Tuesday, April 5, 2011

DEMEURE ETERNELLE


DEMEURE ETERNELLE

2 Corinthiens 5 :1-10

La seconde loi de thermodynamique consiste à la diminution quantitative de l’énergie au fil du temps, c’est-à-dire l’augmentation de ce qu’on appelle Entropie (le degré de l’absence de l’ordre de matière). Par exemple, si on laisse l’eau qui est la liquide dans un vocal sans toucher, elle volatilise et devient la vapeur dont l’état de particule est plus désordonné. Si on dit autrement, l’énergie qui existe dans l’univers va dans le sens où le degré du désordre augmente, si bien qu’à la fin, tout se défait et se démolit. Ce principe physique est connu aussi comme loi de la disparition de l’énergie et il est considéré comme principe ferme.

Or, ce principe affermi vers l’an 1850 par un scientifique allemand Clausus dans le domaine thermodynamique apparaît déjà dans la Bible plusieurs milliers d’années auparavant. Par exemple, Psaume 102 : 27,28 dit, « Eux (les cieux et la terre) ils périront, mais toi, tu subsistera ; ils s’useront tous comme un vêtement ; tu les changera comme un habit, et ils seront changés. Mais toi, tu reste le même, Et tes années ne finiront pas. » Esaïe 51 :6 dit également, « Levez les yeux vers le ciel puis regardez en bas sur la terre ! Car les cieux se dissiperont comme une fumée, la terre tombera en lambeau comme un vêtement, et ses habitants périront comme des mouches ; mais mon salut durera éternellement et ma justice ne faiblira pas. »

Selon la parole d’aujourd’hui, nous apprenons que nous ne pourrons pas demeurer éternellement sur la terre, mais attendons un nouveau monde qui vient.Au commencement, Dieu a établi un jardin et tout ce qui existaient en lui put demeurer éternellement. Même les animaux et les arbres purent vivre éternellement. Mais par la chute de l’homme, tout la création déchut, et perdit sa vitalité et n’en vint à vivre que pendant quelque temps sur la terre, en attendant sa disparition. Dans son épître aux Romains, Paul disait que toute la création gémit en attendant l’adoption des fils des hommes.

Bien sûr que ce n’est pas seule la création qui souffre, mais les fils des hommes eux-mêmes. De quoi l’homme souffre-t-il ? D’abord, il souffre à cause de la vanité de vie. L’homme arrive nu au monde et il s’en va nu. Au moins une fois, l’homme doit en venir à reconnaître cette vérité inchangeable, puis est obligé de confesser comme Salomon : vanité des vanités, tout est vanité. Toute l’économie et la richesse matérielle au monde sont vouées à la disparition. Donc, cette demeure terrestre, si splendide soit-elle, n’est qu’une tente qui s’envolera un jour en éclats. Ensuite, l’homme souffre à cause de son corps. Ils s’est revêtu du corps mortel qui vieillit. Le nombre de rides et des chevreaux blancs augmente et il perd la vigueur au fil des ans. Enfin, l’homme souffre à cause de sa nature coupable. Même si un homme est né de nouveau, il ne change pas du jour au lendemain.Il doit lutter continuellement contre son péché et contre la puissance de Satan qui guette.

Vu tous ces vanités physique, corporelle et mentale, nous en venons à tomber dans le désarroi. Mais ce n’est pas le cas, car tous ces choses ne sont que les douleurs d’enfantement pour une nouvelle vie. Marc 13 :8 dit « Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura par endroits des tremblements de terre, il y aura des famines. Ce sera le commencement des douleurs. » Mais les douleurs d’enfantement prévoient la joie d’une nouvelle vie. Jean 16 :21 dit, « La femme, lorsqu’elle enfante, a de la tristesse, parce que son heure est venue ; quand elle a donné le jour à l’enfant, elle ne se souvient plus de sa douleur, à cause de la joie de ce qu’un homme soit venu au monde. » C’est ainsi que le gémissement de l’homme à cause des vanités de la vie le conduit à une espérance vivante.

