AMITIÉ DURABLE
1. Définition
1) Intro
2) Acception banale
3) Définition philosophique
4) La frontière d’avec amour
5) 3 sortes d’amitié, motif, processus
2. Le cas réussis
1) Bible
2) Littérature
3. Le cas échoué
1) Bible
2) Littérature
4. Conclusion
- Qu’est-ce que l’amitié ?
(intro) On dit la nouvelle amitié par virtualité : Facebook, chats, blog, forum, courriels, etc.… On compte le nombre d’ami plus de mille, comme une fille qui se définit « une fille tout ce quil y a de plus banal » dont on ignore l’état civile affiche 1333 « ami ». Y a-t-il possibilité d’une réelle amitié en virtualité ? (citation d’un article) Dans le Net, on tricote un soi plus proche de l’idéal du moi que de la réalité. On contrôle son image, ses mots, ses faiblesses, ses petits secrets. On protège sa vulnérabilité…. Certes, le virtuel (un spécialiste de psychologie clinique dit), permettrait à certains d’avoir mieux confiance en eux, d’aller plus facilement à la rencontre de l’autre. Mais qu’arrive-t-il alors, quand après avoir échappé aux première vagues de l’épotion liée au corps, la rencontre se fait, cette fois bien réelle. Les témoignages abondent, en amour ou en amitié, de ces douches glacées, de ces vertigineuses déceptions, de ces charmes portés aux nues et pfff… évanouis. Ce genre d’amitié est d’autant plus fragile qu’elle oublie que l’amitié obéit à de forte régularités sociales (nos amis sont souvent de mêmes conditions culturelles et sociales que nous).
Un journaliste la définit :
L’amitié, c’est une relation privilégiée fondée sur des affinités et une sympathie mutuelle, une forme d’attachement librement choisie qui ne doit rien aux liens familiaux.
Son faux frère, l’amour s’emmêle, tout se complique.
La frontière entre ces deux sentiments universels ne se laisse pas définir si aisément.
- Dans les deux cas, il s’agit bien d’aimer.
- Et il s’agit bien d’une passion, au sens du terme latin passio (souffrance) : selon Robert, le « fait de subir, de souffrir et d’éprouver »
Bien sûr, l’amitié n’est pas que souffrance, tant s’en faut. Pour la plupart d’entre nous, elle évoque au contraire des sentiments joyeux et conviviaux.
La Fontaine : « Qu’un ami véritable est une douce chose ! » => De l’eau fraîche pour une personne fatiguée, Telle est une bonne nouvelle venant d’une terre lointaine (Pr 25 :25) : autrefois l’amitié se noue surtout par les lettres.
Mais beaucoup se méfiaient de ce sentiment :
Alexandre Dumas qui fit pourtant le plus bel éloge de l’amitié dans les Trois Mousquetaires, affirmait qu’elle n’était souvent qu’« un mot déguisant la tyrannie » que certaines personnes exercent sur leurs proches. (Alors Athos, d’Artagnan, Porthos eet Aramis ?)
Un peu philosophiquement :
L’amitié implique essentiellement une sorte de préoccupation particulière pour un ami, un souci raisonnablement porté à un ami.
Les philosophes de la Grèce antique avaient distingué trois notions qui peuvent à juste titre être appelé amour : agape, eros, philia. Agape est une sorte d’amour qui ne répond pas à la valeur antécédente de son objet mais est plutôt considéré à créer la valeur dans l’aimé, elle est venue par la tradition chrétienne pour désigner l’amour que Dieu a pour l’homme ainsi que par extension notre amour pour Dieu et nos prochains. En revanche, Eros et Philia sont généralement compris comme ayant rapport aux mérites de leurs objets – aux bien de l’aimé, en particulier sa bonté ou sa beauté. La différence est que l’Eros fait une sorte de désir passionné pour un objet, généralement de nature sexuelle, alors que la « Philia » signifie à l’origine une sorte de considération affrectueuse ou un sentiment amical envers non seulemenst les amis, mais aussi éventuellement envers les membres de la famille, les partenaire commerciaux, et son pays au sens large (Liddel etal., 1940 ; Cooper, 1977a). Compte tenu de cette classification des types d’amour, Philia semble être celui qui a plus clairement rapport à l’amitié.
