JÉSUS, LE BON BERGER
Jean 10 :1-18
Verset Clé 10 :11
« Moi, je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. »
Jésus est notre bon maître. Il nous donne le bon conseil et souvent de bonnes directives. Si nous suivons ses instructions, nous pouvons vivre une vie heureuse et puissante. Parfois, ses instructions peuvents être dures, mais si nous voulons hériter la vie éternelle nous devons savoir écouter même les paroles qui rechignent nos oreilles. Jésus est aussi notre bon Samaritain. La bonté humaine a des limites. Mais Jésus est le vrai bon Samaritain, car il s’est chargé de tous nos fautes et péchés. Si nous demeurons dans sa grâce nous pouvons couvrir la multitude des péchés des prochains et les aimons comme nous-mêmes. La suite de l’histoire du bon Samaritain n’est pas racontée. Mais il est certain que Dieu a récompensé son sacrifice. Il y avait une épisode concernant Madame Miura Ayako, très célèbre écrivain féminin du Japon. Comme le revenu de son mari était médiocre, Ayako a ouvert une petite boutique de’alimentation dans la rue, en vue de parler de Dieu aux habitants, car elle était chrétienne en même temps de gagner le revenu supplémentaire. Mais la boîte a tellement bien marché qu’elle devait bientôt aggrandir son magasin. Un jour, son mari voyant que sa femme était trop occupée, lui dit, si notre affaire marche si bien, cela nuira-t-il pas les autres magasins voisinants. C’était un autre aspect auquel Ayako ne s’était pas avisé. Alors Ayako se mit à réfléchir et à envoyer les clients venant dans son magasin à d’autres magasins. Alors Ayako put avoir plus de temps libre, et à ce moment elle entama d’écrire un roman nommé plus tard le Point Zéro, qui devint mondialement célèbre. Dieu l’a récompense sa bonté de façon singulière. Si nous donnons une chose pour les voisins, Dieu le bénit et nous récompense. Mais si nous nuisons aux autres, Dieu nous rétribue par le malheur. Donc, nous devons penser au bien des autres toujours. Rm 15 :2,3 dit, « Que chacun de nous plaise au prochain pour ce qui est bon, en vue de l’édification. Car le Christ n’a pas cherché ce qui lui plaisait, mais, selon qu’il est écrit : Les outrages de ceux qui t’outragent sont tombés sur moi. » Si Jésus pense à rétribuer tout le mal que nous lui faisons, aucun d’entre nous restera sur la terre. Mais Jésus à pensée à nous et se réjouit plutôt de se charger de nos outrages. Aujourd’hui Jésus parle de ce qu’il est le bon berger pour ses brebis. Jésus est notre bon berger et nous sommes ses brebis. Que Dieu nous donns une parole précieuse par cette parole et fasse de nous ses fidèles et dociles brebis.
D’abord, le berger entre par la port de la bergerie. Regardez le verset 1. « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n’entre point par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par un autre côté, celui-là est un voleur et un brigand. La bergrie est un enclos non couvert qui peut être fait de pierres brutes de brique séchés, de bois, ou même de buissons d’épines ayant l’utilité principal de fornier aux moutons une protection, surtout la nuit et en cas de tempête. Ses murs hauts et épais sont une barrière qui empêche les voleurs de pénétrer près du troupeau pour enlever les brebis sans défense et ils sont aussi une sauvegarde contre divers prédateurs. Le portier garde pendant la nuit plusieurs groupes de brebis confiées. A l’aube, le berger paraît et le portier ouvre la porte et le berger amène ses brebis dehors et les conduit vers le pâturage. Ici, un brigand ou un voleur est un faux prophète qui épie les âmes des brebis pour s’arracher. A l’époque de Jérémie, les faux prophètes disaient toujour du bien, en disant, « l’ennemi ne viendra pas, le premier captif retournera bientôt. La paix, la paix, il n’y a que la paix pour vous. » Ainsi, le peuple s’asseyait dans le faux coussin de sécurité, jusqu’à ce que le désastre arrive. Il fut arraché de sa terre et emmené en captivité. Ces hommes vinrent mais n’entrent pas honnêtement, mais s’y