Si le verset 1 du texte de ce matin nous donne l’impression qu’il nous parle des choses matérielles, car il dit ‘le demeure et l’édifice qui n’est pas fait par la main des hommes, en avançant vers les versets 2 et 3, nous nous apercevons que l’auteur parle de notre corps. Toutes les choses dont nous jouiront sur la terre disparaîtront, soit par l’augmentation graduelle de l’entropie soit par les subites catastrophes naturelles, mais notre corps subira d’un autre sort. Nous mourrons, certes, et notre corps se décomposera, mais nous recevrons un autre corps, celui de la résurrection. Or, nous ne nous dévêtirons pas de notre corps actuel, mais nous nous revêtirons d’un quelconque autre corps. Nous ne savons pas ce qui se passera exactement au moment de notre résurrection. Mais, il est certain que le nouveau corps ressuscité aura un certain rapport avec notre corps actuel.

Ainsi de nouveau dans le verset 4, il est dit, « Car tandis que nous sommes dans cette tente, nous gémissons, accablés, parce que nous voulons, non pas nous dévêtir, mais nous revêtir, afin que ce qui est mortel soit absorbé par la vie. » Comme l’eau est absorbé par l’éponge, le matière restera inchangé, mais le caractère est l’attribut seront changés. Notre corps mortel revêtira du corps céleste. Celui-ci sera spirituel. Dans le chapitre de la résurrection du 1e Corinthiens, Paul dit avec la révélation de l’Esprt-Saint : « Il faut en effet que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité… Alors, à ce moment-là, s’accomplira la parole qui est écrite : La mort a été engloutie dans la victoire. »

Alors quel corps revêtirons-nous ? En vivant dans le monde, nous, qui sommes nés en chair, sommes amenés à se comparer, et parfois, nous nous vantons de nos supériorité physiques ou nous sentons certaine infériorité physique au cas contraire. Les gens souffrent aussi de divers handicaps.Même si le 3e fils fut né dans la famille royale, comme il était épileptique, il était interdit qu’on le communique, si on voit le filme de « discours du roi. » Ce roi avait justement un énorme handicap de son bégaiement qui était un point fatal pour un roi. Grâce à sa femme et un orthophoniste dévoué, finalement il a pu surmonté cet handicap. Les gens ont honte du handicap. Mais que se passera-t-il, si notre corps ressuscité a rapport à notre corps actuel, quand Jésus reviendra, au son de trompette de Dieu pour rétablir son royaume parfait ? Si nous sommes destinés à l’enfer, cette question ne serait pas très essentielle, car l’enfer sera s’une couleur entièrement rouge, mais comme nous sommes enfants de Dieu et héritiers du royaume de Dieu, cette question peut nous intéresser.

Quand j’ai fait l’étude de la philosophie, un philosophe allemand appelé Nietzsche qui est très célèbre de son reniement de Dieu par ces mots : Dieu est mort, dit d’autres mots au sujet d’un  bossu, « Si on enlève la bosse au dos d’un bossu, il n’aura pas de sens de vie. » Nietzsche était, à notre grande surprise, un homme qui cherchait un sens de vie et paradoxalement, il vit que dans cette existence de malformation, il y a une personnalité qui cherche le bonheur et le sens et que ceux-ci ne sont pensable sans cet handicap lui-même. Il vit en quelque sorte que dans tous ses formes, le corps actuel peut être un état du plus grand bonheur. C’est à peu près comme cela, pensai-je, ce qui se passera dans le royaume de Dieu. Même si un borgne se trouve dans le royaume n’ayant qu’un œil, cela ne constituera pas comme handicap dans le royaume de Dieu, et même si celui qui est boiteux dans ce monde se trouve encore boiteux dans le ciel, tous ces êtres seront les êtres célestes et ils seront remplis de gloire et de grâce venant de Dieu. Puis, comme le prophète Daniel avait prédit, ils resplendiront comme des étoiles splendides de l’étendu céleste, à toujours et à perpétuité. Même ceux qui sont morts enfants, revêtirons leur corps céleste dans leur résurrection. Ce n’est pas à notre vue très chouette de penser que les enfants resteront éternellement comme enfants. Mais i c’est la volonté de Dieu, ces êtres de petite taille seront des éternels reflets de la pureté et de la joie de Dieu.