Pour cette raison, l’amour et l’amitié sont souvent considérés en bloc comme un seul sujet ; néanmoins, il existe des différences significatives entre eux.
Aspect amitié – amour
Amitié : passé – le vertu (accumulé du passé) : Un échange des vertus
Présent – tel que tu es : inconditionnel
Amour : Présent – tel que tu es : inconditionnel
Avenir – jusqu’à la mort : Un échange de valeur
Amitié n’éxige rien : elle est inconditionnelle – l’amour peut exiger.
(le Monde : François Bott, en analysant l’amitié de 19e sicèle dans la littérature) L’amitié devait être inconditionnel et gratuite sous peine de se refroidir ou de se dégrader. Il était notamment déconseillé d’être créancier ou le débiteur de ses amis…
Trois sorte d’amitié selon Aristote
1) amitié de plaisir
2) amitié d’utilité
3) amitié de la vertu.
1) et 2) amitié déficiente qui se trouve dans les politiques de l’amitié (un peu égoïste) 3) amitié authentique.
Philia se traduit souvent amitié, mais un peu différent, car elle s’exerce aux membres de famille, aux associés d’affaires et aux citoyens.
Les enfants peuvent être un ami des parents ? La plupart des philosophes ne croit pas, la compréhension amitié d’être essentiellement une relaitone entre égaux, et pourant certains philosophes ont l’intention explicite dans leurs exposés de l’amitié pour y inclure les relations parents-enfant.
Le motif :
1) nous nous soucions de nos amis, au moins en partie à cause des bonnes qualités de leurs personnages que nous découvrons en eux (au cas d’Eros, et de Philia communément)
2) Deuxième motif (touchant plutôt à Agape) vouloir conférer une valeur à un ami. (cf. une amitié avec un handicapé)
3) Solidartié : Au 19e siècle, les affinité électives devinrent une protection contre les duretés du monde « extérieur ». « Approuvé par un homme qui connaisse mon cœur…je me consolerais de l’exécration et de la haine de l’univers », écrivait le jeune Crozet à son camarade Henri Beyle. Il s’agissait de soigner « les blessures » que vous infligeait « la mêlée sociale ». => Daniel avec ses amis.
L’intimité joue : divulgation réciproque : lien de confiance indispensable de l’amitié. Par cette sorte de divulgation, nous nous révélons nous-mêmes vulnérables et par elle, nous reconnaissons la bonne volonté de l’ami envers nous. On partage l’un avec l’autre un sens de valeur.
Cas réussi
Dieu – Abraham (malgré la faiblesse de celui-ci, promesse – foi, obéissance) (Jc 2 :23 « Abraham fut appelé Ami de Dieu »)
Abraham accepta l’appel de Dieu, « Va-t’en de ton pays, de ta patrie, de la maison de ton père, je ferai de toi une grande nation, je rendrai ton nom grand, je te bénirai, deviens donc une source bénédiction. » Abraham quitta son pays, ses amis. La vie dans un pays était dure parmi les Canaéens hostiles et bélliqueux. Mais Abaraham crut en l’Eternel ce qui lui fut compté comme justice. Ainsi l’amitié avec Dieu s’établit. Dieu donna la promesse à laquelle Abraham donné l’obéissance et la foi.
Jésus – Disiciples (malgré la faiblesse de ceux-ci, enseignement de promesse – accepté par la foi, abandon de l’amour du monde,)
Un jour, Jésus dit aux disciples, je ne vous appelerai plus serviteurs, mais ami. (je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maîre. Je vous ai appelé amis, arce que tout ce que jai appris de mon Père, je vous l’ai fait connaître.)
