Saturday, February 13, 2010

Message de 21/02/10


L’ŒUVRE DU SAINT-ESPRIT AU MILIEU DU MONDE

Jean 15 :16-16 :15
Verset Clé 16 :8

« Et quand il sera venu, il convaincra le monde de péché, de justice et de jugement : »

La semaine dernière, nous avons appris la sainte cène instituée par Jésus. Et nous l’avons pratiqué en mangeant le pain et buvant le vin. Le sang de Jésus coulant en nous, il nous délivre de tout péché. Par force humaine, personne ne peut s’en libérer. Mais comme un mensonge, quiconque reçoit son sang voit qu’une nouvelle vie surgit en lui en enterrant tous ses péchés, à voire même les souvenirs du péché. Accepter le sang de Jésus est vraiment l’œuvre puissante du Saint-Esprit. L’alliance de sang est forte, plus forte que celle échangée entre le marié et la mariée dans le mariage. Jésus se fit marier avec nous, en répandant son sang précieux. A la place de la doctrine de transsubstantiation selon laquelle le pain se transforme en la vraie chair de Jésus, nous devons venir plutôt à Jésus pour confesser nos péchés et accepter entièrement son pardon. Aujourd’hui, continuons avec une autre leçon, la partie de divine biographie de Jésus, le serviteur souffrant. Dans cette partie de l’évangile, Jésus enseigne d’abord aux disiples sur la haine du monde, après quoi il donna la promesse du Saint-Esprit. Jésus lui-même était haï du monde. Il en sera de même pour les disciples. Mais le Saint-Esprit est plus puissant que la haine du monde. L’œuvre du Saint-Esprit au milieu du monde est plusieurs. Que Dieu nous aide à ouvrir nos cœurs pour la connaître personnellement ce matin !

Lisons le verset 16 du chapitre 15. Ce chapitre est très célèbre à cause d’une belle parabole. Au début de ce chapitre, Jésus a donné une parabole de très belle image d’une vigne composée par un cep et des sarments. Puis il dit que si on demeure dans le cep, les sarments portent beaucoup de bons fruits. Dans la parabole, le cep est Jésus. Or, si un sarment qui est l’homme est détâché du cep, il a ce sinistre sort d’être coupé un jour puis d’être ramassé et brûlé. Dans cette parabole un verbe se trouve récurrent. C’est demeurer. Il apparaît plus de dix fois. Demeurer signifie obéir. Comme nos enfants Priska et Victoire obéissent aux paroles des parents et qu’elles sont joyeuses, si nous demeurons dans la parole ou obéissons à la parole de notre Père céleste, nous nous sentons fort aimés par lui, et nous sommes si joyeux. Mais le point principal de Jésus ici est que l’obéissance amène à la vie fructueuse. Sans l’obéissance à lui nous périssons un jour sans fruit, ce sort étant pour les minables aussi bien que pour les grands. Jésus prenait à cœur vraiment ce fait important que la vie humaine est à porter du fruit spirituel. Après avoir abordé de plusieurs sujets, dans le verset tardif de 16 Jésus rappelle de nouveau cette vérité. Lisons-le donc ensemble. « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais moi, je vous ai choisis et je vous ai établis, afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, pour que tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne. »