insèrent avec dissimulation. La raison de leur entrée est marqué plus tard dans le verset 10. Ils étaient venus avant Jésus, donc tous ceux qui existent avant Jésus-Christ appartiennent aux voleurs et aux brigands. S’il est bouddhiste avant de rencontrer Jésus, le Bouddha était un brigand. S’il était un Decartes, en sorte qu’on se dit : je suis cartésien, Decartes ets un voleur. S’il suivait Nitsche ou Rousseau comme un idéal, ils sont tous les voleurs. Jésus vient après et change la vie de quelqu’un. Tous les autres personnes sont les voleurs qui arrachent la vie et le détruisent. Après que Jésus entre dans la vie, la vie de quiconque change. C’est le paradis restauré. Le berger n’entre pas la bergerie de façon dissimulatrice. Il y entre avec toute honnêteté et se présente devant les brebis. Jésus dit une fois, « J’ai parlé ouvertement au monde ; j’ai toujours enseigné dans la synagogue et dans le temple, et je n’ai parlé de rien en secret. Pourquoi m’interroges-tu ? »
Alors que fait le berger ? D’abord, le matin, quand le berger arrive à la bergerie, le portier le salue, en disant, « Bonjour, monsieur », puis ouvre la porte. Le portier est celui qui gardait le troupeau pendant la nuit. Ce personnage est filgurine dans notre histoire. Mais son rôle est très important. Il est comparable au gardien de nos âmes. Les brebis dorment tranquillement. Mais pensez-vous si quelqu’un ne monte pas la garde pendant que nous dormons. Il veille sur les troupeaux. C’est un gardien pendant un laps de temps. Il semble qu’il soit ou un mercenaire ou un employeur, mais ce n’est pas le cas. Il est un homme fidèle de servir les brebis confiés. Pendant la nuit, il chasse les prédateurs qui rôdent ou les voleurs qui épient. Dans la communauté de CBC, il y a ce qu’on appelle berger. Il enseigne la Bible aux brebis. Mais la plupart des temps, il s’occupe de ses affaires. Mais il y a le gardien du troupeau qui est peut-être moins concerné que de son berger, mais qui garde quand-même avec beaucoup d’attention le troupeau. Son intérêt est de comment garder les troupeaux des attaquants imprévus appelé Satan. A l’aube, quand le berger arrive, il ouvre la porte et laisse entrer le berger appler ses brebis, et dès ce moment, il peut se libérer un peu de son rôle et se reposer jusqu’à la prochaine mission qui sera encore la garde d’une autre nuit. Ainsi cette vie se répète jusqu’à sa vieillesse.
Alors que fait le berger ? Le berger entre dans la bergerie et appelle les brebis par leur nom, puis après que les bergers sortent, il marche devant elles. D’abord, le berger appelle les brebis par leur nom. Cela montre que le berger connaît les brebis. Il a la relation personnelle avec chacune des brebis. Il ne rabat pas les animaux de derrière. Mais il appelle chacune par son nom. Si nous voyons les brebris, nous nous apercevons qu’elles sont très différentes les unes des autres. Nous nous apercevons sans tarder qu’il ne faut pas les traiter en bloc. Comme chacun est différent, le traitement doit être différent pour chacun. La mentalité est différente d’un peuple à l’autre. La mentalité est différente d’une race à l’autre. De même, la mentalité est différente d’une personne à l’autre. Une brebis est assez autonome, alors qu’une autre est dépendante. Une brebis est robuste, tandis qu’une autre est d’une santé fragile. Une brebis est du type intellectuelle, tandis qu’une autre est plutôt du type émotionnel. Le berger connaît le nom de chaque brebis et l’appelle. Appeler les brebis par leur nom signifie aussi accepter les brebis telles qu’elles sont. Les brebis sont les brebis. 100 fois mises en liberté, elles perdent le chemin de retour. Donc, elles sont sensés d’être des stupides incorrigibles. Mais il y a une chose qui est son irréfutable spécialité. C’est de connaître la voix du berger. Donc quand le berger les appelles, elles écoutent sa voix, puis suivent le berger sans faute. Elles n’entendent rien de l’étranger, mais quant à la voix, elles discernent comme diables.