4 amis – paralytique : aspect présent – tel qu’il est
A Capernaüm, les 4 hommes était les amis d’un paralytique. A la nouvelle de la venue de Jésus, ils l’amenèrent à l’endroit où était Jésus. Mais comme la maison était tellement bombée, ils ne purent y entrer. Alors ils montèrent sur le toit et enlevèrent le tuile et firent descendre le lit sur lequel leur ami fut couché. Jésus en voyant leur foi, guérit le pralytique, non seulement physiquement, mais aussi spirituellement : accordé le pardon de ses péchés.
David – Jonathan : vertu commun : vaillance, malgré la différence de statut (pasteur – prince), David était 8e enfant d’Isaï, un habitant de Bethléhem. Il fut convoqué, lorsque le roi Saül fut possédé par le démon, car ce jeune garçon savait jouer de la harpe. Jonathan ne le connaissait surtout pas. Mais un moment décisif. Quand Goliath défit le peuple avec sa lance et sa taille, et que tout le peuple y compris le roi tremblèrent, ce garçon venu de la campagne pour la commision du père défia le géant avec 5 pierres polis dans le gibecière et aterrit le géant. Désormais, Jonathan ne quitta pas des yeux David et il noua avec lui une amitié historique. A la nouvelle de la mort de Jonathan, David sanglota, en disant, « Jonathan mon frère, tu m’étais si cher. Ton amour était plus merveilleux encore que l’amour des femmes. » Surtout, Jonathan fit l’acte de l’humilité, David pureté, cœur de Dieu : le point commun c’est Dieu, Jonathan accepta que Dieu a établi David, malgré qu’il soit prince.
Daniel – 3 amis de captivité : la même vertu – purté de cœur devant Dieu, coûte que coûte
Quand ils étaient en captivité en Babylone, ils refusèrent de prendre le mets du roi, pour ne pas se laisser corrompre par la culture païenne. Ce qui était dangereux pour les déportés, mais ces 4 hommes étaient solidaires pour tenir la tête et garder la pureté devant Dieu. Dieu bénit leur foi et leur donna plus de santé à eux qui ne prient que les légumes que les autres qui prenaient le mets du roi. A cause de la jalousie des ennemsi 3 amis furent jeté dans la fournaise ardente et Daniel dans le repaire des lions. Mais Dieu les protégea.
Roman français : 3 Mousquetaires
Le roman raconte les aventures d'un Gasconnote désargenté de 18 ans, d’Artagnan, monté à Paris faire carrière afin de devenir mousquetaire. Il se lie d'amitié avec Athos, Porthos et Aramis, mousquetaires du roi Louis XIII. Ces quatre hommes vont s'opposer au premier ministre, le Cardianl de Richelieu et à ses agents, dont la belle et mystérieuse Milady de Winter, pour sauver l'honneur de la reine de France Anne d'Autriche. Pour leur amitié, une citation, « De leur côté, les trois mousquetaires aimaient fort leur jeune camarade. L'amitié qui unissait ces quatre hommes, et le besoin de se voir trois ou quatre fois par jour, soit pour duel, soit pour affaires, soit pour plaisir, les faisaient sans cesse courir l'un après l'autre comme des ombres ; et l'on rencontrait toujours les inséparables se cherchant du Luxembourg à la place Saint-Sulpice, ou de la rue du Vieux-Colombier au Luxembourg »
Cas de l’échec d’amitié :
Job – 4 amis : amitié formelle, amitié légaliste (Nous t’aimons, mais selon notre analyse, ton malheur a pour cause ton péché, exclurent la souveraine volonté qui put être autre que la leur)
Jésus – Judas : idéal du royaume terreste que partageait les autres, mais ceux-ci tôt ou tard y renoncèrent, alors que Judas le garda jusqu’au bout.
Au cas d’échec, il faut savoir gérer la mémoire.
(un autre article du Monde), Plus que l’amour, même si elle en tire son nom, l’amitié a ses exigence et sa rigueur. Les blessures d’amitié font très mal et son inguérissables. On ne les prévoit pas, on n’y pense pas, tant l’affection que procure l’amitié est et doit être hors de toute compromission. Que faire quand l’ami trahit, quand il avilit ce lien exceptionnel et qu’on voulait pur et franc ? Rien. On ne peut même pas s’en prendre à l’être qui a rempli votre vie et a contribué à lui donner un sens. On souffre et on est désarmé.
