésus parmi les français. Que leur foi soit inébranlable comme la tour Effel. Dans notre ministère, je vois que la taille de nos enfants masculins ne cesse de grandir. Les parents peuvent s’inquiéter de l’avenir des enfants, si surtout ils sont d’origine étrangère. Mais notre sujet de prière à leur égard doit être claire et sans équivoque : qu’ils grandissent comme hommes de haute taille de la foi pour influer sur le monde dans leur génération.

            Alors qu’est-ce que la foi ? Les catholiques définissent la foi en la divisant en deux sortes : la foi fiduciale et la foi théologale. La première est selon leur définition la confiance en Christ, semblable à ce que nous disons au sujet de la relation d’amour personnelle avec Dieu et la seconde est l’adhésion des fidèles aux dogmes présentés par l’Eglise. L’église protestante a donc une foi de moins, car elle se concentre en la relation personne avec Dieu et ceux qui veulent établir seulement une relation personnelle avec Dieu peuvent être attirés par elle. 

            La foi a surtout rapport à la justification. Rm 1 :17 dit, « Le juste vivra par la foi. » C’était la citation du livre de l’ancien Testament de Habaquq. Dans la situation corrompue de son époque, Habaquq ne put avoir la foi et s’écria, « Seigneur, jusques à quand laisseras-tu les méchants toujours plus prospérer ? » A cette question Dieu donna cette réponse, « Le juste vivra par la foi. » Mais quand à l’épître aux romains de Paul qui cita cette parole d’Habaquq, c’était la justification qui sera basée sur la foi en le sang de Jésus. Quant à notre nature coupable et vu l’universalité du péché des hommes, nous ne pouvons aucunement avoir l’espoir. Mais Jésus est venu sur la terre pour nous sauver de nos péchés par son sang précieux. Nous sommes entièrement rachetés par son sang et il n’y a plus de doute qu’il nous a fait ses enfants du royaume de Dieu. Nous avons appris pendant la conférence-débat, que le salut vient de la grâce, non des mérites, car si l’homme coopère pour son salut, le salut de Dieu ne sera pas parfait ni pur et l’homme aura un point à se glorifier. La justice de l’homme est semblable aux vêtements usés. Si nous en sommes conscients tant soit peu, nous pouvons éviter toutes sortes de conflit au monde, à la société et dans la famille. C’est ce que nous devons apprendre de la Bible et l’appliquer et enseigner à chaque occasion qui se présente vis-à-vis de nos étudiants de la Bible. Bien que nous soyons actuellement sauvés par la grâce, si nous n’avons pas la grâce de Dieu, nous sommes misérables pécheurs qui sont voués à la perdition éternelle dans l’étang brûlant de feu et de soufre. L’homme naturel a difficulté d’accepter ce fait. En nous, il n’y a rien de méritoire qui puisse nous justifier. Seule la grâce de notre Seigneur Jésus nous justifie. L’histoire de la femme adultère dans Jn 8 nous en dit long. Celui qui a cette foi est humble.  

            La foi a trait aussi à sa victoire et son triomphe. Dans le premier siècle, la situation des chrétiens était terrible. On les considérait comme des chiens et des rebuts de la société et les livrait à la tuerie sans merci. Paul disait donc, « A cause de toi, l’on nous met à mort tout le jour. On nous considère comme des brebis qu’on égorge. » Mais Paul triompha par la foi de cette situation minable. Il vit l’amour de Dieu incommensurable par lequel il a permis son Fils pour nos péchés. Alors à plus forte raison, ne lui donnera-t-il pas aussi la victoire sur les persécuteurs méchants. Dans le 17e siècle, quand le protestantisme et le jansénisme furent tous condamné par la France, la vraie doctrine semblait être anéantie. Après cet événement, ironiquement le catholicisme qui avait préféré s’attacher à la raison humaine que se rallier à la doctrine de prédestination se voit expulser du monde à son tour par la force de cette raison humaine. Et maintenant, la raison humaine gagne de plus en plus le terrain, à tel point que les églises sont abandonnées. Le combat contre l’humanisme invisible dans nos contemporains est acharné. Mais à ce moment, nous devons avoir la foi en Dieu. Paul s’écria, « Mais dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. » Pourquoi ? « Car je suis persuadé, dit Paul, que ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les dominations, ni le présent, ni l’avenir, ni les puissances, ni les êtres d’en-haut, ni ceux d’en-bas, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu en Christ-Jésus notre Seigneur. » Que Dieu nous donne la foi triomphante ! Si nous avons la foi en Dieu, certainement nous pouvons triompher, si ravageur et dominant soient-ils, l’impiété du monde et l’humanisme religieux. Si je prie que la France soit un pays protestant, je serai considéré comme un fou. Mais prions que la Bible change d’une manière ou d’une autre la France et ses habitants pour qu’ils soient dépositaires de la foi évangélique.

            Regardons le verset 45. Il est étonnant que plusieurs Juifs en viennent à croire en Jésus. Les Juifs sont ceux qui ne pensent jamais à sortir de leur cadre du judaïsme légaliste. Leurs yeux étaient tellement bigots que toutes choses devaient absolument tourner autour d’eux. Mais ces Juifs en arrivèrent finalement à croire en Jésus. Alléluia ! Quel effet stupéfiant de la puissance de Jésus. La résurrection de Lazare était un événement assez suffisant pour qu’ils soient convertis. Mais à vrai dire, c’était l’effet des efforts de Jésus qui voulait sans cesse implanter la foi dans les cœurs des gens. Comme nous l’avons appris la semaine dernière, d’abord, Jésus, quand il avait reçu la nouvelle de la maladie de Lazare, il n’accourait pas vers Lazare qui était en train de souffrir de douleur, en disant, « Oh, Pauvre Lazare, combien tu souffre, tu t’est certainement surmené, mais ne t’inquiète pas, je suis là. » Mais au lieu d’agir ainsi en sympathisant, Jésus resta à l’endroit où il était encore deux jours. Maintenant, aux yeux de tout le monde, c’était trop tard pour guérir Lazare, car selon la nouvelle urgente, il était à l’article de la mort. Mais Jésus le fit pour que les disciples aient la foi en lui. Jésus souhaitait qu’ils se seraient encouragés les uns les autres, en disant, « Oui, notre Maître est la résurrection et la vie, celui qui croit en lui vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en lui ne mourra jamais ! Oui, je crois. » En arrivant à Béthanie, il vit l’ambiance si pesante de deuil. Jésus s’attrista de la puissance de la mort qui fait tous les hommes ses esclaves. Jésus se souvint de la tentation de Satan aux premiers jours dans le paradis. Jésus se souvint de la tentation de Satan qui l’a menacé de mourir s’il ne fit pas de la pierre du pain. Mais Jésus décida de nouveau de lancer un combat contre cet ennemi et dit « Où est Lazare ? » Quand les gens le conduisirent au tombeau, il demanda aux gens d’enlever la pierre. Marthe répondit, « Seigneur, il sent déjà, car c’est le quatrième jour. » Marthe ne savait pas que Jésus était dans un combat acharné avec Satan, l’ennemi. Jésus la reprocha sévèrement, « Ne t’ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? » Par la foi, Marthe put triompher de son sentiment de défaitisme, sa tristesse et la puissance de mort. Si seulement elle dispose de la foi digne du nom de Jésus, elle put triompher toutes ces manœuvres de Satan et voir la gloire de Dieu pleinement manifestée par la résurrection de son frère Lazare.

            Quand Jésus exhorta la foi, Jésus utilisa un outil efficace. C’est la prière. Jésus sut que Dieu exauce toujours sa prière, la prière publique et la prière intime silencieuse. Mais cette fois, Jésus s’adressa ouvertement au Père, afin que les gens qui étaient autour de lui puissent croire en la puissance du Dieu le Père qui domine la puissance de la mort et de Satan. Il s’écria à voix forte, « Père, je te rends grâces de ce que tu m’as exaucé. » Notre Seigneur Jésus pria ainsi par la foi en Dieu qui l’exauce. Cette prière du Seigneur à haute voix n’est pas la possession exclusive du Seigneur. A la pentecôte, les disciples le firent. Dans l’église traditionnelle, les gens mémorisent quelque phrase de prière et les disent en public et en commun. Quoi qu’il en soit, la prière à haute voix a pour but d’être écouté. Cela peut être une prière, dira-t-on, hypocrite. Mais de toute façon, c’est pour cela que Jésus a prié. Imaginez qu’un homme se lève et prie à une voix tonitruante. Quand nous prions, c’est d’abord une communication personnelle avec Dieu. Mais si nous prions ardemment à haute voix, les gens autour de nous peuvent écouter et savoir que nous sommes en train de prier avec un sujet dont nous désirons désespérément l’exaucement. Notre cœur ardent peut se transmettre et former une communauté semblable à celle de la Pentecôte. Au fait, à cette pentecôte, les gens accoururent à cause de leur prière à haute voix et furent bouleversés des merveilleux de Dieu qui sortaient de leur bouche. Depuis quelques temps nous prions la prière individuelle à haute voix pendant le pain quotidien. Je prie que Dieu rende notre église comme l’église de pentecôte qui puisse influer sur le monde par la puissance de la prière. Courbons-nous devant le Seigneur et apportons nos sujets de prière par la foi, de sorte qu’il les exauce. Après la prière à Dieu, Jésus s’écria, « Lazare, sors ! » Le mort sortit en titubant. Les anges entonnèrent le chant de Gloria. Le visage de Lazare reflétait la gloire Dieu.

            Toutes ces choses sont si frappantes aux yeux de plusieurs Juifs : le reproche et la prière de Jésus et enfin la résurrection du mort dont le corps se décomposait. Aucun homme ne pourra éviter l’appel à la conversion qui est fait par ce phénomène surnaturel. Mais regardons le verset suivant. Il y avait un tout à fait autre groupe parmi les Juifs. Ils allèrent trouver les Pharisiens et leur dire ce qu’avait fait Jésus. C’était les gens dont la conscience fut marquée de feu. Sinon ils étaient des marionnettes sans âme qui ne firent qu’épier l’humeur des hommes dans leur hiérarchie.  En tout cas, il y a les gens qui ne se laissaient pas toucher par le soin attentif de Jésus pour la foi de résurrection. Pourquoi cela et pourquoi toujours existe-t-il dans le monde de tels gens ? Qu’est-ce qui ne va pas pour eux, pour qu’ils soient considérés arriérés spirituels ? D’abord, il leur manque la soumission. En effet, l’incrédulité n’est pas l’ignorance ni l’incapacité de croire ; c’est le désir de s’affranchir du souverain Maître, le refus de lui abandonner sa vie. Ensuite, il leur manque l’illumination de l’Esprit saint qui donne au pécheur repentant l’assurance du salut. Dieu donne son Esprit à un cœur assez humble de le recevoir. Ces Juifs ne purent recevoir le Saint-Esprit, car ils décidèrent de ne pas croire en Jésus.

