Monday, October 7, 2013

Maintenant après avoir donné..



JESUS ENSEIGNE LE ROYAUME DE DIEU ET LA VIE ETERNELLE
Matthieu 19 :1-30
Verset 19 :12,16
« Car il y a des eunuques qui le sont dès le sein de leur mère ; il y en a qui le sont devenus par la main des hommes, et il y en a qui se sont rendus eunuques, à cause du royaume des cieux. Que celui qui peut comprendre comprenne….Alors un homme d’approcha et dit à Jésus : Maître, que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle ? »
Maintenant après avoir donné le discours concernant l’humilité et le pardon, Jésus se dirigea vers la Judée. Jésus arriva aux confins de la Judée en Cisjordanie. C’était une dernière étape géographique avant qu’il entrât dans Jérusalem. Bientôt, Jésus sera arrêté et crucifié par la main des hommes. Dans cette dernière étape, Matthieu décrit quelques rencontres de Jésus. Il rencontra d’abord les Juifs, ensuite les parents amenant les enfants, le jeune homme riche, ses propres disciples qui voulaient un entretien personnel avec lui et les aveugles de Jéricho. Certains lui apportèrent une question sur le problème de la vie tel mariage, certains autres le problème touchant au monde d’au-delà, telle la place de droite et de gauche du royaume de Dieu. Jésus savait que le problème fondamental de ces hommes et de l’homme en général est le royaume de Dieu. Donc, au milieu de ces rencontres, Jésus inséra une parabole concernant le royaume de Dieu. La conclusion de cette parabole est ces mots : « Ainsi les derniers seront les premiers et les premiers seront les derniers. » Céline Dion chanta à peu près : malgré la froideur du monde, un jour dans l’autre réalité, les derniers deviennent les premiers et on devient les princes d’éternité. Peut-être c’est le rêve de tous les gens du monde, au moins, quand on prétend être chrétienne comme ce chanteur – c’est déjà grande chose -.
Mais être premier dans le royaume de Dieu est une chose ayant sens plus profond. D’abord, aujourd’hui, parurent deux catégories de personnes qui prétendent être les premiers dans le monde, soit en raison de leur religiosité soit en raison de leur richesse. Mais Jésus dit qu’il y a encore beaucoup à désirer pour être premier dans le royaume de Dieu. Tout simplement, il faut être pareil aux petits enfants que les disciples chassaient sans scrupule. De nouveau l’humilité est accentuée par Jésus. Les enfants ont le cœur d’apprentissage. Connaître ce qu’est le cœur d’apprentissage et le pratiquer semble avoir un grand écart dans nos vis, car tous disent que j’ai le cœur d’apprentissage, mais rares sont les gens qui apprennent vraiment les autres. Par exemple, il y a une maxime qui dit avec amusement, « pour être riche, il faut s’attrouper avec les riches. » De même, pour apprendre la foi, il faut s’attrouper avec l’homme de foi. Si on dit un peu plus simplement, pour apprendre comment élever les disciples, il faut aller se mettre du côté des gens qui ont l’expérience en la matière et passer du temps en causant avec lui. Pour être bon berger, c’est le meilleur d’apprendre d’une personne qui vit une vie de berger, en prenant soin des plusieurs brebis, même si sa vie ne semble pas être si parfaite. Jésus répète donc l’épisode des enfants, comme si cela donne l’impression de servir d’un refrain de tout au long de son ministère. Parmi tant de caractères louables des enfants, il a ceci : ils n’ont pas de pride (c’est un mot anglais qui englobe fierté et orgueil à la fois français.) Andew Murray dit, je cite la phrase en anglais d’abord pour les étudiants, puis la traduirai en français pour nos enfants. “ Pride must die in you, or nothing of heaven can live in you.”(“la fierté doit mourir en vous, sinon rien du ciel peut vivre en vous.” ) La raison pour laquelle cet acte de se mettre du côté du berger expérimenté et d’apprendre de son savoir-faire est parce que si on ne hausse pas le niveau de la connaissance, on ne peut élever quelqu’un que jusqu’à son propre niveau rudimentaire. Mais si on hausse le niveau sans cesse, un élève a la possibilité de devenir non seulement comme l’enseignant, mais de le dépasser, car il voit le cœur d’apprentissage ardent de leur enseignant. Voici, le bienfait que nous donne le cœur d’apprentissage. Puis en digression, comme nous commençons l’année, il parait judicieux de dire que ce n’est pas bon à un élève d’abandonner une matière en raison de la difficulté de la matière. La vie n’est pas seulement la série de ce que j’aime. Il nous faut savoir besogner ce que nous n’aimons pas. Nous devons passer la nuit pour maîtriser la matière difficile. Et quand on la maîtrise, c’est la joie indicible d’un conquérant qui nous attend. Croyez-moi, c’est mes multiples expériences de ma vie quand j’ai été jeune, et Dieu n’abandonne jamais celui qui n’abandonne, et persévère. La paresse est la plus grande corruption, dit un des plus grands serviteurs de ce temps que je connais personnellement. La paresse est un corollaire de la pride.  