Les règles de l’amitié ne se confondent pas avec celles de l’amour, lesquelles n’excluent ni la trahison ni la guerre. C’est pour cela que Cicéron rappelle que « rien n’est plus honteux que de partir en guerre contre celui qui fut vontre ami. » Comment alors supporter l’animosité et la rancœur en hommage à l’amitié passée ? Comment garder dignité et sang-froid face à la déchirure ? Il faut faire l’apprentissage de l’oubli[1], entamer dans la solitude et le silence le deuil de la relation. Car lorsque l’amitié qui est l’« entente nourrie d’affection » est brisée par une indignité, par un manque de vertu, il faut savoir y renoncer. Comme le dit Cicéron, « mieux vaux découfre que déchirer. »
Roman français : Comte Monte Christo
Au début du règne de Louis XVIII, Edmond Dantès est accusé à tort de trahison et enfermé dans la prison d'If, sur l'île du même nom, au large de Marseille. C’était par son ami déguisé Danglars qui avait l’intention de s’emparer sa fiancée, Mercedès. Après 14 années il réussit à s'échapper, et s'empare du trésor de l'île de Monte-Cristo, qui lui a été révélé par un compagnon de captivité. Devenu riche et puissant, il entreprend, sous le nom de comte de Monte-Cristo, de se venger de ses ennemis, qui l'ont accusé.
Roman américain : Benhur
Un des plus grands films de 20e siècle est Benhur.
Son auteur s’appelait Walace. Il était un général, au début il voulut contester la divinité de Jésus et donc se mit à faire une recherche, finalement, il a trouvé qu’il est impossible de trouver que Jésus n’est pas Dieu. Il fut converti et se mit à écrire un roman chrétien qui prouve plutôt la divinité de Jésus-Christ.
Dans le roman ou le film, le personnage principal s’appelle Judas Benhur. Il est un Juif issue d’une famille riche et aristorate. Il a une haute autorité en tant que chef d’une tribu. Il apparaît un soldat romain centurion qui était l’ami d’enfance de Judas, appelé Massala lors du séjour à Rome de Judas. Massala reçut une gouvernance de Judée, et entra à Jérusalem. Au premier jour de rencontre avec Judas, Massala lui demanda sa collaboration de pour l’efficacité et la réussite de sa gouvernance. L’amitié entre deux hommes était forte. Ils s’aimaient l’un l’autre. Mais la barrière racile se dressa entre eux inexorablement. Judas comprend qu’il est sur la lame ou la bifurcation entre deux : amitié ou peuple. Judas choisit le peuple plutôt que l’amitié. L’amitié est, quoi qu’elle soit forte et apparemment solide, prêt à s’émietter devant l’intérêt égoïste. En effet, Judas trahit en quelque sorte l’amitié. Mais Massala voulut profiter de l’amitié. A cause de ce choix sans compromis, Judas fut exilé comme un galérien, car une faute de tombée de tuile lors de son passage était une occasion favorable de Massala de se venger de cette trahison de l’ami. La famille (mère et sœur) fut arrêté et emprisonnée et étant contaminé par la lèpre, déporté dans une asile des lépreux. Entretemps, à cause de la victoire contre les ennemis, mais le sauvetage de l’amiral pendant la guerre, qui se trompait et voulut se suicider, Judas Benhur le sauva, puis finalement quand la guerre s’avérait victoire, il fut promu comme fils de l’amiral. Puis en retournant à Jérusalem avec le pourvoir du fils unique héritier du sénateur car l’amiral était sécateur, Judas planifie le vengeance. Ains dans le course de char avec Massala, celui-ci tomba et dans le sang, il mourrut.