            Les leaders religieux étaient dans une situation périlleuse. Ils étaient pleins de prestiges et d’assurance de vie confortable. Mais ils agissaient toujours comme des gens qui se débattent devant le naufrage imminent. Leur âme n’avait pas de paix. Cet état a été déjà révélé dans chapitre 10 quand ils avaient dit à Jésus jusqu’à quand il les laisserait en suspens. Ils n’avaient pas un cœur de recherche de la vérité, mais leur seul intérêt était de savoir si Jésus était le Sauveur ou pas, car cela met en cause de leur position religieuse. Ils étaient charnels, loin d’être digne de leur nom de berger du peuple. Cette fois, ils dirent, « Voyez, tous croiront en lui, car il fait beaucoup de miracles. » Ils eurent peur que le Lieu Saint soit enlevé, non parce qu’il aimait le temple de Dieu, mais parce que leur gain professionnel est menacé. Ils firent semblant de protéger le peuple, en disant toujours « la nation »,  « notre nation ». Mais ils ne se souciaient pas que le peuple soit affamé de la parole de vérité, mais qu’il leur soit attaché par leur système de la religion d’état.

            Regardons le verset 50 et 51. Le souverain sacrificateur, Caïphe dit, « vous ne vous rendez pas compte qu’il est avantageux pour vous qu’un seul homme meure pour le peuple et que la nation entière ne périsse pas. » Il est mieux qu’une petite entité se sacrifie pour une entité grande plutôt que l’inverse. Cela est raisonnable. Jean dit qu’à son insu Caïphe prophétise la vérité. Jésus moura contrairement au raisonnement humain, pour que le peuple soit sauvé de son péché. Jésus ramassera les brebis égarées non seulement de la nation juive, mais aussi toutes les nations de toute la terre, car lui qui est mort sans péché pour les hommes pécheurs est le bon berger pour eux. Les religions juive et musulmane qui refusent la seigneurie de Jésus devraient se convertir en celle de Jésus, le Bon berger, car Jésus seul put accomplir cet acte d’amour par lequel l’homme pécheur peut se réconcilier avec Dieu. Nous prions que Dieu évangélise les pays musulmans et la Corée du nord avec l’évangile de Jésus, avant que la fin du monde vienne.

            Les gens venaient à Jérusalem, car la fête de Pâque était proche. Ils firent le pèlerinage une fois par an comme une pieuse obligation devant Dieu. Mais ils n’avaient aucune connaissance de Jésus. Ils étaient ceux qui entendirent l’ouï-dire de Jésus, et ils avaient plein de curiosité sur Jésus. Ils n’avaient de foi résolutive de croire en Jésus, mais étaient comme les girafes qui vagabondent selon le vent et la nourriture. Les juifs donnaient l’ordre de le dénoncer pour l’arrêter. Ces gens ordinaires accueillirent chaleureusement Jésus, mais ils finirent par le dénoncer. Peut-être ils n’avaient pas d’intention d’agir ainsi. Mais leur vagabondage spirituel finit par leur dénonciation. Beaucoup de gens veulent être des gens ordinaires. Les croyants du dimanche sont de tels gens. Nous pouvons être les gens ordinaires, mais nous ne devons pas être des girafes dans leur harde vagabonde.

            L’évangile selon Jean est l’évangile de trois caractères divins : Amour, lumière et vie. Je dirais que parmi ces trois, le premier est la caractéristique éthique et les deux derniers celle ontologique. Nous sommes maintenant enfants de lumière sortis des ténèbres et nous sommes bénéficiaires de la vie éternelle en disant adieu à la mort. Mais dans cette citoyenneté de Dieu, nous devons maintenant pratiquer l’amour. C’est l’étique des chrétiens. Quand nous sommes élevés dans le mépris et l’ignorance et le rejet de nos semblables, il nous serait difficile de les aimer en retour. Mais nous devons les aimer par la foi en Dieu. Nous devons surmonter notre timidité et notre sentiment de désolation, de sorte que nous puissions aimer nos prochains comme nous-même selon le commandement de Dieu. L’évangile selon Jean qui est celui d’amour implique la puissance de la foi sans quoi l’amour est impossible.

            Avant de conclure cette leçon, il nous paraît judicieux de passer en revue encore quelques récits dans lesquels Jésus se souciait d’implanter la foi dans les cœurs des hommes. Nous lisons l’histoire d’un père dont le fils était malade dans Marc 9. Jésus était de retour de la montagne de transfiguration avec ses trois premiers disciples. Pendant leur absence, 9 disciples furent confrontés à un père dont le fils était malade de l’épilepsie. Les disciples firent toutes choses pour chasser le démon qui était dans le fils. Ils prièrent, puis ordonnèrent solennellement, puis grondèrent, tapèrent, et même dansèrent de façon incantatrice. Mais tout cela s’avérait vain, parce qu’ils n’avaient pas la foi. Le démon s’assit en toute tranquillité et les regarda avec leurs yeux clignotants. Jésus, en voyant leur état piteux, les réprimanda, « Race incrédule, jusques à quand serais-je avec vous. » Puis au père, il reprocha sa demie foi, en disant, « Si tu peux… ? Tout est possible à celui qui croit. » Quand il se repentit, Jésus chassa le démon et rendit son fils normal. Quel piteux état des disciples qui se débattaient au niveau de la terre ! Nous devons élever notre esprit jusqu’à la montagne et au ciel pour le rendez-vous avec Jésus, le puissant créateur. C’est la foi. Sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu et aussi je dirai, il est impossible de faire changer qui que ce soit. Donc, il est indispensable de se repentir de notre demi foi et accepter que tout est possible en lui. 

            Le deuxième épisode que je voudrais raconter serait celui de Nicodème. Nicodème était une élite de la nation ayant une haute intelligence. Il semblait un individu inévangélisable, la grosse tête bourrée de sa propre philosophie solide. Mais Jésus voulut implanter la foi dans son cœur et posa une question philosophique, « Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. » Hautement savant, il ne comprenait pas ce que Jésus voulut dire par la nouvelle naissance et ne répétait que le mot, « comment ? » Jésus reprocha, « Tu es docteur d’Israël, et tu ne sais pas cela ? » Alors, il lui donna un exemple de Moïse l’histoire familière aux rabbins. C’est vraiment émouvant de voir que Jésus supporta si longuement malgré la fatigue de nuit cet individu inévangélisable avec son espoir et lui donna finalement la plus célèbre phrase de la Bible, Jean 3 :16, « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » Nicodème ne crut pourtant pas, mais la douleur de l’enfantement de Jésus pour implanter la foi en lui n’était pas vaine, car à la mort de Jésus, il reconnaît la véracité de la parole de Jésus et devint le disciple de Jésus en ensevelissant son corps avec Joseph d’Arimathée.

            Troisième épisode est concernant la femme samaritaine. La femme de Samarie était tellement malodorante que personne ne voulut causer avec elle, sans parler de l’accompagner. Mais Jésus vint de loin pour le rendez-vous avec elle. Il s’abaissa et dit, « Donne-moi à boire. » Alors, dit-elle, « quoi, toi qui est juif, me demandes-tu à boire, heung » Et même si la Bible garde le silence, il est assez probable qu’elle versa l’eau sur la tête de Jésus et dit, « Hum, En voilà du propre ! » Jésus ne se blessa pas et dit, « Si tu connais ce don…ce serait toi, tu sais, qui demanderait à boire… » Puis Jésus dit, « Quiconque boira de cette eau aura encore soif, mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. » Le service humble de Jésus était vraiment sans fin. Il aida la femme à avoir la foi de confesser son problème de mari, bien qu’elle ne soit pas si motivée de le révéler. Mais elle accepta finalement son péché et voulut adorer le Messie que Dieu envoie. Jésus dit, « je le suis, moi qui te parle. » Sa foi s’étant explosée, elle se rendit au village d’un pas rapide et prêcha à tous ceux qui la rejetaient auparavant, « Venez voir ! Ne serait-ce pas le Christ ? » Elle dévoila ses péchés qu’elle avait si profondément cachés auparavant et en rendit témoignage librement pour manifester le pardon immuable de Jésus. La douleur d’enfantement de la foi de Jésus envers une femme si pécheresse n’était pas vaine, elle porta le fruit de salut de cette âme la plus méprisable, et elle porta aussi d’autres fruits, car les villageois de Samarie vinrent à cause de sa parole et virent Jésus, et témoignèrent enfin à la femme, « ce n’est pas à cause de tes dires que nous croyons ; car nous l’avons entendu nous-mêmes, et nous savons que c’est vraiment lui le Sauveur du monde. »

            Dans l’ancien testament, Abraham était un vieil homme de 75 ans. Il avait passé l’âge de commencer un nouveau métier, sans parler une nouvelle vie. Mais Dieu choisit cet homme et voulut faire de lui une source de bénédiction pour le monde. Dieu sut qu’il était un homme foncièrement fataliste à cause de son absence d’enfant. Son corps était comme une racine séché et morte. Mais Dieu décida de l’utiliser dans sa volonté irrévocable de la rédemption de l’humanité en tant qu’ancêtre de foi. Dieu dit donc, « Vas-t-en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père vers le pays que je te monterai. Je ferai de toi une grande nation et je te bénirai ; je rendrai ton nom grand. Deviens donc une source de bénédiction. » Abraham crut et partit. Pourtant pendant 10 ans, il ne vit aucun fruit. L’âge ne cessait d’augmenter, en laissant de moins en moins de possibilité d’enfanter quoique ce soit. Alors un jour, c’était la nuit. Il s’accroupit dans son lit en tournant le dos vers sa femme. Dieu l’appela et dit, « Abraham ! » Abraham fit semblant de ne pas l’écouter et de s’endormir. « Abraham » l’appela Dieu de nouveau. Abraham calma sa respiration pour donner l’air de dormir. Mais quand Dieu l’appela pour la troisième fois « Abraham », Abraham se sentit envelopper du souffle irrésistible d’amour de Dieu et fut obligé de lui répondre. « Oui, Seigneur. » Dieu dit, « Sors de ta tente » Abraham sortit, le ciel était si noir et obscur, et les étoiles étincelaient, et la voie lactée tissait la toile du ciel. Dieu dit, « Contemple donc le ciel et compte les étoiles, si tu peux les compter » Un instant de silence écoulé, puis Dieu ajouta, « Telle sera ta descendance. » Abraham ne put croire, mais il comprit que Dieu veut lui implanter la foi en sa promesse dans son cœur qui devint incrédule dans ses pensées humaines. Il se repentit et revint à la foi et crut en sa promesse, ce qui lui fut compté comme justice par Dieu.