Ici, nous apprenons deux choses : d’abord, celui qui choisit est Jésus. Il s’agit de la souveraineté de Dieu sur l’appel de ses serviteurs. Dans la vie, c’est vrai, nous choisissons beaucoup de choses tels, portable, métier, éventuellement conjoint, etc. Mais il y en a qui ne peut être choisi par nous. Par exemple, notre vie n’est pas choisie par nous pour être vécue sur la terre. Il y en a beaucoup qui pensent que la vie appartient à eux-mêmes. Mais ce n’est pas le cas. Au moment d’appel, l’homme doit quitter le monde. L’appel de Dieu en est un autre exemple. Nous n’avons pas choisi pour être disciple de Jésus. C’est Jésus qui nous a appelé pour être son disciple. Si nous avons choisi l’appel de Dieu par nous-mêmes, nous pouvons l’abandonner quand nous semble bon. Mais comme c’est Jésus qui nous a choisis, nous ne pouvons abandonner son appel malgré mon déplaisir. Ensuite, le choix est lié au port de fruit dont Dieu se réjouit pleinement. Quel est le fruit ? Galates 5 :22 dit, « amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, fidélité, douceur, maîtrise de soir. » L’amour est le numéro 1 dans cette liste. C’est pourquoi avant et après ce verset 16, c’est-à-dire dans les verset 12 et 17, Jésus répète deux fois : Voici mon commandement : Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. L’amour est la vertu la plus noble, mais l’amour est une matière la plus difficile à maîtriser pour l’homme. Parfois nous nous désepérons à cause de cette matière difficile, à force d’en être raté. Mais pensons autrement, si Jésus nous a choisi et qu’il a voulu que nous portions du fruit. N’est-ce pas qu’il y a tant de gens sur la terre : 6,8 milliard d’individus. Qui choisirai-je, se serait dit le Seigneur. Mais j’imagine que Jésus aurait dû choisir parmi tant de gens les hommes les plus plausibles de porter du fruit. Donc, soyez fiers de vous, si vous êtes maintenant ici pour être disciples de Jésus. Vous pouvez même vous dire les uns aux autres, « sois fier de toi, rare élu de Dieu. » Moi et vous, nous sommes choisis, car aux yeux de Dieu, nous sommes des personnes les plus plausibles de porter du fruit, y compris le fruit d’amour. Peut-être à cette heure, vous vous dites, « Seigneur, je peux pardonner tous, sauf celui-ci. » C’est pas grave, je vous dis, « vous êtes la personne la plus plausible d’aimer les autres parmi 6,8 milliard d’individus. » De plus, Jésus ne nous a pas laisser aller tout seul, mais nous a équipés d’un outil si efficace : la prière. Il dit que tout ce que nous demandons au Père en son nom nous sera accordé. S’il y a donc quelqu’un que vous ne pouvez aimer, priez.

Jésus se met à enseigner aux disciples la haine du monde. Il dit dans le verset 18. « Si le monde a de la haine pour vous, sachez qu’il m’a haï avant vous. » Jésus lui-même était haï par les hommes, et ce incessamment et impitoyablement. Soit la maltraitance du monde, soit la pression des pairs, elle nous cause la peine. Vous dites : Mon geste de bonté n’est pas compris ou mal interprété. A ce moment-là, nous devons nous souvenir qu’avant nous, il y en a un qui a été maltraité ou malcompris de la même manière. Jésus était venu auprès les siens, mais les siens ne l’avaient pas accueilli. Le Dieu Créateur est venu auprès de sa créature, mais celle-ci tourna le dos contre lui et finit par le crucifier. Vraiment la haine que subit Jésus est inexplicable. Une fois Jésus guérit un homme à la main sèche. Les Pharisiens et les Hérodiens qui étaient d’habitudes les ennemis les uns contre les autres se complotèrent pour le faire mourir. C’était parce qu’il a travaillé le jour de sabbat en guérissant un malade. Jésus dit que les disciples auront la haine du monde, alors qu’eux, en débutant la vie de foi, auraient dû espérer une vie meilleure pleine de tranquillité et de bonheur. Cela aurait dû réchigner certainement les oreilles des disciples. Pourtant, Jésus le dit clairement dès le début. Par ailleurs, le fait que le Seigneur est haï avant nous, en dit long que nous sommes privilégiés de Dieu pour participer à sa souffrance. Précédemment, Jésus dit : « je ne vous appelerai plus serviteurs, mais je vous appelerai amis. » Un axime anglais dit « the friend indeed is the friend in need. » ce qui est traduit en français, « le vrai ami est l’ami dans le besoin. » Le Christ sauveur n’a pas besoin de tonnes de titulaires chrétiens, mais ceux qui veulent participer à sa souffrance. Nous pouvons être amis du Christ, quand nous participons à la même haine que Jésus dans ce monde. Ce monde est dur, mais Jésus ne rate pas de donner sa récompense à ceux qui y participent. Ce bonheur que nous éprouvons au milieu de la haine du monde à cause de son nom est incomparable à toutes les joies que nous propose le monde d’ici-bas. 