Regardez le verset 4. Lorsqu’il a fait sortir toutes celles qui lui appartiennent, il marche devant elles. Que pouvons-nous apprendre ici ? Ici, le mot « appartenir » s’est encore répété. Pour les brebis, l’appartenance joue. Les brebis ne se mélangent jamais d’un troupeau à l’autre. Les brebis appartiennent à leur berger. Non du sens de propriété, de sens de l’occupation ou la responsabilité. Le berger est un gardien de l’âme de brebis. Dans ce sens, nous pouvons dire que cette brebis appartient à ce berger. Puis au fond des choses, elles apprtiennent à Dieu. Une fois, Jésus dit, « C’est pourquoi je vous ai dit que nul ne peut venir à moi, si cela ne lui est donné par le Père. » Nous devons nous occuper de la vie d’une brebis de A à Z, avec le sens de reponsabilité. Puis, nous devons remettre tout ce qui concerne le brebis qui est au-delà de notre capacité dans la main de Dieu. Alors, Dieu s’occupe lui-même de son âme, quoi que nous nous sommeillons la nuit. Les brebis entendent la voix du maître. Cette tonalité est un lien de parenté entre les brebis. L’Eglise de CBC entendit la voix du Seigneur qui nous a appelé pour la mission des étudiants des campus. Nous sommes réunis dans sa bergerie pour accomplir cette mission.
Que fit encore le berger ? Une fois que toutes les brebis sortent, elles suivent le berger qui s’avance. Le fait que le berger marche devant elles signifie qu’il est l’exemple des brebis dans la conduite. Le berger ne rabat jamais les brebis de derrière. Mais il s’avance et les brebis le suivent. Rabattre de derrière est facile, car on les voit et les surpervise. Mais devancer les animaux sans regarder derrière est difficile. Il faut se revêtir de beaucoup d’autorité et d’assurance pour ça. Si nous sommes conducteur des intellectuels, à quoi correspondrait-il ce fait qu’on marche devant eux ? A mon avis, c’est d’avoir une attitude de recherche. Nous devons méditer la parole profondément, jusqu’à ce qu’une étoile du matin se lève dans notre cœur. Certains collaborateurs peuvent se dire, « non je suis plutôt d’un type de bouger, plutôt que de contempler. » Mais si nous ne faisons que de bouger, nous risque devenir étourdis. Nous devons nous asseoir et contempler la parole de Dieu. Alors Dieu illumine nos yeux pour voir le monde mysétrieux de Dieu. Ce mystère de Dieu qui se lève comme une étoile du matin nous donne l’autorité et l’assurance pour conduire les brebis en sumontant notre peur inhérente. Si nous nous appuyons sur notre grâce du passé ou des activités religieuses, il risque que nous manquions inlassablement la puissance indispensable dans la conduite, et donc notre conduite devienne boiteuse. Nous devons creuser la parole de Dieu ainsi que d’être versé dans la connaissance du monde. Je recommande à mes collaborateurs de lire au moins un livre classique par mois, même si notre réunion de lecture ne se poursuit pas cette année.
Regardez le verset 7. Jésus leur dit encore, « En vérité, en vérité, je vous le dis, moi, je suis la porte des brebis. » Jésus dit, « je suis la porte des brebis. » Que cela signifie-t-il ? La porte est la seuil par laquelle on entre et on sort. Il y a deux raisons pour lesquelles Jésus se nomme la porte des brebis. D’abord c’est à cause du salut. Jésus dit, « je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne peut venir au père que par moi. » Jésus est la porte par laquelle l’homme peut entrer et obtenir le salut éternel.
Beaucoup de gens pensent qu’il y a autre porte. J’ai lu un livre dont un rabbi et un prêtre amis étaient coauteurs. Ils voulurent répondre aux questions des enfants qui disaient si Dieu est seul pourquoi il y a tant de religions et tant d’églises, puis ils disent que c’est à peu près comme la montagne et dans la montagne, il y a autant de chemins qui conduisent au sommet. De même, chaque religion, chrétien, musulman et bouddhiste et hindu, tous chacun emprunt un chemin qui les conduit au sommet. Comme tous sont les bons chemins, il faut s’accepter les uns les autres. C’est ce qu’on appelle oeucuménisme. Il y a trois ans, l’évêque de Rome a dit que l’église catholique est la seule église, et ce propos devint une polémique dans le monde religieux. Mais l’église n’est pas la porte, mais Jésus est la porte. Marie, si sainte soit-elle, n’est pas la porte, mais Jésus est la porte des brebis. Il est seul et unique porte par laquelle l’homme peut entrer et acquérir le salut.