            Nous avons vu par le récit d’aujourd’hui que Jésus a implanté sans cesse la foi dans le cœur des siens. La foi est la seule source d’énergie valable pour que l’homme puisse vivre, car par elle il atteint le royaume de Dieu et la vie éternelle. Autrement dit, avoir la foi est une question de vie ou de mort, car par elle seule nous pouvons être sauvés et nous pouvons sauver les autres. La version anglaise traduit « ils crurent en lui » avec ces mots, « ils mettent la foi en lui. » En français, on ne dit pas cette expression avec le mot foi, mais plutôt avec la confiance. Or, en langue originelle grecque, la foi et la confiance ont la même racine. Peut-être le mot confiance est plus tangible et palpable que le mot foi. Si nous mettons continuellement la confiance en Dieu au milieu de notre tribulation, Dieu nous bénira certainement, en nous considérant comme ses enfants de la foi. Que Dieu vous bénisse chacun dans la foi !

Sunday, May 8, 2011

DEUX SUPPOSITIONS, L’UNE INUTILE, L’AUTRE UTILE


Genèse 24 : 1-9

Ce célèbre chapitre sur le mariage d’Isaac nous paraît être une légende, tant il est éloigné de la réalité. Mais notre Dieu souverain met cet histoire du mariage tout au milieu de la Genèse, pour s’en servir comme une indication très importante de l’humanité. Reine Grace de Monaco, future reine Kate de l’Angleterre ne sont pas objets d’envie de toutes les filles de la planète parce qu’elles sont reines, ni parce qu’elles sont belles, mais parce qu’elles se sont mariées avec un prince charmant. Quelle fille dans le monde n’aurait pas envié un tel mariage ? De plus, quel jeune garçon dans le monde n’aurait pas rêvé de se marier avec une si belle femme ? C’est pourquoi le Dieu de la Genès ne manque pas de parler du mariage.

Depuis que Dieu avait instauré le mariage pour le bonheur de l’homme dans le jardin d’Eden, Dieu voulait toujours béni l’homme à travers le mariage. Ne nous souvenons-nous pas du bonheur d’Adam qui avait le sourire jusqu’aux oreilles quand Dieu le souverain marieur lui amena sa femme Eve et qui s’était mis à chanter « Oh je suis le plus heureux parmi tous les hommes. L’os de mes os, la chair de ma chair. On t’appellera femme, car tu a été prise de l’homme, c’est-à-dire de moi, là là là là, là là là là ! J’ai la joie, joie, joie, joie dans mon cœur, là dans mon cœur, j’ai la joie, joie, joie, joie, joie dans mon cœur, la joie dans mon cœur. Je suis si heureux, je suis si heureux… »

Mais malheureusement ce bonheur de mariage ne dura pas si longtemps, car bientôt on commencerait à se disputer et s’accuserait l’un l’autre pour une faute. C’était d’avoir désobéi au commandement divin au sujet de l’arbre de connaissance du bien et du mal dont Dieu les avait défendu de manger. Dès lors, chassé du jardin, un homme et une femme vivent pour le profit de chacun et avec une sorte de complice vis-à-vis Dieu. Ainsi l’homme quittant Dieu, l’institution du mariage se dégénérait, jusqu’à ce qu’on choisisse le conjoint uniquement selon le désir charnel au temps de Noé par exemple, si bien que Dieu avait regretté d’avoir créé l’homme.

Dans l’histoire humaine, derrière la déchéance d’une société, il y avait toujours cette corruption du système de mariage. Par exemple, à la veille de la ruine de l’Empire romain, la relation sexuelle était tellement décadente que la maladie dans la partie génitale a été répandue, si bien que les pères avaient cherché désespérément les garçons et les filles issues de la famille de la religion chrétienne comme candidat de l’épouse ou l’époux de leurs enfants. C’est-à-dire presque toutes les filles et les garçons de la classe noble s’amusaient avec le libertinage sexuel, si bien qu’aucun garçon et aucune fille n’étaient crédible au niveau de la sexualité. Dieu s’en attristait du phénomène du mariage en pêle-mêle à l’époque de Noé. Dieu savait toujours que le mariage sain et pure est une facteur primordiale pour le bonheur de l’homme. C’est pourquoi quand Jésus commença son ministère messianique, il se fit inviter par la famille des époux dans une noce et le bénit.

Le chapitre 24 de la Genèse décrit comment le 2e patriarche Isaac put se marier avec sa femme Rébecca. Au début du cette histoire, nous voyons 2 hommes dialoguer entre eux, après quoi 1 homme se lève et part en voyage. Un d’eux est Abraham, père d’Isaac et l’autre son serviteur dont le nom n’est pas précisé dans le texte.

Voici un peu plus de détail de ce dialogue : vieux Abraham appelle son serviteur et lui dit : Tu vas mettre ta main sous ma cuisse – c’est le coutume ancien fait entre ceux qui faisaient le serment – et jure par l’Eternel que tu ne prendra pas la femme de mon fils parmi les Cananéennes, mais tu prendra sa femme parmi les femmes de mon pays d’où j’étais sorti. Donc, tu ira là-bas et la cherchera. Le serviteur répond à Abraham : Peut-être que la femme ne voudra pas me suivre, car il est bien possible qu’elle ne me croit pas, de plus elle ne voit pas le visage de son futur conjoint. Donc, si j’amène ton fils… Abraham lui répond : Garde-toi de l’y ramener. L’Eternel, le Dieu du ciel, qui m’a fait sortir jusqu’ici te fera amener une fille pour mon fils. Si la femme ne veut pas te suivre, tu sera dégagé de ce serment. Le serviteur met sa main sous la cuisse d’Abraham et lui prête le serment au sujet de cette affaire qui se conclue ainsi. Puis, le serviteur fait le préparatif et part en voyage vers le pays d’origine d’Abraham en Mésopotamie.

Pendant ce voyage, le serviteur d’Abraham montra sa fidélité à son seigneur Abraham du début jusqu’à la fin. Dans ce voyage de mission vraisemblablement impossible, ce dévoué serviteur ne cessait de témoigner sa fidélité absolue à son maître, et finalement son voyage étant excellemment réussi, il fut de retour avec le chant de joie et de triomphe.

En effet, quand le serviteur arriva au pays d’origine de son seigneur, le serviteur se mit à genoux et prier, en disant : « Seigneur de mon seigneur Abraham, Dieu de l’Eternité, veuille prêter les oreilles à ma prière : Si je demande aujourd’hui à une fille de ce pays de me donner une gorgée d’eau qui étancherait ma soif de cette fatigue de voyage et que cette fille me donne cette eau en plus qu’elle donne de l’eau pour mes chameaux fatigués et assoiffées, je le reconnaîtrait comme la future épouse de mon seigneur Isaac. » Or, il n’a pas encore fini sa prière, qu’une si jolie fille apparut devant lui. L’auteur insère une phrase descriptive pour cette fille, en disant : « C’était une très belle jeune fille ; elle était vierge, et aucun homme ne l’avait connu. » Cette fille descendit à la source, remplit sa cruche et remonta. Le serviteur courut vers elle et lui fit la requête préconçue. Alors, la fille – son nom était Rébecca – agit d’une façon si étonnante, c’est-à-dire selon la version exacte de la prière que le serviteur avait formulé à Dieu. L’auteur décrit cette action de la fille qui était très vive. Ainsi, il dit deux fois que la fille était empressée d’exécuter la demande de l’homme. Une fois, elle s’empressa d’incliner sa cruche et de lui donner à boire. Et une nouvelle fois, elle s’empressa de vider sa cruche pour aller à la source remplir la cruche pour la boisson des animaux. Tous ces mouvements si ardus de la fille étaient suffisants pour faire perdre à l’homme les mots. Le serviteur était planté là-bas sans bouger ni dire un mot de sa bouche. Il fut tout simplement émerveillé non seulement de ce geste si beau de la jeune et gracieuse fille, mais surtout de cette réponse immédiate vraisemblablement venant de Dieu.

Dans cette histoire qui prélude le mariage, je voudrais attirer votre attention ce matin, chers mes frères et sœurs, à 2 phrase préfixées par la préposition « si ». Comme vous avez déjà supposé par le titre du message qui était « deux suppositions, l’une inutile et l’autre utile. »

D’abord, lors de la conversation avec son seigneur, le serviteur d’Abraham proposa en disant : Si j’amène ton fils dans le pays ? Mais cette supposition était inutile, car selon la réponse d’Abraham, qui s’en était convaincu, son Dieu le fera réussir le voyage, et ce sans qu’il amène son fils sur place.

Pour ceux qui ont la foi, ils n’ont pas besoin d’une telle supposition. Dans sa vieillesse, Abraham vit tout le voyage qui allait se dérouler se défiler comme un photocalque. Ce n’est pas une moindre affaire pour le disciple que nous sommes. Mais quand Abraham proposa un tel voyage risqué, le serviteur était dubitatif. Il devint incrédule. Donc, il dit, « Si j’amène ton fils, ça peut marcher. » Mais pour Abraham qui avait la foi, ce n’était pas la peine. 

Ici, nous apprenons 2 choses de la part du 1er patriarche. D’abord, Abraham est ancêtre de foi, non nominalement, mais vraiment. Or, la foi est la démonstration de ce qu’on ne voit pas et l’assurance de ce qu’on espère. Abraham ne voyait pas encore mais espérait toujours, puis il crut en Dieu qui lui donnera. Le problème du serviteur était qu’il pensait à l’absence du fils. Il pensait à ce dont il est privé. Il pensait à la réaction de la candidate qui sera causé par cette absence du marié : le refus.

Autrement dit, le problème du serviteur était son cœur bigot qui ne le fit voir que la possibilité calculé. C’était son monde raisonné. Il ne put voir de plus. Ses yeux étaient enfermés à sa raison. Voilà la réalité d’un homme terrestre. Mais heureusement il y a Abraham qui sut relever un défi. « Garde-toi d’y ramener mon fils. »

Vraiment dans le subconscient d’un homme incrédule, le mot le plus fréquent qui se fait retentir sera ce maudit : Si. Pas do, ré, mi, fa, sol, la si, mais si prépositif qui commence pour fabriquer une phrase conditionnelle : si j’ai cette somme d’argent. Si j’ai le temps, Si j’ai la santé, Si j’ai une bonne famille gentille, si j’ai le travail, si j’ai cette intelligence, etc.

Quand André a apporté 5 pains et 2 poissons, Philippe avait consommé tout son temps pour calculer le coût nécessaire pour nourrir la foule. Puis il a commencé à avoir des maux de tête. Il se disait toujours, « si j’ai cet argent, argent, argent. C’est ce qu’il me faut. Mais s’il s’en sortait de son bigotisme d’esprit, en fait, cette inquiétude n’avait pas de raison d’être. Si Jésus avait dit : donnez leur vous-mêmes à manger, il a ce désire de nourrir la foule, donc en croyant qu’il ne parle jamais des paroles vaines, on n’a qu’à regarder Jésus. Mais Philippe ne regardait pas Jésus, mais il s’appuyait sur son propre intelligence, alors il encaissa une échec inexorable.