D’où vient alors la haine du monde ? Pourquoi le monde va-t-il nous haïr ? N’est-ce pas trop cruel que je pense que ceux qui me sont si chers s’en retournent pour me haïr. C’est à cause de l’appartenance. Jésus l’explique. Le verset suivant 19 dit, « Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela, le monde a de la haine pour vous. » Le monde n’a pas de raison de haïr quelqu’un, si celui-ci partage sa valeur. Mais dès qu’il trouve quelqu’un qui adopte une autre valeur, il le hait ou au moins l’exclut, car il est différent et cette différence le condamne. C’est un peu comme cette fameuse histoire d’enfant où le cygne blanc est haï sans cause parmi les canards gris. Le monde aime ceux qui ont la dextérité d’adaptation. Un célèbre politicien américain est loué par ses compatiotes par sa dextérité de s’adapter aux gens pour qui il travaille, si bien qu’il est comparé par un journaliste à un caméléon. Il est choisi comme haut fonctionnaire malgré le changement de parti du président. Mais si on est chrétien, ce n’est pas un mode de vie très recommandé par Jésus.

Regardons le verset 20. « Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. » Jésus avait dit déjà cette parole lors du lavement des pieds des disciples, pour indiquer que le serviteur doit sans cesse grandir à son maître par son apprentissage de l’humilité. Jésus répéte ici la même parole pour dire que le serviteur doit grandir à son maître par sa participation à la souffrance du maître. Pierre dit, « Au contraire, réjouissez-vous de participer aux souffrances du Christ, afin de vous réjouir aussi avec allégresse, lors de la révélation de sa gloire. » Etre haï du monde est un apprentissage d’un pèlerin chrétien.  

Quand nous sommes confrontés au monde haineux et hostile, nous sommes apeurés. Si nous sommes apeurés, nous perdons courage et sommes tentés de trouver un trou pour y réfugier. Mais toute peur est l’œuvre de Satan, car dit la Bible, en Dieu, il n’y a pas de crainte. Mais si nous sommes enfants de Dieu, il est nécessaire pour nous de nous habituer en quelque sorte à la haine du monde. C’est un apprentissage. Alors Dieu nous bénit. Les membres de notre entreprise de mission LIKE doivent lutter fort avec audace pour aller affronter à la haine et au rejet du monde. Car dans cette entrprise qui est familiale il n’y a pas de haine ni persécution, alors que tous nos collaborateurs qui travaillent dans le monde sont confrontés à la haine du monde d’une manière ou d’une autre. Dieu donne du fruit à ceux qui sont habitués à la haine du monde. N’est-ce pas que quand Pierre et Jean furent confronté à l’écrasante haine du monde après l’ascension de Jésus, il y eut une grande œuvre de Dieu telle 3000 âmes converties une fois et 4000 âmes converties l’autre fois. Missionnaire Clotilde, pendant ses trois années universitaires, malgré l’ambiance hostile à Dieu dans son universitaire, invita beaucoup de ses copines à l’étude de la Bible et les présenta à sa bergère, jusqu’à ce qu’elle fut reconnue comme entremetteuse de foi. A mon avis, elle-même, à cause de son caractère timide, n’a pas pu si audacieusement témoigner, mais c’est le Saint-Esprit qui la rendit capable de le faire. Un de nos ados confesse qu’il avait naturellement peur quand il voulut témoigner de Jésus parmi ses camarades, mais qu’il put enfin la surmonter par l’aide de Dieu. Cette aide de Dieu n’est autre que l’action du Saint-Esprit, envoyé par Jésus. Comme eux, nous aussi, accueillons avec les bras ouverts la haine du monde. 