Paul certifie cette vérité concernant le monde à venir et notre résurrection par le Saint-Esprit, donc il dit, « Et celui qui nous a formé cela, c’est Dieu, qui nous a donné les arrhes de l’Esprit. » Les arrhes est selon la définition de Robert, la somme d’argent que l’on donne au moment de la conclusion d’une promesse de vente ou d’achat. Donc, Dieu a certifié ce phénomène de la fin du temps en nous donnant son Esprit, et lui-même fut contraint par ces arrhes à la réalisation de ce fait. Donc, quand nous recevons le Saint-Esprit, nous sommes amené à ne pas nous attacher à la réalité actuelle du monde qui passera un jour, mais à aspirer à un avenir que Dieu avait préparé pour nous, la vie éternelle dans le royaume de Dieu. Combien à cause de la réalité cruelle et éphémère de ce monde, l’homme moderne peut être facilement proie au fatalisme désespérant et à l’errance, si bien qu’on a l’impression qu’il va être tôt ou tard malade mental. Vraiment pour que nous vivons dans ce monde trouble, il nous faut beaucoup de foi. Justement recevoir l’Esprit Saint de Dieu qui certifie notre avenir, correspond au fait d’avoir la foi. Oh ! combien sont nombreux des gens, même parmi les chrétiens, qui vivent leur vie au jour le jour !

Au fur et à mesure que l’auteur développe son argument, nous pouvons constater qu’il est en train de parler de comment vivre dans ce monde trouble. Il vent de parler de la glorieuse transformation de son peuple lors de l’avènement de Jésus-Christ. C’est une assurance donnée à chacun de ses enfants. Maintenant, nous avons reçu de Dieu une garantie invariable de la vie éternelle dans le royaume de Dieu.

L’homme est angoissé de son salut en se posant cette question : est-ce que je suis sauvé de la condamnation éternelle ? Beaucoup de gens veulent s’assurer de ce salut par le moyen des œuvres bonnes.Les musulmans se disent que c’est Dieu qui décidera au dernier moment en tenant compte de nos actes méritoires que nous réaliserons sur la terre. Dans ils travaillent et se sacrifient mais dans l’incertitude continuelle jusqu’à la fin de leur vie pendant laquelle ils se disaient toujours : « on verra. » Les catholiques ne sont pas mieux. Mais les protestants que nous sommes ne sont pas mieux non plus, car la logique de Max Weber a d’une certaine manière raison, c’est-à-dire que selon la thèse de la prédestination calviniste, l’homme ne saura pas sa finale destination. Dans ce sens, les protestants sont pires. Dieu a prédestiné certains à la condamnation éternelle dès le début et destiné certaines d’autres au salut, et ce sans dépendre de ses actes. Donc certains théologiens insistent sur le fait que c’est la raison pour laquelle les habitants dans les pays anglophones s’efforcent de travailler diligemment et gagner beaucoup d’argents et être riches, comme un signe évident de la bénédiction divine. Ainsi, ils s’assurent que Dieu les a prédestinés au salut. Or, ce genre de vie n’est qu’énigmatique, et comme un cache-cache.