Cette foi d’Abraham est une sorte de foi de résurrection. Abraham savait que si Dieu n’en convient pas, malgré toute la préparation parfaitement calculée, on sera amené à l’échec, mais si Dieu en convient, même si le fils sera absent, Dieu suscitera une candidate de mariage de son fils parmi les filles de son pays.

Si nous sommes le peuple de Dieu, tout ce que nous devons apprendre est la foi. Sans la foi, dit la Bible, il est impossible de plaire à Dieu. Au fil des ans, si nous grandissons dans la foi, Dieu s’en réjouit. La vie d’Abraham en dit long. Il était déjà vieux, quand il fut appelé. Mais il ne douta pas l’appel de Dieu et quitta son pays, sa patrie et la maison de son père pour aller au pays lointain. Puis il vivait là-bas toujours par la foi.Parfois, c’est vrai, il commettait des fautes d’impatience, car la réponse de Dieu était trop lentes. Mais il faisait toujours son mieux pour apprendre et garder la foi en lui. Or, lui vint la dernière épreuve dans sa vieillesse. Un jour Dieu lui apparut et l’appela. Alors Abraham répondit : Me voici. Dieu lui dit : Va au mont de Morya et offres-y ton fils comme holocauste. Abraham se leva tôt matin et fit le préparatif pour le départ immédiat. Au bout de la marche de 3 jours, il leva les yeux et la silhouette de la masse montagneuse entra dans ses vues. Il marcha, avec son fils toujours à côté, pour se diriger au sommet de cette montagne. Du coup, le fils ouvrit la bouche et adressa sa parole : « Père, il y a le bois et le feu, mais où est l’holocauste ? » « L’Eternel pourvoira ! » Ces deux mots n’ont pas encore disparu de ses oreilles que les mains de son père prirent son corps et le ligotèrent du fil et le firent coucher sur une pierre. Puis le père leva le couteau et le fit descendre lentement. A ce moment-là, l’enfant entendit du ciel une voix : Abraham ! Abraham ! N’étends pas ta main sur le jeune homme et ne lui fais rien : car j’ai reconnu maintenant que tu crains Dieu et que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique. Puis Dieu renouvela sa promesse de donner ce pays à sa descendance.

La foi d’Abraham atteignit le comble par cet événement. Bien sûr que cette foi n’arriva pas du jour au lendemain. C’était le résultat de son apprentissage de foi durant ses longues années en Canaan. Quand il l’avait fidèlement appris, il sut combien la foi est précieuse, plaît à Dieu et fait se réjouir ceux qui la possèdent.

Donc, voici le 2e point que nous apprenons du 1er patriarche. Il voulut mettre sa foi au profit des autres. L’ancêtre de foi doit toujours penser à la foi des autres, afin que non seulement lui-même vive la vie de foi sur la terre, mais aussi les autres vivent leur vie de foi sur la terre. Abraham saisit cette occasion de mariage comme la dernière chance de plaire à Dieu à travers son défi propre et le défi à son serviteur cherchant l’épouse et le défi à son fils qui accepterait l’épouse venant de loin. Ce trio masculin de la foi plus la foi d’une femme qui sut dire oui au mariage, malgré l’absence du mari fondirent ainsi une famille de foi de laquelle de génération en génération toutes les familles de la terre apprendront.

Comme Abraham, nous devons apprendre la foi personnellement puis la mettre au profit des autres. C’est la plus grande la plus sublime philanthropie.Comme Abraham, nous devons vivre jusqu’au dernier jour de notre vie, en influant ainsi sur les autres par notre foi. Alors, nous le verrons dans le ciel face à face et nous partagerons nos expérience de la même fois avec une allégresse extrême.

Maintenant, je vous propose de venir réfléchir sur le 2e si. Nous le trouvons dans la phrase du serviteur quand il pria Dieu au seuil de la Mésopotamie. Laissez-moi répéter une fois encore cette merveilleuse formule de prière, ou plutôt la version originelle du serviteur écrite dans vs 12-14. « L’Eternel, Dieu de mon seigneur Abraham, fais-moi, je te prie, rencontrer aujourd’hui (ce que je cherche) et agis avec bienveillance envers mon seigneur Abraham !... Que la jeune fille à laquelle je dirai : Penche ta cruche, je te prie, pour que je boive, et qui répondra : Bois et je donnerai aussi à boire à tes chameaux, soit celle que tu aura destinée à ton serviteur Isaac ! Ainsi, c’est-à-dire s’il en est ainsi, je reconnaîtrai que tu agis avec bienveillance envers mon seigneur. »

Après ce serment avec Abraham, le serviteur sentit qu’il avait établi un pacte de foi avec Dieu au terme duquel il était impossible de reculer. Il faut défier par la foi et remporter la victoire de la foi absolument. C’était en tant que soldat de Dieu qui travers cette frontière de Mésopotamie. Mais l’esprit de soldat vaillant est une chose, défi et résultat est une autre chose. Que faire ? Il sut qu’il n’y avait d’autre chose que la prière. D’où sa prosternation devant Dieu et sa supplication ardente.

Mais sa prière n’était pas n’importe comment. Parfois, on prie : n’importe quoi seigneur, voici ton serviteur prêt à accepter tout ce que tu me donne. Puis si on en vient à être coincé dans une situation inévitable, on se dit : Voilà, la volonté de Dieu. Mais ce serviteur d’Abraham ne pria pas ainsi de façon pêle-mêle. Sa prière était très ordonnée et bien visée. Il n’était pas, dira-t-on, un serviteur d’Abraham pour rien. Tel maître, tel serviteur. Le serviteur défia par la foi Dieu par sa requête. Pour ainsi dire, sa demande était très exigeante. Il prie à peu près ainsi : « Mon Dieu, je veux ça pour mon seigneur. Fais-moi grâce en me l’accordant. » L’exaucement de Dieu dépend de la « qualité » des objets de nos prières. C’est un très important point dont nous devons prendre conscience, car nous sommes appelés à être serviteurs de prière pour la gloire du roi. Si nous prions pour le pois chiche, Dieu nous donner le pois chiche.Si nous prions pour la Golden, Dieu nous donne la Golden.

Dieu apprécie notre désir noble. Il ne le dédaigne pas. Il veut l’exaucer, s’il est pur et sans tâche. Donc, il est important d’ennoblir nos désirs, ou notre niveau des désirs. Le serviteur d’Abraham avait exigé Dieu à lui accorder une femme qui a la vertu noble de la générosité jusqu’à abreuver le troupeau en dépit de son corps faible féminin et d’énorme effort demandé vu la grandeur du caravansérail. Dieu se réjouit de cette demandé qualifiée, si bien qu’il donne une autre qualité supplémentaire de la beauté physique de la femme et sa chasteté, qui n’était pas dans la liste de qualités demandée du serviteur au début. C’est un peu comme quand Salomon a demandé la sagesse pour gouverner le pays, le but si honnête, Dieu lui a accordé aussi la richesse exceptionnelle du pays. C’est aussi un peu comme ma femme m’a dit, « Comme son cœur cherchant la parole est beau. Mais dis donc, combien elle danse bien en plus ! » Nous ne devons pas prier Dieu n’importe comment. Il est le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs qui a tout le pouvoir du ciel et de la terre. Il peut sélectionner parmi le millier de candidats une personne qui nous convient le mieux. Si nous lui demandons n’importe quoi, n’importe qui, quoi que déjà une personne accordée soit une rareté extrême en France, ce sera une lèse-majesté. Donc, ennoblissez vos désirs et vos demandes quand vous venez solliciter au roi. Et je suis sûr que le Roi ne tardera pas vous écouter. Avancez vos conditions à Dieu pour que vous soyez satisfait du plus haut niveau de qualité. Dieu exauce selon  vos demandes.

En conclusion, un autre si se trouve dans le nouveau testament. Ce si s’apparente au 1e si de notre message. Quand Jésus attarda de venir à Béthanie, Lazare fut décédé. En effet, Jésus resta 4 jours après la nouvelle de la maladie de son bien-aimé. Quand il vint, d’abord Marthe ensuite Marie en venant vers lui disaient en commun cette parole déplorable : « Si tu a été ici, mon frère ne serait pas mort. » Jésus répondit, « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui crois en moi vivra quand même il sera mort. » L’incrédulité consiste à dire : tu n’est pas si puissant et capable. Quand nous venons à Jésus, nous ne devons pas délimiter la puissance de Dieu comme le 1er cas du serviteur et les 2 sœurs de Lazare. Il nous est pourtant permis d’extrêmement délimiter nous qualité souhaitée, car Dieu est tout-puissant. C’est pourquoi en concluant mon message ce matin, je vous exhorte vivement à utiliser cette proposition si très convenablement, aussi souvent que vous voudrez, mais très convenablement pour que vous puissiez bénéficier pleinement de l’extrême dimension de bonté, beauté, majesté et sainteté de Dieu pour vous. Puis, quand il s’agit d’un événement qui arrivera une fois par notre vie tel le mariage, il nous paraît absolument judicieux de demander avec une qualité spirituelle bien noble, car nous savons que l’apparence comme le prince ne sert à rien, si l’union est un attelage disparate, et nous désirons servir Dieu avec notre futur foyer. Puis, je vous invite à prier Dieu avec moi pour la conférence d’été, de nous envoyer des brebis qui seront candidats de disciples, qui auront finie la 1e étape de l’étude biblique et dont le cœur est préparer pour accepter le pardon et le salut par l’écriture du témoignage pendant la conférence. Amen !

TWO ASSUMPTIONS, ONE UNNECESSARY, THE OTHER NECESSARY 

Genesis 24: 1-9 

This famous chapter on the marriage of Isaac seems to be a legend, for it is so far from reality. But our sovereign God brings this story of marriage while in the middle of Genesis, so that he use it as a very important indication of humanity. Queen Grace of Monaco, future Queen of England Kate are objects of envy of every girl on the planet neither because they are queens, nor because they are beautiful, but because they were married with a
charming prince. What girl in the world would not envy such a marriage? Also, what young boy in the world would not have dreamed of marrying a so beautiful woman? Therefore the God of Genesis is no shortage of talking of marriage. 

Since God created marriage for the happiness of man in the Garden of Eden, God would always bless the man through marriage. Do not we remember the happiness of Adam who was smiling from ear to ear when the sovereign God brought him his futur wife Eve and began to sing "Oh I am the happiest of all men. The bone of my bone, flesh of my flesh. You shall be called Woman, because you've been taken out of man, that is to say of me, la la la la, la la la la! I have the joy, joy, joy, joy in my heart, here in my heart, I have the joy, joy, joy, joy, joy in my heart, joy in my heart. I'm so happy, I'm so happy ... " 

But unfortunately this happiness of marriage did not last so long, because soon they begin to dispute and blame each other for a foul. It was to have disobeyed the divine command about the tree of knowledge of good and evil which God had forbidden to eat. Therefore, expelled from the garden, a man and a woman live for oneself's benefit and with a kind of accomplice vis-à-vis God. As man left God, the institution of marriage degenerated, until one choose a spouse only by lust in Noah's time, for example, so that God regretted having created man. 