Deuxième raison est que les brebis entrent et sortent et trouvent des pâturages. Jésus est le souverain qui nous accompagne tous les jours. Le matin, nous sortons de la maison par la porte et le soir, nous entrons dans la maison par la même porte. Puis en dehors, nous menons une vie active soit pour gagner la vie soit pour acquérir la connaissance, soit servir le Seigneur par nos dons. Jésus est aussi le Seigneur de la vie qui intervient dans chacune de nos vies. Entrer et sortir par la porte signifie que Jésus est le maître de notre vie qui la tient dans sa main. En passant ains la porte, Jésus chaque jour, nous sommes nourris sans manquer de rien tout dont nous avons besoin. La vie est une suite d’entraînements. Pendant le jour, nous devons aller en avant pour paître dans la rase campagne, c’est-à-dire dans le champ ouvert pour créer une histoire. Nous devons expérimenter beaucoup d’exploit de la foi et remporter beaucoup de victoire par l’aide de Dieu. Puis le soir venu, nous revenons à Jésus pour le prier et le remercier. Nous nous soumettons à sa volonté et entrons dans sa bergerie. Et au fur et à mesure que cette vie quotidienne que le Seigneur accompagne se répète et avance, nous grandissons spirituellement pour atteindre finalement la stature de sainteté de Jésus. Jésus est donc la porte des brebis.
La venue d’un voleur ou un brigand a pour but d’enlever la vie. Mais la venue d’un berger est différent. Surtout la venue de Jésus, bon berger a pour but d’amener aux brebis la vie. En Jésus il y a la vie. Quand Dieu créa le ciel et la terre, Dieu établit Jésus, son Fils comme propriétaire de la vie. Ainsi est écrit, « En elle était la vie et la vie était la lumière des hommes. » Dieu forma l’homme de la poussière du sol et insuffla dans ses narines ses souffles vitales, et il devint un être vivant. Donc, l’homme qui a le souffle de Dieu vit pendant que ce souffle demeure selon la volonté du Souverain Dieu et disparaît quand celui-ci lui le reprend.
La venue de Jésus a pour but donc de donner la vie, et cela en abondance. La vie de Jésus est abondante. Chacun a une vie inhérente, mais malheuresement comme Paul disait « quoi que vivant, il est mort », l’homme peut bien respirer, mais son âme fut semblable au mort. Les contemporains de Noé buvaient, mangeaient et se donnaient le mariage, jusqu’à ce que le déluge s’abattait sur eux, et tous furent englouti dans l’abîme des eaux. La raison de ce jugement était comme l’Eternel le disait, « car ils ne devinnent que chair. » Ils sont bel et bien vivants, mais l’Esprit de Dieu les a quitté depuis longtemps à cause de leur mode de vie charnelle. La vie charnelle ne signifie pas forcément qu’on commet l’adultère. C’est qu’à chaque coin de la vie, leur mode de pensée cherchait la satisfaction de la chair. Beaucoup de gens menaient une vie d’une noblesse artistique, mais aux yeux de Dieu, tant qu’il n’y ait pas le Saint-Esprit, cette vie fut défini charnelle. La vie charnelle, quoi que splendide fut son apparence, est une vie morte. La venue de Jésus a pour but de redonner la vie aux âmes mortes. Comment cela est possible ? Jésus donne la vie éternelle à quiconque croit en lui. Nicodème a obtenu la splendeur de la gloire sur le terre. Mais son âme semblait s’abîmer dans le gouffre de la mort de plus en plus. Il eut cette angoisse que sa vie se termine dans le déshonneur, quoi qu’actuellement il joussait de la gloire du monde éclatante. Mais Jésus lui dit, « Si un homme ne nait de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. » Sa vie était si misérable sans voir le royaume de Dieu. Mais Jésus révéla que Dieu a donné son Fils afin que quiconque croit en lui ne périra pas, mais il aura la vie éternelle. Quand il vit la croix de Jésus, il vit une lueur resplendir autour de lui. C’était l’Agneau de Dieu qui s’est sacrifié pour ôter tous les péchés au monde et donner la vie aux âmes mourrantes. Jusqu’à dans sa vieillesse, il avait expérimenté pas mal de moment d’extase, tel par exemple la réussite du concour de magistrature et l’éction dans l’assemblée de Sanhédrin. Mais jamais il n’avait expérimenté un moment d’un si indicible joie comme ceci. Il semblait que de ses deux bras, poussent les ailes et qu’il vole comme des oiseaux. C’était la vie que Dieu lui a donné à travers Jésus-Christ mort sur la croix. Il joignit tout de suite Joseph d’Arimathée qui était en train de préparer le tombeau de Jésus et lui proposa d’amener le myrrhe cher pour l’embaumer.