Mais que dit-il, Dieu, à ce sujet ? Toutes choses peuvent être réglées au moment où nous recevons le Saint-Esprit. C’est lui qu nous donne l’assurance du salut.C’est lui qui nous rend inébranlable malgré le doute assaillant de chaque jour, si bien que nous puissions nous écrier comme Paul : « Qui nous séparera de l’amour de Christ ? La tribulation, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou le dénuement, ou le péril, ou l’épée… Mais dans toutes choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. »

C’est pourquoi en avançant son chapitre, Paul l’auteur de cette épître argumente en face de ses lecteurs à Corinthe en vue de leur montrer l’importance de marcher par la foi. Notre titre de chrétien ne nous sauvera pas. Nos bonnes œuvres ou les dons qu’on donne abondamment à force de la publicité de l’église : un slogan que j’ai vue comme publicité se dit, « Donner et Recevoir » Ca me paraissait bizarre. Mais les gens pensent qu’ils recevrez le salut si on donne beaucoup d’argent. En tout cas, il est certain que nous ne pouvons recevoir le salut à travers ce genre de geste de version moderne de l’indulgence.

Nous pouvons être sauvés par la foi. C’est pourquoi Paul se dirige vers ce thème important au fils de ses versets. Quand nous avons la foi, nous pouvons résister aux doutes et être courageux pour vivre notre vie dans le monde plein d’incertitude. Paul répète deux fois « plein de courage ». Lisons les versets 6 à 8. « Nous sommes donc toujours pleins de courage et nous savons qu’en demeurant dans ce corps, nous demeurons loin du Seigneur – car nous marchons par la foi et non par la vue – nous sommes pleins de courage et nous aimons mieux quitter ce corps et demeura auprès du Seigneur. »

Que ce soit à cause de la peur de la mort ou à cause de l’attachement à nos appartements, nos familles ou à la vie en général, nous nous attachons à ce monde, ne voulant pas trop nous presser d’aller au ciel. Mais le désir de l’apôtre était d’aller au plutôt possible auprès du Seigneur, car c’est de beaucoup meilleur. Une fois il disait : « Je suis pressé des deux côtés : j’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui est de beaucoup le meilleur ; mais à cause de vous, il est plus nécessaire que je demeure dans la chair. J’en suis persuadé, je le sais : je restera et je séjournerai auprès de vous tous, pour votre progrès et pour votre joie dans la foi. »

Vraiment, sans ce sens de mission, il nous semble que même si nous n’avons à nous suicider, ce serait la même si nous vivons ou nous mourrons, et la mort est plus préférable, car nous allons quitter ce monde pleine de pleines et aller tôt auprès de Jésus. Mais, Dieu nous a donné cette vie pour que nous la vivions par la foi et pour la mission.

Le verset 9 dit, « C’est pour cela aussi que nous mettons notre point d’honneur à lui être agréable, soit que nous demeurions dans ce corps, soit que nous le quittions. » Ce verset nous rappelle Hébreux 11 :6 qui nous dit, « Sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu… » (TOB) Si on dit autrement ce verset, ce serait comme si nous disons : « Sur cette terre éphémère, tout ce qui restera, sera la trace de la foi. Les dons abondants ne laisserons pas la trace ; les œuvres bonnes ne laisseront pas la trace. Les activités religieuses ne laisseront pas non plus la trace. Toutes ces choses seront effacés comme le chemin e pas sur le sable s’efface par le vague de la mer. Mais la foi laisse la trace, car elle est seule agréable à notre Seigneur Créateur de notre vie.

Pour que nous soyons bons soldats du Christ selon la devise de notre église de cette année, il faut la foi. La foi engendre le courage. Pour la condition de bon soldat qui mène les combats à la victoire, Clausewitz a pris trois qualités, c’est courage, dévouement et audace. Quelle est la différence de ces deux mots qui semblent être synonymes : courage et audace. Le premier est le terme défensif et le deuxième terme offensif. C’est pourquoi quand on salut : bon courage ! nous épions certain faiblesse et fatalisme. Mais ce n’est que la réalité de l’homme qui est mortel. Tous les efforts si audacieux d’une homme dans sa vie seront soldé par leur anéantissement, car tout va finir par la mort. Mais le vrai soldat du Christ est celui qui tend du courage vers l’audace. Il peut défier toutes les barrières par la foi et remporte la victoire non à cause de sa force à lui, mais à cause de la puissance de Dieu en qui il croit.