In human history, behind the decline of a society, there was always this corruption of the system of marriage. For example, on the eve of the downfall of the Roman Empire, the sex was so decadent that the disease in the genital area has been widespread so that fathers had sought desperately boys and girls from the family having Christianity as a wife or husband candidates of their children. That is to say almost all girls and boys of the noble class had fun with the sexual libertinism, so no boy and girl were not credible in terms of sexuality. God was saddened by the phenomenon of marriage pell-mell at the time of Noah. God always knew that a healthy and pure marriage is essential factor for the happiness of man. That's why when Jesus began his messianic ministry, he was invited by the family of the husband in a wedding and blessed. 

Chapter 24 of Genesis describes how the second patriarch Isaac could marry his wife Rebecca. At the beginning of this story, we see two men interact, then a man gets up and goes on a journey. One of them is Abraham, father of Isaac and another his servant, whose name is not specified in the text. 

Here's a little more detail of this dialogue: old Abraham called his servant and said: You'll put your hand under my thigh - it's the old custom done between those who take oath - swear by the Lord that you’ll not take the woman of my son among the Canaanites, but you’ll take his wife among the women of my country where I was come from. So you go out there and search her. Abraham's servant answered: Perhaps the woman will not want to follow me, because it is quite possible that she does not believe me, furthermore she does not see the face of her future spouse. So if I bring your son ... Abraham replied: "Beware of that you bring my son there back. The LORD God of heaven, who took me out so far will let you get a girl there for my son. If the woman does not follow you, you will be relieved of this oath.The servant puts his hand under the thigh of Abraham and he takes the oath about this matter which conclues so. Then the servant does the preparative and goes on a trip to the country of origin of Abraham in Mesopotamia. 

During this journey, the servant of Abraham showed his loyalty to his lord Abraham from beginning to end. In this mission trip likely impossible, this devoted servant kept to show his absolute loyalty to his master, and finally his trip being excellently managed, he was back with the song of joy and triumph. 

Actually, when the servant came to the country of origin of his lord, the servant fell on his knees and pray, saying: "Lord of my master Abraham, God of Eternity, please lend ears to my prayer : If I ask a girl today in this country to give me a sip of water that would quench my thirst due to this travel and the fatigue and that this girl gives me the water and furthermore she gives water for my tired and thirsty camels, I would recognize her as the future wife of my lord Isaac." But he has not yet finished his prayer that a pretty girl appeared before him. The author inserts a descriptive phrase for this girl, saying: "She was a beautiful young girl and she was a virgin, whom no man had known." This girl went down to the spring and filled her pitcher and came up. The servant ran toward her and made her preconceived request. So the girl - her name was Rebecca - acts in a manner so amazing, that is to say according to the exact version of the prayer that the servant had made to God. The author describes the action of the girl who was very eager. Thus, he said twice that the girl was eager to fulfill the request of the man. Once, she eagered to incline the pitcher and give him to drink. And again, she eagered to hurry and empty her pitcher before going to the source to fill the pitcher for drinking animals. All these movements so arduous for the girl were sufficient to loose the words. The servant was standing there without moving or saying a word in his mouth. He was simply amazed not only because of that gesture of so beautiful and graceful young girl, but almost because of this immediate response likely from God. 

In this story which is a prelude to marriage, I would draw your attention this morning, my dear brothers and sisters, 2 sentence prefixed by the preposition "if." As you've already assumed the title of the message was "two assumptions, one useless another useful." 

(ppt 1)
First, during the conversation with his master, Abraham's servant proposed by saying: If I bring your son in the country? But this assumption was unnecessary because, according to Abraham's response, who was convinced, his God will successfully complete the journey, and this without bringing her son on the spot. 

For those who have faith, they did not need such an assumption. In his old age, Abraham saw the whole trip that would take place parade as a blueprint. This is no small matter for the disciple who we are. But when Abraham offered such a risky journey, the servant was skeptical. He became incredulous. So he said, "If I bring your son, it can work." But for Abraham who had faith, it was not worth it. 

Here we learn two things from the first patriarch. First, Abraham is the ancestor of faith, not nominally, but really. Now faith is the demonstration of things not seen and the assurance of things hoped for. Abraham did not see yet, but still hoped, then he believed in God who gives it. The servant’s problem was that he thought the absence of the son. He thought about what he is privated from. He thought the reaction of the candidate that will be caused by the absence of the groom: the refusal. 

In other words, the problem was his servant's narrow mind who let him see only the calculated possibility. It was his rational world. He couldn’t see more. His eyes were locked to his reason. That is the reality of an earthly man. But fortunately there is Abraham who knew to take a challenge. "Beware of bringing back my son. " 

Really in the subconscious of a incredulous man, the most frequent word that sounded will be this cursed: If. Not baseball’s if, but preposition if that begins to make a conditional sentence: if I have this money. If I have time, if I have health, if I have a pretty good family, if I have a work, if I have this intelligence, etc.. 

When Andrew brought 5 loaves and 2 fish, Philippe had consumed all his time to calculate the cost required to feed the crowd. Then he started having headaches. He always said, "if I have money, money, money. That's what I need. » But if he left his spirit of bigotry, in fact, this concern had no reason to be. If Jesus had said: Give ye them to eat, he wants to feed the crowd, so in the belief that he never speaks empty words, we need only look at Jesus. But Philip did not look at Jesus, but he relied on his own intelligence, then he collected an exorable defeat. 

This faith of Abraham is a kind of resurrection faith. Abraham knew that if God does not agree on, despite all the preparation perfectly calculated, it will lead to failure, but if God agree, even if the son is absent, God will raise a wedding candidate for his son among the daughters of his country. 

If we are the people of God, all thing we must learn is faith. Without faith, the Bible says it is impossible to please God. Over the years, if we grow in faith, God rejoices. Abraham's life speaks well on it. He was already old when he was called. But he did not doubt God's call and left his country, his homeland and his father's house to go to a distant country. Then he lived there always by faith. Sometimes, it is true, he committed mistakes of impatience, for God's response was too slow. But he always did his best to learn and keep faith on him. However, came the last ordeal in his old age. One day God appeared to him and called him. Then Abraham said, Here I am. God said to him to go at Mount Morya ahead and offer his son as a holocaust. Abraham got up early morning and made the preparations for immediate departure. After walking for three days, he looked up and the silhouette of the mountain mass entered into his views. He walked with his son always there til the summit of this mountain. Suddenly, the son opened his mouth and addressed his words: (ppt 2) "Father, there is the wood and fire, but where is the Holocaust?" « The Lord will provide! » (ppt3) These two words have not disappeared from his ears yet then the hands of her father took her body and tied him up with wire and laid it on a stone. Then the father raised the knife and brought it down slowly. At that time, the child heard a voice from heaven, Abraham! Abraham! Do not lay your hand on the young man and do anything to him: for now I recognized that you fear God and you have not withheld thy son, thine only. Then God renewed his promise to give this country to his offspring. 

Abraham's faith reached the climax through this event. Of course, this faith did not happen overnight. This was the result of his learning of faith during his long years in Canaan. When he had fairly learned it, he knew how much faith is valuable, please God and rejoice those who possess it. 

So here's the second point that we learn from the first patriarch. He wanted to put her faith in favor of others. The ancestor of faith must always think about the faith of others, so that not only himself lives the life of faith on the earth, but also others live their life of faith on the earth. Abraham took the event of marriage of his son as the last chance to please God through his own challenge and the challenge to his servant searching wife and the challenge to his son, who would accept her by faith. This trio of masculine faith more faith of a woman who knew how to say yes to marriage, despite the absence of the husband founded a family of faith whom from generation to generation all peoples on earth will learn. 

Like Abraham, we must learn the faith personally and put it for the benefit of others. It is the greatest and most sublime philanthropy. Like Abraham, we must live up to the last day of our life, by influencing others by our faith. Then, we will see him in the sky face to face and we will share our experience of the same faith with an extreme joy. 

Now, I suggest you think about the second if. We find it in the sentence of the servant when he prayed at the threshold of Mesopotamia. Let me repeat once again this wonderful form of prayer, or rather the original version of the servant written in vs 12-14. (ppt 4) "The Lord God of my master Abraham, give me, I pray thee, to meet today (what I want) and act with kindness to my master Abraham ... That the damsel to whom I say: Incline thy pitcher, I pray thee, so that I drink, and who answers: Drink and I will also give your camels to drink, that’s the one you will appoint for thy servant Isaac; Then, that is to say, if so, I recognize that you act with kindness unto my master. " 

After the oath with Abraham, the servant felt that he had established a bond of faith with God, after which it was impossible to recede. He ought to challenge by faith and take the victory of faith absolutely. He was as a soldier of God passing through this frontier of Mesopotamia. But the spirit of brave soldier is one thing, challenge and outcome is another thing. What to do? He knew there wasn’t something other than prayer. Hence his prostration before God and his impassioned plea. 

But his prayer was not no matter how important. Sometimes we pray: Lord anything, here is your servant ready to accept whatever you give me. Then if we come to being stuck in an inescapable situation, we say: That’s the will of God. But this servant of Abraham did not pray pell-mell like this. His prayer was very orderly and well targeted. He was not become, we will say, a servant of Abraham for nothing. Like master, like servant. The servant challenged God by faith in his prayer. So to speak, his request was very demanding. He asks something like this: "My God, I want it for my lord. Have pity on me by giving me it." The Fulfilment of God depends on the "quality"of the objects of our prayers. It is a very important point we must realize, as we are called to be servants of prayer for the glory of the king. If we pray for chickpea, God give us the chickpea. If we pray for Golden, God gives us the Golden. 

God appreciates our noble desire. He does not disdain it. He wants to fulfill it, if it is pure and unblemished. So it is important to ennoble our desires or our level of desire. Abraham's servant had called God to grant him a woman who has the virtue of noble generosity to watering the herd despite her female weak body and huge effort required given the large caravanserai. God is pleased with this qualified resquest, so he gives another additional quality of the physical beauty of the woman and her chastity, which was not in the list of qualities required of the servant at the beginning. It's like when Solomon asked for wisdom to govern the country, the purpose so honest, God has also given the exceptional wealth of the country. It's also a bit like my wife said, "How beautiful is ths heart seeking the word. But, wow, how well she danse furthermore ! » We must not pray no matter how important. He is the King of kings and Lord of lords who has all the power of heaven and earth. He can select among the thousands of applicants a person who suits us best. If we ask no matter what, no matter who, even though a person already granted be an extreme rarity in France, it will be a lese-majesty. So, ennoble your desires and your requests when you come to seek the king. And I'm sure the king will soon listen to you. Put forword your requirements to God so that you be satisfied with the highest level of quality. God answers according to your requests. 