Dans le chapitre 16, Jésus continue de parler de la haine du monde. Comme nous avons appris de façon réitérée pendant quelques leçons dernières, la raison pour laquelle Jésus parla des choses néfastes, telle la trahison de Juda, était pour que les disciples de Jésus soient avertis à l’avance, afin qu’au moment où cela arrive, ils y soient prêts. Il en est de même pour ses dires de la haine du monde. Regardez le verset 1 du chaptire 16. « Je vous ai parlé ainsi, pour que vous ne soyez pas scandalisée. » Puis Jésus répéta au 4, « je vous ai parlé ainsi, pour que l’heure venue, vous vous souveniez que je vous l’ai dit. » Puis, Jésus énuméra comment le monde maltraitera le peuple de Dieu concrètement. D’abord, ils vous exclueront des synagogues. Cela se rapporte à l’acte d’interdiction du culte infligé aux élus. Ensuite, l’apostasie. Jésus dit que l’heure viendra où quiconque fera mourir le peuple de Dieu pensera offrir un culte à Dieu. Au moment de la réforme, beaucoup de chrétiens réformés en France furent banis de la liberté de culte. Ils étaient exclus et chassé au désert. Si nous voyons le tableau décrivant leur culte, ils rendirent un culte en plaçant une vigie à la hauteur et que la chair du pasteur était démontable pour être prêt à s’enfuir. Et non seulement cela, le massacre de Barthélemy en dit long qu’il fut fait au nom de la religion. Missionnaire Clotilde, après avoir visité le musée du protestantisme français, a changé son opinion sur la France et les Français et se dit très fière. Ces jours-ci j’ai vu et entendu que les Français envient le reveil sans précédent des églises coréennes. Mais les Français doivent avoir la grande fierté, car ils ont un héritage de la foi de leurs ancêtres qui surmontaient par excellence la persécution la plus accablante dans l’histoire de l’église.  

Quand Jésus parla de la haine du monde et de la persécution indescriptible, le cœur des disciples fut désappointé. La pensée de surmonter seuls ces persécutions sans maître les terrorisait. Que faire ? Jésus sachant leur faiblesse de cœur, parla d’un agent céleste qui serait envoyé auprès d’eux pour les soutenir. Ainsi le Saint-Esprit viendra vers eux. Qu’est-ce qu’alors le Saint-Esprit ? Quelle est son action ? Comme nous le verrons, son action est triple. D’abord il console. A part la persécution du monde, le départ immident de Jésus était le sujet qui rend leur cœur gros. Ils se sentirent comme des orphelins. Mais regardons le verset 7. « Cependant, je vous dis la vérité : il est avantageux pour vous que je parte, car si je ne pars pas, le Consolateurs ne viendra pas vers vous ; mais si je m’en vais, je vous l’enverrai. » Le Saint-Esprit est celui qui console, si bien qu’il a ce surnom de Consolateur. Si sinistre soit le cœur, Dieu peut lui donner la vie. Si grande soit la trestesse du cœur, le Saint-Esprit peut le changer en un cœur rempli de joie et d’allégresse. Les femmes pleuraient toute la nuit, parce que leur si bon Jésus fut impitoyablement crucifié par les mains des méchants hommes. Elles allèrent à l’aube au tombeau du Seigneur avec le parfum pour lui rendre leur dernier service. Mais tout à coup leur cœur comme mort fut vivifié et la joie circulait dans leurs veines. Qu’est-ce qui se passa ? Le Saint-Esprit vint vers elle à travers Jésus Ressuscité. Romain 8 :11 dit, « Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité le Christ-Jésus d’entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous » Quand un jour Jésus fut arrivé à Béthanie, beaucoup de gens surtout les professionnels de pleurs furent réunis pour faire une cérémonie de funérailles. C’était pour son ami Lazare, frère de Marthe et Marie qui venait de mourir. Marthe dit à Jésus avec les larmes aux yeux, « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. » Jésus lui dit, « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort. » « Oui, Seigneur, Rabboni. Je crois. » Une petite lueur se leva dans son cœur. L’Esprit Saint appelé Consolateur insuffle ainsi la vie aux cœurs morts et froids des hommes.  En ce qui concerne la consolation, Méllibé dans le roman « les Contes de Canterbury » de Chaucer en parle. Je vous le cite. J’admets qu’il n’est pas interdit de montrer un chagrin raisonnable quand on est dans la peine, parmi d’autres gens dans la peine ; il est alors permis de pleurer. Or, s’il est permi de pleurer raisonnablement, pleurer avec excès est à coup sûr illégitime. On doit modérer son chagrin, selon l’enseignement de Sénèque : « A la mort de ton ami, dit-il, tes yeux ne doivent pas plus se noyer de larmes que rester secs. Tu sens monter les larmes ? contrôle-les. Une fois disparu ton ami, tâche d’en trouver un autre, c’est plus raisonnable que de pleurer l’ami perdu car cela ne sert à rien. » Chaucer cite la parole de Salomon, « de même que les mites dans la toison du mouton détériorent l’etoffe ou que les vermisseaux pourrissent l’arbre, de même le chagrin abîme le cœur. » Il me semble que le propos de cet auteur anglais de 14e siècle en dit long des efforts humains de surmonter le chagrin de cœur. Mais le Saint-Esprit est le Consolateur. Quand il visite le cœur de l’homme, on ne sait d’où, la pleine consolation lui arrive, et chasse tout le chagrin de son cœur.