Savez-vous pourquoi dans le monde il y a beaucoup de gens qui semblent être malades mentaux ? J’aimerai vous évoquer encore une fois les deux mots allemands qui nous donnent, semble-t-il, ses réponses : Zweifeln dont la racine est zwei (deux) signifiant douter et verzweifeln venant de ce mot signifie désespérer. Il y en a des gens qui se laissent assaillir facilement par le doute. Certains, quand ils font quelques choses, commencent par douter. Leur fin est évident depuis le début, sans avoir besoin de citer ce maxime : on reconnaît le fruit par le bourgeons.

Il y a un maxime allemand que je pense judicieux de partager avec vous ce matin avant de conclure mon message. Voulez-vous l’apprendre ? C’est intéressant : « Vergeben et vergessen. » Ce serait mieux de le traduire en anglais d’abord, car les deux mots ont les mêmes préfixes. Il se traduit : forgive and forget. » Si on le dit en français, « pardonne et oublie. » Il est très paradoxal que Alexandre Dumas qui a dit, « A tous les maux il y a ces deux remèdes : le temps et le silence, » a écrit un roman, « le Comte Monte Christo » qui n’oublie jamais le mal qui lui a été fait et le nourrissant au fil des ans, éliminait tous les ennemis.Il n’y aura pas plus redoutable jugement de la part des hommes que de dire « je ne l’oublierai pas. » Mais que dira Dieu, à ce sujet ?Le verset 10 que nous citons souvent comme un verset clé évangélique nous en dit long. « Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal du Christ, afin qu’il soit rendu à chacun d’après ce qu’il aura fait dans son corps, soit en bien, soit en mal. » Quel jugement redoutable et impitoyable nous attend, au point qu’aucune faute et aucun péché ne sera négligé par Dieu et privé de ses conséquences.

Or, si Dieu nous dit, « je ne l’oubliera pas », personne parmi nous ne sortira indemne, sain et sauf. Nous serons traités redoutablement et impitoyablement selon tous nos maux publics et cachés. Pouvez-vous écouter à ce moment Dieu qui dit, « je ne l’oublierai pas. » Si on change ces mots bibliques : je ne pardonnerai pas celui qui ne pardonne pas à ses frères, en ces autres mots : Si tu n’oublie pas la faute de tes frères, je n’oublierai pas non plus tes fautes. Les conséquences seront graves et elles se révéleront lorsque nous nous tiendrons devant le tribunal du Christ. C’est la raison pour laquelle plus tôt nous oublions les fautes des autres, mieux le sera, non au profit des autres, mais au profit de nous-mêmes.

A la veille du jour où Jésus fut arrêté et crucifié, Jésus fut arrêté et crucifié, Jésus dit à ses disciples qui furent troublés : « Que votre cœur ne se trouble pas. Croyez en Dieu, croyez aussi en moi. Il y a beaucoup de demeures dans la maison de mon Père. Sinon je vous l’aurais dit ; car je vais vous préparer une place. » Le dôme de Cologne a commencé sa construction en milieu de 13e sicèle et elle dura plus de 3 siècle. On dit qu’au moment de son achèvement, le bâtiment a déjà commencé à subir la démolition. C’est le principe d’Entropie auquel toutes les choses du monde sont vouées. Mais nous savons qu’à la fin du temps, une demeure qui ne se détruit pas nous attend et là nous aurons de nouveau corps ressuscité et demeurerons éternellement avec notre Seigneur Jésus, et là il n’y aura pas de mort, ni deuil, ni tristesse. Il n’y aura pas de bombe atomique, ni tsunami, ni radioactivité. Tous nos larmes seront essuyés et nous louerons la gloire de notre Seigneur Jésus du matin au soir et cela sans fin. « Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ qui, selon sa grande miséricorde, nous a régénérés, par la résurrection de Jésus-Christ d’entre les morts, pour une espérance vivante, pour un héritage qui ne peut ni se corrompre, ni se souiller, ni se flétrir et qui vous est réservé dans les cieux. » Allélouia !

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