In conclusion, another if is in the New Testament. This if is related to the first if in our message. When Jesus lingered to come to Bethany, Lazarus was dead. In fact, Jesus remained four days after the news of the illness of his beloved. When he came, first Martha then Mary came to him and said to him this sad speech: "If you've been here, my brother would not be died. » Jesus answered, "I am the resurrection and the life. One who believe in me will live even if he is dead. "Unbelief is to say, you are not so powerful and capable. When we come to Jesus, we must not define the power of God as the first case of the servant and two sisters of Lazare. He yet allowed us to define our resquest on highly desired thing, because God is omnipotent. Therefore, in concluding my message this morning, I strongly urge you to use this proposal if very properly, as often as you like, but very properly so that you can fully benefit from the extreme dimension of goodness, beauty, majesty and holiness of God for you. Then, when it is an event that happens once in our life such as marriage, it seems absolutely appropriate to ask a very noble spiritual quality, because we know that appearance as the Prince is useless If the union is mismated yoke, and we want to serve God with our future home. Then I invite you to pray with me for the summer bible conference, to send us sheep who will be candidates of disciple,  who have finished the first step in Bible study and whose heart is prepared to accept the forgiveness and salvation by writing the testimony during the conference. Amen! 
 

Sunday, May 1, 2011

Voici maintenant, le temps...


VOICI MAINTEANT LE TEMPS

2 Corinthiens 5 :20-6 :1-2


Un berger du pays étranger m’a vu un jour et m’a dit avec un regard de pitié : Oh, combien est-il difficile pour toi d’être un berger à Paris ? » A la pensée d’aucun fruit de conversion autochtone et des fruits seulement dans des personnes qui avaient déjà un arrière-plan chrétien durant ces 10 dernières années du ministère de Paris justifie les dires de ce berger.

Dans le filme d’un homme et une femme où Jean Luc Traittignan a joué un rôle masculin principal, le personnage principal féminin a une relation sexuelle avec cet homme. Le mari de la première a été décédé pendant le ski et elle a une fille. Elle rencontre l’homme qui est devenu aussi veuf. Pendant la relation sexuelle, la femme a eu un sentiment de remords à l’égard de son mari défunt et dit adieu à l’homme et monte dans le train à la destination de Paris vers la fin du filme. L’homme, coureur de la piste de formule 1, pédale le champignon et attend à la gare où le train doit arriver et là la femme s’embarrasse avec l’homme, en laissant le questionnement aux spectateurs sur l’avenir de ce couple. Le filme si romantique et beau de la marque française a contribué à la libéralisation mondiale des mœurs. Si nous analysons le synopsis de ce filme, nous constatons que le cœur de la femme a changé à un moment donné pendant sont trajet du province à la capitale. Et cette capitale s’appelle Paris. Les mœurs de Paris est bien différents de ceux du province. A Paris, tout est permis et tout se déroule dans l’anonymat. C’est la ville de Cancan du Moulin Rouge. C’est crazy.Revenant au filme, la femme avait un certain remords de son infidélité envers sons mari défunt. Mais à vrai dire, il a ce remords d’avoir une relation sexuelle avant le mariage. Mais la femme ne s’était pas repenti de cette relation et finalement en entrant à Paris, son cœur se laisse embrasser par les bras de quelqu’un habillé en noir appelé Mal (je dis symboliquement. Je me suis demandé que si cette femme avait étudié la Bible au moins un ans, sa vie n’aurait pas été changé ou sauvé plutôt ?)

La rage des mœurs libéralisées est désastreuse. Les mains noirs de Satan se sont étendues en démolissant les vies en pêle-mêle. Que pouvons-nous faire devant cette rage ? Mais, dans ce combat de Dieu, tous nos collaborateurs qui gardent la foi sont comme les réservoirs d’eaux impétueuses.Il y a même des couples qui se sont mariés, même sans regarder le visage de future conjoint. C’est une mouvement anachronique ou contre-courant de la génération X. Maintenant, c’est le moment où nous devons ouvrir l’écluse de ces réservoirs pour submerger ce malin vêtu en noir et faire arrêter sa rage ravageuse dans cette ville.

Certains de nos collaborateurs m’ont demandé comment as-tu fait pour qu’il y ait une oeuvre de Dieu peu ordinaire de cette conférence du printemps. D’où as-tu appris ce programme de symposium ?Pour répondre à ces question et par rapport à ce mot : Maintenant dans ma paragraphe précédente, il me paraît judicieux de vous dire de nouveau, sans rien retoucher, le message du pain Quotidien d’il y a quelque jours qui sera révélateur de mon cœur pendant la préparation de la conférence.

Paul dit qu’il ne faut pas recevoir la grâce de Dieu en vin, car il dit : Au temps favorable je t’ai exaucé, au jour du salut, je t’ai secouru. Voici maintenant le temps vraiment favorable, voici maintenant le jour du salut. »

L’homme a pour tendance de penser que maintenant, ce n’est pas le temps si favorable, et d’attendre un moment plus favorable. Puis il précise que cette faveur venait de Dieu et celle venant de Dieu est celle pour le salut. En effet, Jésus avait dit une fois à ses frères qui l’incitèrent à monter à Jérusalem à la fête des Juifs : le moment n’est pas encore venu pour moi, mais pour vous le moment est toujours opportuns. Par exemple, pour les affaires ou pour le études ou pour la promotion, chacun peut se dire que c’est maintenant, sinon je raterai la chance. Mais Paul dit que pour le salut, c’est le meilleur moment.

Il semble que toutes les conditions ne sont pas encore mures pour ça. Si nous voyons la situation actuelle avec une certaine myope, cela semble être vrai. Il semble que les gens ne sont pas encore assez bien préparés. Leur cœur ne sont pas encore prêt, à accepter l’Evangile. Nous n’avons pas assez d’argent ; nous n’avons pas encore assez de diplômés. Nous n’avons pas encore assez de nombre de gens prêts à partir etc. Mais pour Paul, c’est à ce moment de l’insuffisance que nous devons nous apprêter à partir, car c’est le meilleur moment.

Vous vous dites : « Notre conférence est pendant les vacances. Vous vous dites, « Et bien, l’année scolaire s’approche déjà de sa fin. Que peut-on faire ? A ce moment-là, nous devons écouter Paul qui nous dit : Voici maintenant le temps vraiment favorable, voici maintenant le jour du salut.

Pour cela, nous devons surmonter notre esprit de calcul. Pour Philippe, ce n’était vraiment pas le bon moment de nourrir la foule, car il lui manquait vraiment le moyen pour cela. L’esprit du monde est si calculateur, qu’il y a même entre les parents et la parenté, le calcul sans scrupule. Mais Jésus exhorta les disciples à s’occuper de la foule sans calcul et à la nourrir, maintenant.

Quant à vos brebis, vous dites-vous qu’elle ne sont pas encore prêtes ? Mais c’est le meilleur moment de les inviter pour la première fois et de nouveau, si une d’elles a refusé déjà une fois. Si elle a retardé à accepter l’évangile, c’est maintenant qu’elle accepte l’Evangile. Si elle a retardé sa repentance de péché, c’est maintenant qu’elle se repent de ses péchés et être sauvées. Si elle a retardé à accepter la mission pour les jeûnes du pays, c’est maintenant qui est le meilleur moment. Le fait que Paul dit que c’est maintenant, ce n’est pas théoriquement qu’on y pense, mais Paul le dit pour que ses collaborateurs à Corinthe défient par la foi maintenant malgré beaucoup d’obstacles.

En effet les obstacles pour Paul étaient innombrables. Si nous ne voyons que les obstacles, nous ne pouvons pas avoir la foi ni défier. Comme LIKE prévoit une nouvelle entreprise des affaires, je suis allé voir les magasins concurrents dans le banlieue, alors vu les prix de tellement bas des marchandises qui sont arrivées de l’outre-mer, M. Rébecca et moi ont été vite découragés. En effet, j’ai été vite découragé, mais M. Rébecca non. Elle disait que si on fait ceci ou cela, ça va marcher. Donc je me suis repenti de mon manque de foi. Il en est de même pour l’œuvre de Dieu. M. Rébecca était toujours avant moi pour surmonter les obstacles. Puis elle a gagné pas mal de combat dans l’œuvre de Dieu jusqu’à maintenant. Je peut le dire parce qu’elle n’est pas là aujourd’hui à cause de son voyage d’affaires en Corée.

En fait, les obstacles pour Paul qui servait l’œuvre de Dieu était non seulement innombrables, mais aussi très grandes. Les tribulations, les privations, les angoisse, les coups, les prisons, les émeutes, les travaux, les veilles et les jeûnes, etc. Devant la difficulté ou les obstacles insurmontables, l’homme est tenté à se résigner ou se compromettre, en prenant le chemin plus facile ou le chemin de détour. Mais s’il en est ainsi, il ne se trouve pas très honnête devant Dieu. Il se sent honteux. Mais Paul était différent. Il gardait la pureté jusqu’au bout dans son service. Il ne se résignait pas, ni se compromettait. Il défiait les difficultés et les obstacles par la foi et rendait gloire à Dieu par sa victoire.

Il est important toujours de se trouver honnête devant Dieu. Paul l’exprime avec le mot : recommandable, sinon même si nous ne serons pas objets de blâme des autres, nous serons objets de blâme devant Dieu. Paul était toujours pur, sincère, patient et bon, plein d’amour en laçant le combat offensif et défensif. Si nous disons, pourquoi pas, essayons encore une fois, nous perdront rien, une telle tentative sans foi est peu sincère, ni trop pur devant Dieu. Dieu ne nous répondra pas. Mais quand nous avons prié sincèrement Dieu, il ne manque pas de venir nous répondre.

Quand tous les collaborateurs de l’ancien centre de Paris s’écriaient à chaque réunion : Eric pour France, Dieu avait travaillé puissamment pour que ce candidat de prêtre voit son péché et s’en repente et accepte la mission de Dieu. Vraiment, si je vois nos frères et sœurs, je ne peux m’empêcher de constater qu’au temps favorable, Dieu nous a exaucé, et au jour du salut Dieu nous a secouru. Donc, persévérons, nos frères et sœurs, en vue d’apporter le salut dans ce monde. Prions qu’à cette conférence, le Dieu qui a amené le salut à nous autrefois, amène encore son salut à Daylène par son témoignage, à Laura par son témoignage, à Virgile par sa participation, à Marie-Sophie par sa participation à la danse, à Jonas par son témoignage, et à Sun Young par l’écoute des témoignages des autres, etc. et même à une nouvelle brebis inconnue que nous invitons pour l’étude biblique et les messages.

En conclusion, je voudrais répéter une fois encore, servir une brebis, inviter une brebis, en menant mes tâches très lourdes : études, affaires, travail, etc, me semble impossible. Mais c’est maintenant que nous pouvons défier et réussir. C’est pour la gloire divine qui se manifestera pour le salut des âmes, c’est maintenant qui est le meilleur moment. Voici le message du PQ de 12 avril 2011.