Quelles actions fait le Saint-Esprit de plus ? Deuxième action du Saint-Esprit est celle de convaincre. Jésus dit, « Et quand il sera venu, il convaincra le monde de péché, de justice et de jugement. » Jésus parle ici des actions du Saint-Esprit qui convainc sur trois sujets. D’abord, il convainc du péché. Qu’est-ce que le péché ? Les gens pensent du péché quand on désobéit aux règles moraux ou à dix commandements de Moïse. C’est vrai que cela est aussi le péché. Mais Jésus dit plus fondamentalement, « parce qu’ils ne croient pas en moi. » L’incoyance consiste au péché selon Jésus. Ne pas accepter Jésus est un péché. C’est une conception très bouleversant à voire révolutionnaire au temps postmoderne et multuculturel où nous vivons. Mais c’est la vérité que ne pas croire en le Fils unique du Père est un péché, car ainsi on refute l’amour immuable du Dieu Créateur.

Le Saint-Esprit convainc le monde aussi de justice. Le monde poursuit la justice, parfois pour accuer les innocents. Mais le Saint-Esprit vient pour établir la véritable justice. Il le convainc de la justice. Qu’est-ce que la justice divine ? Jésus dit que la justice consiste au fait que Jésus va vers le Père et que les disciples ne le verront plus. Les haisseurs de Dieu pensaient que s’ils éliminaient le peuple de Dieu, tout irait bien. Mais il n’en était pas ainsi. Jésus fut ressuscité d’entre les morts. Puis il retourna vers le Père. Le plus grand mal de l’homme, l’ultime création de Dieu, c’est qu’il retourne à la poussière du sol. Job dit, « Si on coupe l’arbre, il repousse, si son trônc meurt il refleurit. Mais où est l’homme qui expire ? » Mais la mort n’est pas la fin de toutes choses comme le pensent nos contemporains. Dieu aima l’homme et envoya vers lui son Libérateur, afin qu’en croyant en lui, il ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. Jean 3 :16 dit, « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » Le Saint-Esprit vient assurer l’homme de la vie éternelle. Il convainc les gens qu’ils ne succomberont pas dans l’enfer, mais qu’ils sont adoptés par Dieu et qu’ils retourneront vers lui. Il y avait une fille qui souffrait sans cesse de l’injustice du monde. Mais cette parole était tellement puissante pour la sauver d’emblée de son optique pessimiste du monde. Il vit une grande lumière resplendir sur sa vie.  