Deux sortes de personne pridés paraissent dans les épisodes du texte de ce matin, avant et après cet accueil d’enfant de Jésus. D’abord, c’est les Pharisiens, les leaders religieux qui s’approchèrent de Jésus et posa la question concernant le mariage. Ils dirent, « Est-il permis à un homme de répudier sa femme pour n’importe quel motif ? » C’était une question piège, car si Jésus dit oui, il perdra les votes des femmes – bien sûr à l’époque, les femmes n’ont pas droit de vote – mais, c’est un peu pénible que toutes les femmes ou même une seule femme ferme son cœur et ne parle plus et à chaque mot, la femme lance le regard de mépris. C’est trop blessant. Par contre, si Jésus dit non, il sera considéré comme l’excellent exemple des féministes, mais ils perdront les votes des hommes, car pour l’homme c’est trop exigent ? Puis, il sera persécuté, car ces religieux avaient un « hidden card » la loi de Moïse qui dit « yes » Alors que faire ou que dire dans ce dilemme ?
Quelle était la réponse de Jésus ? Jésus ne se mêlait pas avec leur argumentation. Il se dit, « Back to the Bible ». Donc, il parla en se basant sur les mots de la Genèse. « N’avez-vous pas lu que le Créateur, au commencement, fit l’homme et la femme et qu’il dit : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seul chair. » Jésus y ajouta ces mots : « Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. » Alors les hommes religieux abattirent leur « hidden card ». Regardez les 7-9. « Pourquoi donc, lui dirent-ils, Moïse a-t-il commandé de donner (à la femme) un acte de divorce et de (la) répudier ? » Quelle était la réponse de Jésus ? Sans être intimidé, Jésus leur répondit, « C’est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes ; au commencement, il n’en était pas ainsi. Mais je vous dis : Quiconque répudie sa femme, sauf pour infidélité, et en épouse une autre, commet un adultère. » C’est l’interprétation libre de Jésus sur la parole de Deutéronome 24 :1. Celui-ci dit, « Lorsqu’un homme aura pris et épousé une femme qui viendrait à ne plus obtenir sa faveur, parce qu’il aura trouvé en elle quelque chose d’inconvenant, il écrira pour elle une lettre de divorce et, après la lui avoir remise en main, il la renverra de sa maison. » Que signifie le mot inconvenant ? Si une femme regarde l’internet de mauvaise image, c’est inconvenant, synonyme d’obscène. Si une femme ne nettoya jamais la maison, c’est inconvenant, synonyme d’impropre. Si une femme fait l’injure, c’est inconvenant, synonyme de grossier. C’est-à-dire, si une femme se comporte de façon dépassée par rapport à la coutume, la femme est considéré comme inconvenante, et elle put être chassée. En tout cas, l’important, c’est qu’on ne la traite pas arbitrairement, on lui émit un acte de divorce, avant de la renvoyer, afin qu’elle ne soit pas proie au péché d’adultère. Avec l’acte de divorce, la femme peut se remarier. Mais Jésus réduit le sens de ce mot d’inconvenant à l’infidélité. Jésus permet le divorce quand on commet seulement l’infidélité. Avec l’autre motif, si on répudie la femme, l’homme sera exposé à l’adultère, en se mariant avec l’autre femme.