Récemment, j’ai eu l’occasion de lire 1 livre d’un certain théologien anglais appelé Bruning qui commence son livre par une sorte de témoignage. Comme son domaine de recherche touchait, dit-il, à l’économie, il se mit à lire beaucoup de livres classique de l’économie tel Richesse des nations d’Adam Smith et à faire l’entretien avec beaucoup d’économistes. Or, il dit qu’au fil du temps, ce qui l’a étonné était double, d’abord parce qu’il a trouvé que parmi ces économistes, rares étaient ceux qui avaient lu les livres classique de l’économie et ensuite que ces économistes étaient extrêmement concentré à l’état actuelle en négligeant le passé. Il dit aussi avec une certaine fierté que le théologien qu’il était est la personne qui scrute l’histoire pour en tirer le sens et l’appliquer au monde actuel. Selon lui, l’intérêt exclusif des économistes est d’améliorer l’économie présente du pays par le moyen efficient et des stratégies rentables quelque soit son passé. Cela nous paraît évident.

Cette tendance des économistes centrée sur l’actualité nous fait pourtant réfléchir. Elle est comparable à une église qui mobilise tous les moyens audiovisuel ultra moderne ayant pour but de faire augmenter en tout état de cause le nombre de ses fidèles.Alors, les autres églises à tendance conservative ou fondamentaliste se mettent à la critiquer en disant que ses membres sont un peu comme les bidons qui n’ont pas de contenu.

Mais, arrêtons-nous un peu pour y réfléchir.Je pense qu’il est judicieux pour nous d’être un peu plus objectifs, car selon la parole de ce matin, la Bible s’accentue de façon excessive sur l’actualité. Dieu lui-même met un énorme accent sur l’état actuel des choses. J’en parlerai encore un peu plus tard.

D’abord, regardons le verset 1. « Puisque nous travaillons ensemble, nous nous exhortons à ne pas recevoir la grâce de Dieu en vain. » Ici, Paul parle du passa. Il semble que les Corinthiens avaient ou venaient de recevoir la grâce de Dieu. Quelle grâce ? En grec, grâce est caris. Le mot Kara en grec qui vient de cette racine signifie joie. Donc, quand on reçoit la grâce, on est joyeux. Ce n’est pourtant pas un sentiment agréable du moment passager, mais une joie constante venant de la grâce du pardon et du salut.

Autrefois ou jusqu’à maintenant, une âme a été appesanti sous le joug du sentiment coupable du péché. Mais Jésus entra dans sa vie et l’enleva afin qu’elle soit libre. Jésus lui a pardonné tous ses péchés et l’affranchit parfaitement. Mais Paul veut prolonger cette expérience du passé au présent et au futur. Il souhaite que cette grâce immuable qu’on a reçu ne soit pas anéanti ni amoindri mais soit continuelle.

Si nous relisons ce verset avec le cœur de prière, nous trouvons que garder la grâce est une tâche assez difficile, mais qu’il nous faut absolument la garder proprement.Ce verset nous dit l’importance de la collaboration, car Paul dit, « nous travaillons ensemble » Chacun pourra dire : Eh bien, je garderai ma grâce par ma lutte personnelle. » Il se trompe. Jamais, la grâce ne sera gardée par sa lutte personnelle. C’est un très important point qui nous en dit long dans cette époque où nous vivons de tendance individualiste.

Après la conférence du printemps où nous avons trouvé que la grâce envers nous n’était pas moindre et au sujet de laquelle certains disaient que Dieu a versé une grâce extraordinaire, nous devons nous efforcer de nous collaborer les uns envers les autres. Alors, Dieu, non seulement nous aidera à maintenant la grâce, mais aussi la fera augmenter constamment, en nous faisant goûter de jour en jour une plus grande joie venant du ciel.

Donc, l’œuvre du passé, nous ne devons pas l’oublier, mais nous en souvenir. Mais la Bible prohibe le réminiscence ou la stagnation. Elle exhorte le progrès et l’avancement continuel. Ainsi, elle met l’accent sur le présent et l’avenir. La grâce du pardon dans le passé peut venir individuellement et elle est par nature personnelle. Mais la grâce du présent et du future vient de l’église, la communauté des saints qui ont la même expérience et la partagent entre eux.

Maintenant, revenons au mot : maintenant.Le verset 2a dit, « Car il dit : Au temps favorable je t’ai exaucé, au jour du salut, je t’ai secouru. » Si nous lisons jusqu’à maintenant, nous pouvons nous dire qu’on ne sait pas quel moment est favorable pour que Dieu nous sauve. Donc, il vaut mieux confier tout à Dieu. Mais l’interprétation de Paul de ce verset prophétique est différente. Le salut et le secours de Dieu est d’une actualité flagrante pour ce serviteur de Dieu.

De ce type était ce grand serviteur considéré dans l’histoire de protestantisme comme père de la mission moderne appelé William Carey qui disait : « Tentez de grandes choses pour Dieu et espérez de grandes choses de Dieu. » Carey ne restait pas dans la réminiscence, il n’était pas non plus futuriste. Il tentait toujours quelque chose de grand pour Dieu, car il savait que Dieu peut travailler puissamment maintenant.

Paul dit donc, « Voici, maintenant le temps vraiment favorable, voici maintenant le jour du salut. » Autrement dit, pour Dieu, le temps est toujours favorable, une fois que son enfant se courbe devant lui humblement et prie. Il s’apprête tout le temps à exaucer sa prière. Chaque jour est le jour de salut et il s’apprête à secourir son enfant, quand celui-ci est dans l’angoisse, dès qu’il vent ver lui et crie : « au secours. »

Le concept du temps des humains est par nature très faussé. Ainsi, il gaspillent beaucoup de temps. Si on est jeune, il semble qu’il y a beaucoup de temps. Mais en fait, ce n’est pas vraiment le cas.Celui qui était à l’école maternelle est devenu aujourd’hui un élève du lycée. A peine finit-on le lycée, on est déjà à l’âge du mariage. Demain, il sera à la retraite. Un jeune homme dit à son père (ce n’est pas dans notre pays) : j’ai mon propre chemin. Si je suis trop astreint, où sera ma vie ? Mais il le dit parce qu’il ne connaît pas la vérité. Il faut qu’il sache que son père s’intéresse beaucoup à sa vie. Il nous faut avoir le vrai concept du temps que nous ne trouvons que selon Dieu.

Par-dessus tout, ici Paul souligne l’actualité du salut. Si vous me permettez, je répéterai que Dieu veut maintenant la collaboration de ses saints, afin que le salut arrive dans ce pays et à ses habitants. Même si les mœurs de ce pays paraissent très défaits, et que les habitants libéraux déchristianisés, c’est maintenant que l’œuvre du salut va se produire parmi eux. Même si nous sommes écervelés – je trouve que la parole de Samuel de Mitspa peut se relativiser, dans la mesure où nous pensons qu’il faut d’abord nous repentir absolument avant qu’il y ait l’œuvre puissante de Dieu, mais en réalité, nous pouvons réaliser l’œuvre du salut auprès d’une brebis, tant que j’obéis à ce mot : maintenant va, quoi que je sois en ce moment plein de péché –, maintenant Dieu peut venir sur nous par son Esprit puissant. Si vous avez reçu une grâce dans vos cœurs récemment, ne ratez pas ce moment précieux que Dieu vous a donné. Ne le laissez pas aller, mais saisissez le et mette au rendement maximum pour Dieu. Dans le voyage du pèlerin, Satan essaie d’éteindre la flamme dans une chambre, mais elle ne s’éteint pas, ce qui rend le voyageur curieux. Mais quand il va de l’autre côté du mur, il comprend, car Jésus verse sans cesse l’huile de derrière. Une fois quand il rendit visite à notre église, Dr. John Jun a dit le tuyau de pétrole d’Alaska pour expliquer le canal de l’Esprit Saint. Je vous dis que tant que vous êtes sauvés par le sang de Jésus que vous recevez, vous ne serez jamais écartés du salut offert par lui. Mais attention, votre vie actuel se qualifie par quelle ardeur a cette flamme et celle se détermine non par Jésus, car il verse sans cesse son huile et il en est volontaire. Mais le trou. Ce trou du bas de mur. C’est comme le tuyau d’Alaska. Et selon la théologie de Paul, c’est l’église, la communauté des saints. Si vous vous éloignez de l’église, ce trou se rétreindra à votre insu. Donc, élargissez ce trou, afin que votre flamme ne cesse de brûler. Jésus ressuscité entrera triomphalement en vous. Vous pouvez vous débrouillez seul en ce concerne les études, l’éducation des enfants, la recherche du travail, etc. Mais vous ne pourrez jamais vous débrouiller seul en ce concerne la croissance spirituelle de vous, vos enfants et vos brebis. Pour l’individualiste que nous sommes et dans l’individualisme auquel nous sommes habitués, ce peut paraître une sentence radicale, je le sais, mais je ne peux dire autrement en tant que gardien des âmes de Dieu, car Dieu ne veut travailler que de cette façon. Fréquentez l’église vous présenter parmi l’assemblée de Dieu et en y venant, jouissez du visage des saints, et n’hésitez pas de confier vos difficultés à votre pasteur, car il est là pour cela, alors, vos fils et vos filles maintiendront la grâce et, s’il y en a, leur décision de foi, et grandiront comme Joël l’avait dit, jusqu’à ce qu’ils prophétiseront. Et vous-mêmes triompherons du donjon de Satan de ce monde en ramenant beaucoup d’âmes à Dieu comme victime expiatoire, et ce maintenant à ce jour ! Alléluia !


NOW THE TIME 

2 Corinthians 5 :20-6 :1-2 


A shepherd of the foreign country saw me one day and told me with a look of pity: "Oh, how difficult is it for you to be a shepherd in Paris? "At the thought of any indigenous fruits of conversion and fruit only in people who already had a Christian background during the past 10 years of ministry in Paris justifies the words of the shepherd. 

In the film of a man and a woman when Jean Luc Traittignan played a male principal caractor, the main female character has sex with this man. 
The first husband was dead during skiing and has one daughter. She meets the man who has become also a widow. During intercourse, the woman had a sense of remorse regarding her deceased husband and said farewell to the man and get on the train to Paris at the end of film. The man, rider of Formula 1 track, accelerated the car and waits at the station where the train must arrive and the woman embarrassed with the man, leaving the audience question the future of this couple . The film is so romantic and beautiful of the French brand has contributed to the global liberalization of morals. If we look at the synopsis of this film, we see that the woman's heart was changed at some point during the trip from the province to the capital. And this capital is called Paris. The moeurs of Paris is very different from those of the province. In Paris, anything goes and everything is anonymous. The city of Cancan of Moulin Rouge. It’s crazy. Coming again to the film, the woman had some remorse for his infidelity to her deceased husband. But in truth, he has this remorse for having sex before marriage. But the woman had not repented of this relationship and finally coming to Paris, his heart is open to embrace in the arms of someone dressed in black called Mal (I say symbolically. I wondered if this woman had studied the Bible at least one years, his life was not changed or saved instead?) 