Troisièmement, le Saint-Esprit convainc le monde du jugement. Jésus dit parce que le prince de ce monde est jugé. Quand on parle du jugement, on se rappel jugement dernier. Quand le jugement dernier vient, Jésus dit qu’il séparera les boucs qui vivraient égoïstement d’avec les brebis qui vivraient sacrificiellement et celles-ci iront au royaume de Dieu alors que ceux-là iront dans l’enfer. Mais la conviction du jugement se lie toujours à la personne  du Malin. Nous pensons que nous sommes conduits aux mauvaises pensées à cause d’un mauvais rêve ou cauchemar. Mais nous devons savoir que Satan est un malin qui conduit l’homme au péché. Nous ne serons pas jugés si nous sommes portés par le nom puissant de Jésus, car Jésus a vaincu Satan et l’a jugé. Nous n’avons qu’à croire en Jésus et nous relever du désir du péché. Nous serons plus que vainqueurs, car nul ne nous séparera de l’amour du Christ. Seul Satan va être jugé et les gens qui ont sa marque sur le front.    

Troisième action du Saint Esprit est celle de conduire. Lisons le verset 13. « Quand il sera venu, lui, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité ; car ses paroles ne viendront pas de lui-même, mais il parlera de tout ce qu’il aura entendu et vous annoncera les choses à venir. » Les gens développent et écrivent de multiples livres concernant la méthode de se bien conduire dans le monde concurrentiel et de bien réussir. Mais le chrétien est celui qui se sensibilise par l’Esprit Saint pour vivre la vie de tous les jours. Souvent au matin, nous partons avec beaucoup d’espoir, mais au soir, à vrai dire, nous nous couchons avec beaucoup de regret. Mais la vie conduite par l’Esprit Saint est différente. Elle inspire pleinement les gens qui s’agenouillent et les fait sentir le sourire de Dieu. Sans que le peuple soit conduit par l’Esprit, il risque d’être malconduit. S’il y a la ligne de conduite de l’Esprit, il y a une autre ligne de conduite inspiré par Satan et le monde qui tentent sans cesse les gens vers ce chemin. Par le récent événement de rappel des véhicules, la rénommé société japonaise tombe dans le trouble. Non seulement elle proévoit une érnome perte du profit, mais une amende gouvernemental à cause du retard de la mise en œuvre d’une mesure appropriée. De même, quand nous avons l’échec, nous devons l’encaisser rapidement et faire un nouveau départ. Pour la même société, un spécialiste de gestion disait que le problème arrive du fait qu’étant le premier constructeur automobile, elle ne put gérer la tention engendrée. Il est difficile de devenir le premier. Il dit à propos, « Si la qualité est le premier, cela conduit à un certain nombre de comportement. Si la part de marché est le but, cela conduit à un différent nombre de comportement. » Cela me paraît vrai, car selon le but qu’on fixe, la conduite sera différente. Pour le peuple de Dieu, la conduite se détermine par la parole de vérité comme critère enseignée par le Saint-Esprit. Il est bon de se poser la question si ma conduite est selon la parole. Cette année parmi nous, certains se posent la question si nous accentue sur la multiplication du nombre, nous ne pouvons pas soigner les âmes proprement, c’est-à-dire pour la guérison de leur intérieur souffrant. Nous prions que cette année nous défions pour la double œuvre de Dieu. Si nous référons à la parole de Dieu, nous pouvons recevoir cette direction dont je suis assurés, que Dieu veut que nous doublons d’audace comme Luther disait dans son chant, quand l’ennemi redouble d’effort. Dieu veut que nous haussons la double voix vers le ciel pour crier jour et nuit, et que nous soyons vigilent le matin et le soir ou 7j/7 24h/24 en vue de venir au secours des brebis. Jésus dit, « jusqu’à présent, vous n’avez rien demandé en mon nom. Demandez et vous recevrez, afin que votre joie soit complète. » Puis il dit, « Tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. » Puis, « Dieu le bénit et dit : Soyez féconds et multipliez-vous. Remplissez la terre, Dominez sur les poissons de la mer, etc. » Comme il y a trop de promesses, j’en passe. Il est certain que Dieu veut que nous ne nous affaissons pas devant les épreuves, mais que nous défiions l’œuvre de multiplication du salut des âmes. Prions donc constamment que Dieu nous accorde 80 participants à la conférence d’été et 120 personnes au culte de Noël. Que Dieu nous aide à obéir à sa parole et à sa vision toutes les fois que nous prions. Amen !  

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