Il y avait un autre type qui a expérimenté l’abondance de la vie divine. Il s’agit de Zachée dans Luc 19. Il était un des chef des collacteurs d’impôts. Il était un homme à petite taille. A la nouvelle que Jésus passe son village, il se précipita pour voir Jésus, car Jésus était si célèbre. Il était nommé ami des prostitués et des péagers comme lui. Mais lui n’avait jusqu’à maintenant aucun ami, tous l’ayant méprisé comme sale type, vu son abandon sans regret de l’identité nationale d’un peuple de Dieu au profit de sa richesse pourrie contracté avec les romains. Il courut vers lui, mais tous les abords de la route furent bombés par les gens. Il courut vers le syccomore et y monta, finalement il vit Jésus s’approcher du haut du ciel. Son espérance était de voir de plus près possible ce visage de Jésus et après le vit passer, descendre l’arbre et rentre dans sa maison et dormir encore en disant, « que c’était une journée bousculante et chargée. » Mais tout à coup, Jésus s’arrête sous l’arbre et regardant en haut, dit, « Hâte-toi de descendre, Zachée, il faut que je demeure aujourd’hui chez toi. » Il ne put croire ses oreilles. Il descendit et l’accueillit avec joie. Il expérima une joie inexprimable, le monde le plus heureux du monde. Il dit à Jésus, poussé par cette grâce, « Je donne aux pauvres la moitié de mes biens » Alors, Jésus dit, « celui-ci est aussi un fils d’Abraham. » Zachée retrouva l’honneur qu’il avait perdu depuis la jeunesse en cherchant l’argent par cette rencontre de Jésus. Jésus était le bon berger pour lui, afin qu’il ait la vie et la vie en abondance.
Quand nous vivons une vie égoïste, notre vie déchèche sans cesse, malgré la condition humaine augmentée. C’est une tragédie humaine. Car le souffle de Dieu n’y est pas. Mais dès le moment où nous nous repentons, le souffle de Dieu souffle sur nous, et nous avons la vie de Dieu, et ce pas d’un degré moindre, mais en grande effusion. Quand Zachée se repentit de sa vie égoïste et le confessa à Jésus, le vent de l’Esprit souffla sur lui, et il respira cette grande et abondante bénédiciton. Jésus est notre Bon berger. Il est venu pour nous conduire, nous, petit troupeau, et nous offrir sa vie, et ce en abondance.
Il y a 2000 ans, au premier Noël, Jésus fut né dans une étable de Bethléhem. Le couple de Joseph et Marie se déplacèrent et comme il n’y a personne qui leur cède la place de l’hôtellerie, ils ont leur enfant dans la crèche. Cete scène de la naissance de Messie était tellement pathétique que même les animaux répandirent beaucoup de larmes. Comment Dieu Souverain peut-il s’abaisser de la sorte ? Mais c’était pour enrichir la vie des autres qu’il devint si pauvre. 2 Corinthien 8 :9 dit, « Car vous connaissez la grêce de notre Seigneur Jésus-Christ qui pour vous s’est fait pauvre de riche qu’il était, afin que par sa pauvreté vous soyez enrichis. »
Lisez de nouveau le verset 10. Il finit par ces mots, « qu’elles l’aient en abondance. » Comment la vie de Jésus qui finit par la mort devient-elle en abondance pour la brebis. L’abondance a une étroite relation avec la promesse. Si nous voyons la vie d’Abraham, sa vie était si abondante, à la fois matériellement et spirituellement. Pourquoi ? Parce qu’Abraham crut en la promesse de Dieu. Abraham était une personne qui avait joui dans l’histoire de la plus grande abondance. La foi le rendit capable de jouir de l’abondance de Dieu dans sa vie. Le début de sa vie de foi commença par cette voix, « Dieu dit : va de ta maison pour aller dans un endroit que tu connaît pas, je te ferai grand. D’accord ? » C’était un pur fantasme qu’il se déplaça dans un endroit tout à fait inconnu et qu’il devint un grand homme. Mais Abraham crut et partit. Que signifie de mener une vie de foi, alors que vous tous sont soi-disant chrétiens ? Vous vivez par la foi, vous priez par la foi et vous tentez par la foi et vous aidez les autres à avoir la foi, etc. Un diacre a posé cette question personnelle et écrit dans son livre. Je crois que son écriture est très significative et je voudrais vous le rappeler. Vivre une