The rage of liberalized mœurs is disastrous. 
The black hands of Satan have extended lives in demolishing the pell-mell. What can we do about this rage? But in this fight of God, all our employees who keep the faith are like impetuous water tanks. There are even couples who are married, even without looking at the face of future spouse. It is an anachronistic movement or against the current of Generation X. Now is the moment when we must open the lock of these tanks to submerge this devil dressed in black and arrest its devastating rage in this city. 

Some of our colleagues have asked me how did you do for there to be a work of God in this unusual spring conference. Where did you learn this program symposium from? To answer these questions and in relation to the word Now in my previous paragraph, it seems appropriate to tell you again, without reediting, the message of Daily Bread some days ago which will reveal my heart for the preparation of the conference. 

Paul says do not receive the grace of God in vain, for he says: In favorable time I have heard you on the day of salvation I helped you. Now the time's favor, now is the day of salvation. " 

The man has a tendency to think that now is not so favorable time, and wait a moment more favorable. Then he said that this favor came from God and from God is for salvation. In fact, Jesus once said to his brothers that supposed him to go to Jerusalem at the feast of the Jews: the time has not yet come for me but for you the time is always opportune. For example, for business or for studies or for the promotion, anyone can say it is now, otherwise I will miss the chance. But Paul said that for the salvation, now it's the best time. 

It seems that all the conditions are not yet ripe for that. If we see the current situation with some short-sightedness, it seems to be true. It seems that people are not yet adequately prepared. Their heart is not yet ready to accept the Gospel. We do not have enough money, we have not enough graduates. We have not enough number of people ready to go etc.. But for Paul, that's in the insufficient time that we must prepare to leave, because it is the best time. 

You say: "Our conference is during the holidays. You say, "Well, the school year is already approaching its end. What can we do? At this point, we must listen to Paul who says: Now is the time really favorable, now is the day of salvation. 

For this, we must overcome our spirit of calculation. For Philip, it was really not a good time to feed the crowd, because he really missed the opportunity for this. The spirit of world is so calculating, it happens even between parents and kin, ruthless calculation. Jesus exhorted his disciples to address the crowd without calculation and feed now. 

As for your sheep, you say that you are not yet ready? But it is the best time to invite them for the first time and again, if one of them has already refused once. If it has delayed accepting the gospel, now it accepts the Gospel. If it has delayed his repentance of sin it is now that she repents of his sins and be saved. If it has delayed accepting the mission to the country's youth, now is the best time. The fact that Paul says it is now, it is not theoretically he thinks about, but Paul says that his coworkers at Corinth challenge now by faith despite many obstacles. 

Indeed, the obstacles were for Paul innumerable. If we see only the obstacles, we can not have faith or challenge. As LIKE has a new shop, I went to see the competing stores in the suburbs, then saw the price so low for goods that arrived from overseas. Rebecca and I were quickly discouraged. In fact, I was quickly discouraged, but not Rebecca. She said that if we did this or that, it will work. So I repented of my lack of faith. It is the same for God's work. Mr. Rebecca was always before me to overcome obstacles. Then she won a lot of fight in God's work. I can tell because she is not here today because of his business trip to Korea. 

In fact, barriers to Paul, who served as God's work was not only numerous but also very large. Tribulations, privations, fear, beatings, prisons, riots, work, vigils and fasts, etc.. Given the difficulty or obstacles insurmountable, the man is trying to reconcile or compromise himself, taking the easier path or detour road. But if so, it is not very honest to God. He feels ashamed. But Paul was different. He kept the purity in his service to the end. He did not resign nor be compromised. He defied the difficulties and obstacles by faith and glorified God by her victory. 

It is important always to be honest before God. Paul expresses it with the word recommandable. Even if we will not be blameful for other objects, we will be objects of blame to God. Paul was always pure, sincere, patient and kind, loving, tying the struggle offensively and defensively. If we say, why not try again, we lose nothing, by this trial without faith is insincere nor pure before God. God does not answer. But when we prayed earnestly God, he does not fail to come meet us. 

When all the coworkers of the old center of Paris shouted at each meeting Eric for France, God had worked powerfully for this candidate of priest sees his sin and repent and accept God's mission. Really, if I see our brothers and sisters, I can not help noting that favorable time, God has answered, and the day of salvation God has rescued. So persevere, our brothers and sisters, to bring salvation in this world. Let us pray that this conference, the God that brought salvation to us once, still brings his salvation to Daylen by his testimony, to Laura by her testimony, Virgile by its participation, Marie-Sophie through participation in dance , Jonas by his testimony, and Sun Young by listening to testimonies of others, etc.. and even unknown to a new sheep that we invite for Bible study and messages. 

In conclusion, I would like to repeat once again serve as a sheep, invite a sheep, carrying my heavy tasks: education, business, labor, etc., seems impossible. But now we can compete and succeed. That's the glory of God that will manifest for the salvation of souls, now is the best time. Here is the message of PQ April 12, 2011. 

Recently I had occasion to read a book from a certain English theologian called Bruning who begins his book with a sort of testimony. As his research area affected, he said, the economy, he began to read many classical books of economics as Wealth of Nations of Adam Smith and to interview with many economists. However, he said that over time, what has surprised was twofold, first because he found that among economists, few people had read the classic books of the economy and then that these economists were highly concentrated at the current state neglecting the past. He also says with some pride that the theologian like him is a person who searches history to draw meaning and apply it to today's world. He said the exclusive interest of economists is to improve the economy of this country by efficient means and valuable strategies regardless of their past. This seems obvious. 

This tendency of economists focused on nom makes us yet think about. It is comparable to a church that mobilizes all means ultra modern audio-visual aiming to raise in any case the number of faithfuls. Then, other churches having conservative or fundamentalist trend began to criticize it, saying that his members are like the cans that have no content. 

But let us pause a bit to réfléchir. I think it is wise for us to be a little more objective, because in the words of this morning, the Bible is accentuating excessively on now. God himself puts a huge emphasis on the current state of things. I speak a little later. 

First, look at verse 1a. "As we work together, we urge not to receive the grace of God in vain. » Here, Paul speaks of the past. It seems that the Corinthians had or had just received the grace of God. What grace? In Greek, grace is karis. The word in Greek that Kara comes from this root means joy. So when we receive grace, we are happy.This is not a nice feeling of fleeting moment, but a constant joy from the grace of forgiveness and salvation. 

Once or until now, a soul was weighed down under the yoke of guilty feeling of sin. But Jesus entered his life and took him to be free. Jesus has forgiven all his sins and freed perfectly. But Paul wants to extend that experience from past to present and future. He hopes that this unchanging grace we have received is not destroyed nor diminished but is continuing. 

If we read this verse with the heart of prayer, we find that keeping the pardon is a difficult task, but we absolutely must keep it proprement. This verse tells us the importance of collaboration, as Paul says, " we work together "Everyone will say: Well, I will keep my grace through my personal struggle. He is mistaken. Ever, grace will be guarded by her personal struggle. It is a very important point that speaks greatly in this day and age of individualistic trend. 

After the Spring Conference where we found the grace to us was not insignicant and on which some said that God has provided an extraordinary grace, we must strive to cowork each other. So, God not only help us to have the grace now, but also it will increase constantly, making us enjoy every day a greater joy from heaven. 

So, the work of the past, we must not forget, but we remember it. But the Bible prohibits reminiscence or stagnation. She urged the continual progress and advancement. Thus, it focuses on the present and the future. The grace of forgiveness in the past can come individually and it is personal by nature. But the grace of the present and future comes from the church, the community of saints who have the same experience and share them. 

Now back to the word: now. The verse 2 says, "For he said: In favorable time I have heard you on the day of salvation I helped you. "If we read so far, we can say we do not know what timing is right for God to save us. So it is better to entrust everything to God. But Paul's interpretation of this prophetic verse is different. Salvation and God's help is a constantly ‘now’ for this servant of God. 

Of this type was considered this great servant in the history of Protestantism as the father of modern mission named William Carey who said: "Try to do great things for God and expect great things from God. "Carey did not stay in reminiscence, he was not futuristic. He always tried something great for God, for he knew that God can work mightily now. 

So Paul says, "Behold, now time's favor, now is the day of salvation. In other words, for God, time is always positive, once her child is bent humbly before him and pray. It is about all the time to fulfill his prayer. Every day is the day of salvation and he is about to rescue his son when he is in anguish, as soon as he ccmes to him and shout: "Help. " 

The concept of time humans are by nature very distorted. So he wasted much time. If you're young, it seems there is a lot of time. But in fact, it's not really cas. Man who was in kindergarten is now a high school student. Just finished high school there, we are already at the age of marriage. Tomorrow he will retire. A young man tells his father (not in our country): I have my own way. If I am compelled too, where will my life? But he says because he does not know the truth. He must know that his father is very interested in his life. We must have the true concept of time that we find only in God. 

Above all, Paul emphasizes here the now of salvation. If I may, I repeat that God now wants the coworking of his saints, so that salvation arrives in the country and its people. Even if the morals of this country look very defeated, and the inhabitants dechristianized and liberalized, now is the time when the work of salvation will happen among them. Even if we are brainless - I find that the word of Samuel Mizpah may be relativized, since we believe that we must first repent before there is absolutely the powerful work of God, but Actually, we can accomplish the work of salvation of a sheep, as I obey the word, « now go », whatever I am now full of sin - now God can come to us by his powerful Spirit. If you received a grace in your hearts recently, do not miss this precious time that God gave you. Do not let it go, but do it enter and put the maximum yield for God. In the Pilgrim's Progress, Satan tries to extinguish the flame in a room, but it does not turn off, making the curious traveler. But when he goes to the other side of the wall, he understands, for Jesus pours incessantly oil behind. Once when he visited our church, Dr. John Jun said the oil pipe from Alaska to explain the channel of the Holy Spirit. I tell you that if you have been saved by the blood of Jesus that you receive, you'll never strayed from the salvation offered by him. But beware, your current life is qualified by what has this flame and that is determined not by Jesus, because he always pours his oil and he is voluntary for it, but the hole. This hole in the bottom wall is the question. It's like the Alaskan pipe. And according to Paul's theology, it is the church, the community of saints. If you leave the church, this hole will shrink without your knowledge. Therefore, widen the hole so that your flame keeps burning. Risen Jesus triumphantly enters into you. You're doing this alone for studies, education of children, job search, etc.. But you can never manage on your own with regard to the spiritual growth of you, your children and sheep. For we are individualistic and live in the individualism in which we are accustomed, this sentence may seem radical, I know, but I can not say otherwise as the guardian of souls to God, because God does not work other than this way. Attending the church to present among the congregation of God and from there, enjoy the faces of saints, and do not hesitate to confide your problems to your pastor because he is there for that, then your son and your daughters maintain the grace and, if any, their decision of faith, and grow like Joel had said, until they shall prophesy. And yourselves triumph Satan's donjon of this world in bringing many souls to God as sacrifice of propitiation, and this now and today! Hallelujah!