Mais pendant tout au long de ce film, nous voyons une autre amitié. C’est que quand Judas fut en train d’être déporté et traverser le désert et arrivant un certain village appelé Nazareth, Jésus vit que cet homme assoiffé fut exclu par l’ordre du supérieur, de la permission de d’eau. Jésus s’approcha et lui donna de l’eau, et quand le centurion voulut l’empêcher et leva la tête pour voir celui qui en donne, il ne put fixer le regard, car le regard de l’interlocuteur était trop perçant et pieux. Il fut obligé de lui permettre de boire. Lors de la monté de Golgotha de Jésus, une grande foule le suivit et dans cette foule, Judas était là. Judas suivit le condamné portant le croix, et du coup, il s’aperçut que c’était un visage qu’il avait vu quelque part. C’était cet homme d’un village isolé de Galilée qui l’avait sauvé de la soif. Juda précipita pour prendre de l’eau de la citerne et le lui apporter. Mais le soldat frappa du pied le récipient d’eau. Jésus, assoiffé, continua le chemin et finalement fut crucifié. Mais à ce moment, le cœur de Juda fut fondu. Toute le sentiment de haine, car il ne peut effacer cet ancien ami traître qui avait fait ruiner sa vie et la vie des ses mère et sœur, quoi qu’il fut mort, l’envahissait toujours davantage. Mais à la vue de la croix de Jésus, ce sentiment de haine l’abandonna. Puis par le sang de Jésus qui coulait avec le torent de pluie auquel les mère et sœur furent guéris de leur lèpre, en le regardant.
Jésus donna une gorgé d’eau à Judas Benhur assoiffé au désert. Il y a un maxime anglais, qui dit, « friend in need is friend indeed. » (l’ami dans les besoin est le vrai ami. » Juda a perdu l’ami, ou plutôt son ami devint le pire ennemi. Mais Jésus est le vrai ami, car il brave le danger de mort de centurion en lui apportant de l’eau à boire. Mais quand il fut dans la souffrance, si on voit le film, il semble que Jésus sur le chemin de Golgotha ne semble pas discerner qui lui apportait le récipient d’eau. Jésus est l’ami de tous, car il se donne sa vie, mais il ne demande pas la récompense ou le retour. Très contrasté avec l’amitié de Massala.
Conclusion
L’amitié de Dieu est durable, car l’autre partie est un être inchangeable, intact avec le sentiment humain changeant dans le critière et valeur. On peut se poser la question : comment on peut nouer la relation d’amitié avec un être invisible. Mais si nous suivons la trâce d’Abraham, nous aussi nous pouvons nouer la relation d’amitié avec lui. Dieu s’est montré surtout en son Fils unique, Dieu incarné et il se fit ami pour ses Douze disciples. Si nous faisons sa volonté, il veux nous appeler ses amis.
Rodney Cooper spécialiste de relation d’aide en Amérique[2] dit, « l’homme a depuis chute, l’instint de se cacher. » L’homme a la tendance de se justifier, de faire déni de la réalité, Il masque sa faiblesse pour faire ressortir son point fort. Il se réfuge dans la passivité pour se protéger contre les blessures. Mais s’il vient à Dieu sincèrement et révèle ses secrets à Dieu, il peut nouer une relation d’amour avec Dieu. Non seulement cela, en se confessant les uns les autres, on peut former un group fort d’amitié. Dans toute l’amitié, il y a la vulnérabilité de la mal compréhensible et la déceptionde l’indignité, etc. Mais quand nous nous trouvons nus devant Dieu, nous pouvons nouer une vraie amitié. Notre église UBF est reconnue comme une église forte surtout dans son envoie des missionnaires, jusqu’à maintenant 1700 dans 90 pays, pour une seule église, c’est un record. Mais ce sont tous les amis de Dieu, qui avaient rencontré personnellement Dieu par la confession de péché et le pardon de péché et décidé de donner leur vie pour leur ami Jésus. Pour cela, Dieu a utilisé le moyen de confession de la vie en public à travers le témoignage de vie. Quand un homme ou une femme apporte sa vie telle qu’elle est devant Dieu, Dieu daigne venir le rencontrer personnellement.
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