Le problème des religieux est qu’en matière du mariage, ils avaient une optique charnelle. Ils pensaient que dès qu’ils trouvèrent quelques fautes chez leur femme, un mauvais ménage par exemple, ils s’apprêtaient de la répudier. De nos jours, il est dit que la raison du divorce chez les hommes est pour la plupart pour avoir une femme plus jeune et jolie. Mais cela n’a pas changé depuis la nuit des temps. Car la nature de l’homme est corrompue. Le peuple d’Israël était le peuple qui vivait pendant 430 ans en Egypte comme esclave. Au fur et à mesure que le temps passait, l’esprit de noblesse qu’il avait eu à l’époque de Joseph s’évaporait petit à petit, et la mentalité d’esclaves prenait le dessus et chacun vivait comme un animal. Il s’intéressait de manger, de boire et de se reposer et de s’accoupler. Il n’y avait pas de moralité. Dieu leur a donné les dix commandements et beaucoup d’autres prescriptions et d’ordonnances. C’était en vue de l’établir comme le royaume de sacrificateur et une nation sainte. Mais ils les ont vite violés.
Surtout Dieu s’attristait que l’institution de mariage du commencement perdit son sens initial et dégénérer selon le sentiment arbitraire de l’homme. En fait, la raison d’envoi du déluge d’autrefois était juste à cause de cette corruption dans l’affaire du mariage. Car l’homme choisissait en pêle-mêle la femme selon la beauté de cette dernière. Dieu s’attriste le plus quand le système de mariage dégénère pour la société, car c’est une moralité de base pour fructifier la société et le monde qui est touché. Cette dernière volonté que Dieu espère voir se réaliser s’est bien révélée quand Jésus fit le premier miracle à Cana en changeant de l’eau en vin. Donc, Dieu ordonna à Moïse d’écrire l’acte de divorce, quel que soit le motif, pour justifier le renvoie de la femme, et que la femme eusse d’une marnière et d’une autre la liberté de se remarier. Au moins, Jésus voulut que le droit de femme soit sauvegardé en cas de la répudiation arbitraire. Donc, c’était purement et simplement un expédient qui palliait le mal de la société.   
Dans une autre occasion, les leaders s’approchaient de Jésus pour parler du mariage. Leur intérêt était toujours charnel. Il s’agissait des sadducéens, cette fois. Ils étaient aristocrates de la classe sacerdotale. Ils ne croyaient ni le monde au-delà, ni l’ange. Leur intérêt était de recevoir la bénédiction matérielle sur la terre. Pour nier la résurrection, ils tramèrent une histoire excentrique d’une femme qui se marie 7 fois successivement avec les frères, car l’aîné mort, sa femme se maria avec le deuxième selon la tradition, et ce mari mourut, elle se maria avec le troisième qui mourut encore en laissant sa femme à se maria avec le quatrième qui mourut également en laissant sa femme à se marier avec le cinquième qui mourut aussi en laissant sa femme, toujours la même femme à se marier avec le sixième qui mourut toujours en laissant sa femme à se marier avec le septième. La question, c’est que si la résurrection est vraie, lors de la résurrection, cette femme sera la femme de qui ? La réponse de Jésus fut qu’ils n’avaient pas à s’inquiéter, car au royaume de Dieu, il n’y a de femme ni homme, le mariage n’existant pas. Ici, le système des religieux est très mondain et terre à terre et charnel. Ils ne pensaient qu’aux choses matérielles et physiques. Même s’ils avaient l’apparence très religieuse, dans leur for intérieur, les pensées étaient pivotées autour des pensées charnelles. Ils ne pensaient qu’à comment manger, comment boire, comment vêtir, comme construire, puis comme s’accoupler. Ainsi, leur nature est très corrompue. Ils semblaient philosopher un peu, mais au fond ce n’était que le raisonnement charnel.   