vie de foi se compose en trois étape. C’est d’abord qu’on dois entendre la voix de Dieu. Abraham a reçu l’appel de Dieu, c’est-à-dire qu’il a entendu la voix de Dieu. Prenons un exemple de ce diacre : si vous priez par exemple « Oh Seigneur, je crois que mon fils entrera dans une des premières grandes écoles du pays ! » est-ce que cela peut être par la foi ? Non, parce que dedans il y a son désir, sa convoitise, son ambition etc. Mais si quelqu’un a entendu la voix de Dieu, « Je ferai entrer ton fils dans cette école », c’est autre chose. C’est la première étape de la vie de foi. Donc, nous devons nous courber devant Dieu pour écouter attentivement sa voix. Puis après avoir écouter la parole de Dieu, il faut comme l’étape prochaine, y obéir. Obéir, c’est aider le fils à étudier pour cette école. Ensuite la troisième étape, le plus important étape, c’est que même si Dieu ne permet pas la situation favorable, il faut croire en la promesse. Par exemple, même si l’examen final de l’école de prépa n’est pas à la hauteur de l’entrée de l’école, il faut croire et remettre la candidature à l’école. C’est la foi. Beaucoup de gens disent répétitivement, « je vis par la foi » « je prie par la foi » mais quand il ne voit pas Dieu l’écouter, il se plaint et tombe dans le doute que Dieu ne l’aime pas. Par la véridique foi, un chrétien peut éprouver d’une énnorme bénédiction à la fois matériellement et spirituellement. Notre bon berger Jésus est venu pour que ses brebis apprennent la foi et en vivant la vie de foi, elles expérimentent beaucoup de bénédiction et d’abondance. George Müller était un des serviteurs qui avaient éprouvé la vie en abondance. A un moment donné, il reconnut que de recevoir l’honoraire en tant que pasteur n’est pas très honorable. C’était la voix de Dieu qui lui en parlait. Il se mit à obéir à cette voix de Dieu tout de suite, en mettant le troc à l’entrée de sa chapelle afin que les ouilles puissent y mettre sa contribution. Cela était peu par rapport à son exploit de la foi. Chaque fois, Muller entendit la voix de Dieu qui lui dit, « éprouve moi si je le ferai ou pas. » Quand il écoutait la voix de Dieu et la mettait en pratique dans l’obéissance et en ne doutant pas même lorsque la situation était extrêmement défavorable, il put nourrir plus de 4000 orphelin sans rien leur manquer. Combien malgré que le berger divin Jésus veuille nous offrir d’abondantes grâces, paix, joie, amour, bien d’autres choses, nous menons une vie maigre à cause de notre manque de foi. A l’approche de la fin d’année, j’ai réfléchi notre verset clé de l’année qui était Lc 18 :7, « Et Dieu ne ferait-il point justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, tarderait-il à leur égard ? » J’ai exhorté mes collaborateurs à crier comme ce verset nuit et nuit, afin que la justice soit fait promptement en France. Mais franchement parlant, nous n’avons pas pu avoir l’abondance de la grâce qui vient de la prière. C’est notre sujet commun de la repentance, car nous suivions la forme, mais nous n’avons pas assez communiqué l’esprit de la veuve. La veuve avait entendu la voix de Dieu, qu’il ferai certainement justice dans l’affaire avec le juge inique. Dieu exauça sa prière de cri en voyant son cœur d’amertume. Dieu peut nous exaucer dans nos prières pesonnelles promptement. Mais pour la justice pour le salut d’une âme, il a promis également qu’il le ferai, si nous prions instamment. Mais il nous manquait cette voix de Dieu, en sorte que nous ne recevions pas assez de bénédiction. Je ne suis pas satisfait du fait que le sujet de prière de 30 participants et 15 fois seul à seul qui étaient objet de l’été est encore loin d’être réalise à l’approche de la fin d’année. Nous devons nous repentir de nos péchés d’incrédulté et nous mettre à distribuer nos cartes d’invitation avec une grande assurance en la promesse de Dieu. Si vous avez cette vision de remplir cette salle avec 50 participants au culte l’année prochain, suivez-moi afin de distribuer positivement et activement les cartes d’invitation aux étudiants des campus.