Ainsi, le mariage est une bénédiction pour l’homme, mais c’est une bénédiction temporelle. Dieu l’avait institué pour en jour pendant que nous sommes sur la terre. Nous pouvons aimer les femmes et aimer les maris. Mais c’est une institution terrestre pour bénir la terre, comme Genèse 1 :28, « Soyez féconds, et multipliez-vous, dominez sur les poissons de la mer, les oiseaux du ciel… » Quand le nouveau ciel vient et la nouvelle Jérusalem descend, tout le système auquel nous sommes si habitués seront bouleversé. Il viendra un jour où nous devons quitter nos bien-aimés de la terre et celui ou celle qui est parti le premier ira et attendra l’autre parti, mais pas comme une épouse ou un époux, mais comme un voisin d’ange qui n’a pas de sexe. Tous serons autour de Jésus assis sur le trône de gloire devant lequel nous tous nous prosternons comme citoyen du royaume. Toutes les larmes venant des scènes de mariage par exemple seront essuyées.  
Donc, la question de justesse du divorce posée par les Pharisiens a un non-sens, si nous la considérons du point de vue d’éternité. Si nous choisissons l’époux ou l’épouse, c’est pour que pendant la terre nous puissions glorifier Dieu par l’union divine. Puis, comme il est difficile d’atteler les deux jougs différents pour un seul chariot, nous avons besoin d’être prudent pour former une maison église. Puis, l’attelage disparate risque de conduire à la cassure du milieu du chemin du chariot. Donc, le mariage est une affaire importante pour l’homme. Mais quand on est chrétien et partage la même foi, Dieu nous donne l’entrainement de nous détacher au fil du temps l’un de l’autre, afin que nous entrions séparément dans le royaume de Dieu.
C’est dans ce sens, Jésus mentionne le mariage de façon spirituelle. L’optique de l’homme est trop assombrie aux affaires du monde et de la terre. Les hommes sont aveuglés des choses du monde pour ne pas voir la lumière éclatante de Dieu et la sainteté de Dieu. Mais en matière du mariage, nous pouvons nous attendre à la venue du Seigneur. Notre alliance de mariage sera défaite en entrant dans le royaume de Dieu.
Jésus parle du célibat. Pendant 6 mois, la brebis m’a dit qu’il a fait le vœu du célibat. C’était quelque chose qui à ma vie semblait être très noble. Un phénomène rare dans ce monde si corrompu. Un charnel n’influera jamais sur cet homme, me disais-je. Donc, je me repens. Mais Jésus parle dans le verset 12 d’être eunuque. Il y a trois sortes d’eunuques. D’abord l’eunuque qui l’est dès le sein de sa mère, c’est une personne qui est né avec la tournée de ne pas pouvoir se marier. Il y a beaucoup de cas où à cause de l’infirmité, qui vivent jusqu’à la fin de leur vie en célibat. Il y a aussi l’eunuque fait par la main des hommes. C’est comme l’eunuque dans l’ancien palais qui s’occupe des femmes et des concubins du roi. C’est pour qu’il n’ait pas de sentiment passionnel envers l’autre sexe. Mais il y a l’autre sorte de l’eunuque qui est le dernier ce sont des eunuques qui vivent en célibat durant toute vie en vue du royaume de Dieu. Leur espérance est au royaume de Dieu. Ce sont ceux qui renoncent au désir du monde pour vivre uniquement pour le royaume de Dieu. Autrefois en Europe, si 2 filles naquirent dans une famille, l’une de ces deux filles fut donnée au couvent pour qu’elle vive seulement pour Dieu. Elle sera classé à ma vue entre le la 2e et la 3e catégorie d’eunuque.
Les disciples pensaient que la condition de divorce basée sur l’infidélité leur semblait trop exigeante, alors ils se disaient qu’il vaut mieux ne pas se marier dans ce cas. Leur système de péchés n’était pas très différent de celui des Pharisiens. Ils voulaient qu’ils soient entièrement libres dans leur action de se marier et de divorcer. Si passe en revue leur vie du passé, ils renonçaient à leur mariage pour suivre et vivre la vie des disciples de Jésus. Il est donc étonnant qu’il pensait que cette condition de divorce est exigeante. Mais au fond, ils décidèrent de donner leur mariage à Dieu. Ils étaient tous les eunuques à cause du royaume de Dieu. Le dernier et quatrième sorte éventuelle d’eunuque semble être celui qui ne divorce pas malgré l’infidélité de la femme et l’accueillit dans sa maison comme une brebis de Dieu. Je dis une brebis de Dieu, car par l’infidélité, l’homme voit se perdre l’amour virginal et un autre amour du royaume de Dieu naît. L’espérance humaine disparaissant de plus en plus, l’espérance vivant de Dieu naît dans le cœur. Sa tristesse momentanée se fait récompenser par la joie ultime de Dieu au ciel.       
Maintenant nous trouvons une autre personne pridée. Regardez le verset 16. « Alors un homme s’approcha et dit à Jésus : Maître, que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle ? » Son aspiration est noble, par ses mots, « pour avoir la vie éternelle. » Jésus lui répondit, « pourquoi m’interroges-tu sur ce qui est bon ? » Mais si on voit l’autre évangile, l’homme riche appela Jésus « bon maître ». Jésus interrogea donc l’homme, « pourquoi m’appelles-tu bon ? »  Dans le monde, il n’y a personne qui est bon, seul Dieu est bon. Jésus est Dieu. L’homme riche le savait. Dans Matthieu, il voulait pratiquer ce qui est bon. Mais l’homme coupable n’a pas de force ni capacité de pratiquer le bien en lui-même. C’est pourquoi l’homme vint auprès de Jésus pour prendre le conseil de sa part. Nous ne pouvons faire ce qui est bon. Seul Jésus nous rend capable de le faire.
Or, cet homme pensait qu’il fallait faire le bien pour entrer dans le royaume de Dieu. Donc, Jésus lui fit rappel des commandements de Dieu, surtout la deuxième partie des dix commandements. Les bonnes œuvres comportent les actions vis-à-vis des autres. D’où cette énumération de Jésus sur les commandements concernant les rapports avec les prochains.
Alors quelle était la réponse de l’homme riche ? Il répondit, « le maître c’est tout ce que j’ai fait. » Quelle étonnante réponse. Depuis la jeunesse, cet homme avait accompli toutes ces obligations concernant les autres. Puis non seulement les commandements dans le décalogue écrits sous formes négative, mais aussi le 5e commandement qui est sous forme positive concernant la relation avec les parents et un autre commandement qui englobe toutes ces commandements de deuxième partie du décalogue qui est de dire, « tu aimeras ton prochain comme toi-même ». A tous ces questions, l’homme riche répondit avec l’assurance cristalline qu’il avait vécu dans l’obéissance absolue.
Donc, il était entièrement obéissant. Il répondit, « J’ai gardé tout cela, que me manque-t-il encore ? » Il était totalement convaincu de son obéissance absolue au commandement, qu’il lui paraissait manquer vraiment rien. Alors, Jésus le regarda avec admiration. Dans ce temps comme le nôtre, pourra-t-on trouver un tel homme de parfaite obéissance ? Mais la réponse de Jésus est si étonnante. « Jésus dit : Si tu veux être parfait, va, vends ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans les cieux. Puis viens, et suis-moi. » Mais à ces mots, l’homme s’en attrista et s’éloigna de Jésus et sa compagnie.