Jésus est le bon berger qui donne sa vie pour ses brebis. Le verset 11 dit, « Moi, je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. » Jésus est le bon berger. Le bon berger est celui qui donne sa vie pour les brebis. Quand le lion et l’ours s’attaquèrent aux brebis du troupeau, l’enfant David se les heurtait et leur arrachait les poils du menton et protégeait la vie des brebis. Il n’épargnait pas sa propre vie en vie de sauver la vie des brebis. Quand le géant Goliath défit le peuple avec son arrogance, l’enfant David fut exaspéré par la parole ignoble de cet homme impie. Le bon berger ne signifie pas être toujours débonnaire. Le côté bonté est équilibré par le côté justice. Quand Jésus entendit de Pierre, « Tu es le Christ » il était vraiment content, car c’était pour cela, qu’il semblait être sorti. Jésus fut pleinement satisfait, mais quand il entendit de la même personne ces mots, « Halte ton chemin de croix » Jésus fut emporté et lui versa une sorte d’injure, en disant, « Arrière de moi Satan. » Le bon berger Jésus n’est pas un berger tout bon. Le bon berger Jésus est celui qui combattait contre le diable. La lutte sanglante de Jésus fit couler sa sueur comme le grumeau de sang. Finalement Jésus donna sa vie sur la croix.
Jésus donna sa vie. Ce n’est pas un simple don de grâce pour les pauvres qui est marqué ici. Jésus vida sa personne entièrement, afin qu’il se donne aux autres. C’est la peine de crucifixion qu’il avait subie. Non seulement cela, mais il se sentit abandonné par Dieu le Père. C’était une des choses les plus difficiles à supporter. Mais Jésus donna sa vie ainsi, afin de sauver ses brebis. Lorsque nous donnons notre vie pour les brebis, nous devons suivre l’exemple de Jésus. Sans la peine de croix, nous ne pourrons voir la gloire de changer les brebis mourrantes en les enfants de Dieu et les disciples dévoués de Jésus. Mais quel est le mercenaire ? Le mercenaire est différent du berger. Quand le loup ou le lion vient, il laisse les brebis dans le champs et il s’enfuit sans regret. Le verset 12 et 13 dit la raison, c’est parce qu’il n’est pas berger et que les brebis ne lui appartiennent pas donc, il ne se donne pas en peine des brebis. Son intérêt n’est pas la vie des brebis quand il les garde, son intérêt est de s’enrichir, en attirant l’attention des brebis, ou en gagnant le salaire. Donc quand le danger survient, il laisse les brebis et s’enfuit.
Les versets 14-15 parlent de nouveau de la connaissance. Le Père connaît Jésus et Jésus connaît le Père. Jésus connaît la volonté du Père qui était qu’il donne sa vie sur la croix pour sauver les âmes. C’était douloureux, mais il lui obéit, car il savait que Dieu le Père le voulait. De même, Jésus connaît les brebis et les brebis le connaissent. C’est la relation d’amour personnelle qui fut fermement établie entre les deux. Nous devons savoir que Jésus est comme notre Père. Il est venu sur la terre et devint notre Père. Nous savons que Jésus nous a aimé tant qu’il s’est sacrifié pour nous. Nous savons que Jésus veut, en mourrant sur la croix, nous aussi nous donnions notre vie pour les autres.
Jésus donne sa vie à son initiative. Jésus n’est pas obligé de donner sa vie. Dans sa pleine spontaneité, Jésus donna sa vie pour ses brebis. Jésus a le pouvoir de donner sa vie, et aussi pouvoir de la récupérer. C’est parce qu’il l’a donné librement dans l’obéissance à Dieu. Dieu lui donne la récompense en le faisant ressusciter d’entre les morts.
En conclusion, nous avons appris que Jésus le seviteur souffrant est aussi le bon berger pour les âmes. Nous ne devons pas oublier que Jésus s’est donné afin que ceux qui écoutent entendent et croient et soient sauvés. Par dessus tout, Jésus nous offre le salut véritable en même temps que de jouir de l’abondance matérielle et spirituelle. Que le Bon berger Jésus vous bénisse !
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