Donc, Jésus dit qu’il est difficile pour le riche d’entrer dans le royaume de Dieu par la parabole d’un chameau qui a la difficulté de passer par le trou d’un aiguille, c’est parce que comme nous le voyons dans cet homme, plus on est riche, plus on est attaché à la richesse ou aux acquis de ce monde. Il est donc très difficile de l’aider à se détacher de ce lien matériel et terrestre. Vu cette parole si dures, les disciples se demandèrent si on peut vraiment entrer dans le royaume de Dieu, s’il en est ainsi. Jésus dit, « aux hommes, cela est impossible, mais à Dieu tout est possible. » Donc, nous ne devons pas dépendre de notre propre force ou notre propre intelligence, seul Jésus rend l’homme capable de convertir quelqu’un d’autre, surtout celui ou celle dont la conversion semble impossible.
Dans le monde il y a beaucoup de chose qui nous semble être impossible. Un des fils avait l’amertume de voir sa mère qui s’approche de l’âge de retraite travailler toujours. Il veut gagner beaucoup d’argent. C’est compréhensible. Son père lui a expliqué sa devise selon la Bible, qu’il faut demander à Dieu ce qui nous fait subvenir la vie, de peur que nous soyons enorgueillis ou que nous ne soyons trop pitoyables. Mais ce jeune homme ne semble être trop convaincu. Or, un autre membre s’apitoya en voyant un des anciens près de retraite travailler toujours par seul à seul étude de la Bible avec les jeunes étudiants. Cela semble être quelque chose impossible pour elle. Ce vieux serviteur était un peu gêné de voir ses jeunes ouilles prier Dieu qu’il étudie bien la Bible avec les jeunes étudiants aujourd’hui, car cela lui fait sonner à ses oreilles comme s’ils souhaitaient qu’il peine jusqu’à sa mort. Je souhaite donc plutôt qu’ils utilisent ce temps précieux de prier pour dire que Dieu les aide à obtenir aujourd’hui une brebis qui étudie la Bible avec eux. Vraiment, de ces jours, il me semblait de plus en plus impossible de voir les anciens et les moins anciens obtenir une brebis fidèle du campus. Il y a quelques années dans une église outre-Atlantique, il y avait un jeune homme qui avait vécu la vie de l’église pendant 16 ans. Pourtant il était le même hier, aujourd’hui et éventuellement à perpétuité. Il participait à tous les réunions, mais il ne changeait jamais spirituellement. Dieu prit soin de lui et qui sait, s’il changerait le lendemain. Par la prière, il pourrait être changé en Jésus-Christ et devenir un jour comme Saint-Paul. Je n’ai pas de nouvelle depuis, donc désolé de ne pas vous donner la fin. Mais certainement, Dieu l’aurait changé et il est devenu le grand serviteur de Dieu et si ce n’est pas le cas, en tout cas Dieu le changera un jour dans ce sens. L’absolue majorité des gens sont totalement impossible d’entrer dans le royaume de Dieu. Mais aux yeux de Jésus ils sont tous les gens entièrement possible d’être changé, devenir disciple et d’entre dans le royaume de Dieu.
Quelle était la réaction de Pierre et des autres disciples en face de cette parole de Jésus ? Il dit, « Voici que nous avons tout quitté et que nous t’avons suivi, qu’en sera-t-il pour nous ? » Si l’abandon des biens pour l’homme riche était gigantesquement difficile, abandonner les biens qui étaient quasi nul poussiéreux n’était pas si difficile, dira-t-on. Néanmoins, Pierre eut quelque chose à dire pour ce sujet d’abandon. Il avait abandonné sa pêcherie, son association, sa famille, belle-mère et femme, peut-être trois enfants aussi. « Mais, dit-il, tout cela qu’en sera-t-il pour moi ? » En ce moment, Pierre tomba dans le profond sentiment de perte. Pour lui, c’est une montagne qu’il a sacrifié pour suivre Jésus. Il veut la récompense. Mais que dit Jésus ? Il dit, « En vérité je vous le dis, quand le Fils de l’homme, au renouvellement de toute choses, sera assis sur son trône de gloire, vous de même qui m’avez suivi, vous serez assis sur douze trônes, et vous jugerez les douze tribus d’Israël. »
David dit dans le psaume, « Ne me cache pas ta face, ne repousse pas avec colère ton serviteur. Tu es mon secours. Ne me laisse pas, ne m’abandonne pas, Dieu de mon salut. Car mon père et ma mère m’abandonnent, mais l’Eternel me recueillera. Les gens qui ne voient pas les gens tourner dans son orbite s’apprête à tout moment à se séparer de son propre orbite, en disant quand je te l’ai dit. Le parjure est un péché grave qui est la lâcheté plus le mensonge de l’Ap 21 :8. Mais Dieu garde son messie dans son sein, et l’aide à plutôt abandonner lui-même et le monde. Car il sait que c’est la bénédiction divine.  
Jésus continue, « quiconque aura quitté, à cause de mon nom, maisons, frères, sœurs, père, mère, femme, enfants ou terre recevra beaucoup plus et héritera la vie éternelle. Notre Dieu n’est pas un Dieu cruel qui demande toujours le renoncement et le sacrifice unilatéral. Je vois que la psychologie des gens modernes est que s’il y a quelque chose à sacrifier, c’est toujours avec la volonté propre, sinon c’est un esclavage ou la dictatorial de demander ou exiger de faire telle ou telle chose. Ils pensaient que l’obligation est une entrave qui perd la valeur, et je trouve que c’est normal, car ils étaient tellement habitués de jouir du droit de l’homme environnemental. Quand dans mon passé, le conservatoire a obligé mes enfants à jouer le théâtre de sorcellerie, je monta sur la scène pour extraire mes enfants de la scène, ce qui a provoqué une grande colère du prof. Mais la récompense de Jésus est garantie. Regardons un peu comment Jésus a traité la liberté de l’homme, car je pense qu’il est judicieux pour nous. Jésus dit : « Désormais, suis-moi, tu seras pêcheur d’hommes. » Pierre voulut qu’il ne voulait pas suivre, mais plutôt souhaitait que Jésus s’éloignait, mais Jésus lui a ordonné, « sans crainte, viens devenir pêcheurs d’hommes. » Là, il n’y a pas de volonté propre. Il a entendu la parole de Dieu et renonça à sa propre vie, et jetant le filet, il se mit à marcher aux pas de Jésus. Le premier pas était difficile. Puis Jésus, de plus en plus, mit l’accent sur l’enseignement du renoncement de Jésus, en répétant ces mots, « si quelqu’un veut venir à moi, qu’il renonce  lui-même, qu’il se charge de la croix et qu’il me suive. » Là il y a aucune volonté humaine propre qui fut inséré. Le renoncement, la croix et obéissance. C’était tout. Mais Jésus savait qu’ils obéissaient à l’appel de Dieu, malgré eux. Mais Jésus comptabilise leur peine. Il sépare aussi ceux qui l’ont suivi parce que cela leur plait et ceux qui l’ont suivi malgré eux, en renonçant à eux-mêmes. Puis pour ces derniers, Jésus dit, la récompense sera énorme.
Jésus dit que quiconque aura quitté à cause de mon nom. La raison de ce départ est le nom de Jésus. A cause de l’excellent du nom de Jésus, Paul avait décidé de rejeter toutes autres choses comme ordure. Beaucoup de gens suivent Jésus à cause de leur propre nom. Au début, la parole, « en elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. » m’a frappé. Quand je l’ai appris que vraiment la vie m’es rendu, et toutes les ténèbres semblaient se dissiper. Mais au bout des longues années de lutte, malgré ce sentiment si agréable, je me suis rendu compte que j’ai vécu ma vie chrétienne pour mon nom. Il y a une grande différence entre pour non nom et pour mon nom et les gens se trompent en disant : je prierai, sous prétexte du nom de Dieu, mais se conclut au profit de mon nom. Petit à petit, j’ai commencé donc à m’épuiser. Un à un les brebis disparurent de mes yeux. A un moment donné, j’ai décidé de vivre uniquement pour Dieu. Au début j’ai pensé que j’ai renoncé mon professorat proposé de mon pays natal pour rester pauvrement en France comme un salarié de troisième classe. Mais tous ces sacrifices étaient pour mon propre nom. Alors à partir quand j’ai sacrifié vraiment le mien ? Je ne sais pas, même maintenant, je sacrifie beaucoup parce que je suis un responsable de l’église, et je suis cette obligation de maintenir l’église et l’ériger devant Dieu. Mais en étudiant la parole de Dieu avec ma nouvelle brebis hier, j’ai reçu une parole, « la parole s’est fait chair, pleine de grâce et pleine de vérité. » La grâce est comprise en général par les gens comme quelque chose d’agréable et beau. Mais la grâce est rien d’autre que l’abandon. Jésus a sacrifié son honneur, sa gloire et sa liberté, mais il vint sur la terre pour devenir esclave. C’était la grâce. Abandonner le mien, c’est quelque chose qui donne grâce aux autres. Quelque part, Bonhoeffer a dit de la grâce couteuse, mais cette fois, j’ai compris que quand j’ai pratiqué mon abandon de soi, j’ai revêtu la grâce et je devins le chrétien. Depuis longtemps, sauf une brebis que j’ai établi comme disciple de Jésus, pour la première fois, j’ai rencontré une brebis qui étudie la Bible de A à Z, c’est-à-dire pêcher, soigner et établir. Le chemin est encore long, mais j’ai appris comment sacrifier pour le nom de Jésus. Je peux sacrifier toutes choses, mon argent, mon cœur, mon temps pour mes enfants, mais c’est d’une manière ou d’une autre pour mon nom. Je ne peux facilement m’assurer de mon sacrifice honnête et désintéressé. De plus, si c’est ma propre brebis, je ne peux encore m’assurer de la qualité de mon abandon, car il y a toujours quelque lien avec mon intérêt. Même si c’est une brebis des autres, comme je suis pasteur, il est difficile de distinguer entre pour son nom ou pour non nom. En fait, c’est la foi. Il me semble. Si je le fait par la foi, je peux me détacher finalement de mon propre intérêt. Comme Abraham fut compté comme justice, quand il crut en Dieu, si nous croyons en Dieu, dans tout ce que nous faisons, cela nous sera compté comme justice.
Nous avons appris les deux pridés. Sortons de leur rang qui malgré leur religiosité apparente et louable, les privait du royaume de Dieu. Que Dieu vous donne le cœur d’enfant pour hériter du royaume de Dieu.
Appendice : Le mot « obliger » vous rappelle quelque chose ? Non, moi si, c’est l’expression française, « la noblesse oblige. » J’appelle nos second gens à se rappelle cette expression et l’adopter dans leur vie. Nous ne devons pas tâter la France de façon par laquelle l’aveugle tâte le tronc d’un éléphant. La basse France crie la liberté, mais il y a la haute France que vous ignorez, car la famille d’immigrés ou métisse appartient à la basse France. Savez-vous la devise de 3D de la famille de MacMahon. La veuve de Macmahon, cet homme politique très célèbre, l’aristocrate diplomate du début du 20e siècle de la France a éduqué avec sa devise de 3D. Ce n’est pas 3D en logiciel ni 3D coréens que le peuple évite de toute force : 3 sales (dirty) métiers. La veuve de MacMahon suivait la tradition de noblesse de sa famille exprimée en 3D. Il s’agit Dignité, Diligence et Discipline. Un jeune homme cri en aire, « hé les gars, attention, il dit ça avec amour, mais garde, il faut faire un filtrage en ne recevant en tant que telle toute sa parole. Il s’écrie aussi à son frère, « ton personnage est encore enfant, parce que tu es trop naïf et obéissant, l’homme créé par Dieu est libre de choisir comme il le désire. Attention, personne n’a droit de t’obliger. » Personne ne voit le danger dans ses mots, mais le pasteur le voit. Dieu fermera sa gueule.  

No comments:

Post a Comment