Divine comedy
The story of Balaam in Nb 22-23 is very pleasant. This character will make laugh. Meanwhile, the donkey Balaam speaks and this one tells the blessing while the enemy in front of him with gifts in hand were waiting for the curse. Balak was angry when from the mouth of Balaam came constantly words of blessing. It seems there is no more cheerful story in the Bible, perhaps second after the story of Jonah. Balak led Balaam in three different locations, but it continues to bless Israel. The king was very embrassed.
Our God is the God who laughed and make laugh as he laughed Sara because of her unborn son. He laughed Jonas by growing castor root.
But in fact, to Balaam, it was not a funny story. It was a very critical story for him, because he was the prophet, but he was somehow sold by the desire for wealth and power. He allowed himself to have these things, and now he's stuck somehow in an impasse from which he can't withdraw.
But they say that even if the sky is falling, there is a hole to get out. Before the king and the chiefs of Moab, he began to recover. How? By God's help he was able to overcome his fear and challenge by faith. God has not given us the spirit of fear, but of power and love and wisdom says 2 Timothy 1: 7. Balaam stood before God and he received the word and with his firm decision of the same kind of Esther, "If I perish, I perish" he advanced towards the king. Then, like Paul, he transmits what he had received from God, the living word of God. That works! Despite the king's anger, he was unscathed. But at the end of the day, apart from all those things that are key to the victory of Balaam, the basis of all this is clear. It's that Balaam, when he heard the voice of the donkey and the voice of the angel of the LORD, repented. A soul deeply repented cannot be overcome by the world. It offer a victory.
Divine comédie
L'histoire de Nb 22-23 sur Balaam est très plaisante. Ce personnage va me faire rire. Entretemps, l'ânesse parle et Balaam raconte la bénédiction alors que l'ennemi en face de lui avec les cadeaux à la main attendait la malédiction. Balaq se mit en colère alors que de la bouche de Balaam sortaient sans cesse les mots de malédiction. Il semble qu'il n'y a pas d'histoire plus rieuse dans la Bible, peut-être deuxième après l'histoire de Jonas. Balaq conduit Balaam dans les trois endroits différents, mais il continue de bénir Israël.
Notre Dieu est le Dieu qui rit et qui fait rire, comme il a fait rire Sara à cause de son fils à naître. Il a fait rire Jonas par la racine de ricin croissante.
Mais en fait, pour Balaam, ce n'était pas une histoire amusante. C'était une histoire très critique pour elle, car il était le prophète, mais il a été en quelque sorte vendu par le désir de richesse et de pouvoir. Il se laissa avoir par ces choses, et voilà maintenant il est coincé en quelque sorte dans une impassé d'où il ne peut se retirer.
Mais on dit que même si le ciel s'écroule, il y a un trou à s'en sortir. Devant les roi et les notables de Moab, il en vint à se ressaisir. Comment? Par l'aide de Dieu, il put surmonter sa peur et défier par la foi. Dieu ne nous a pas donné l'esprit de timidité, mais de force et d'amour et de sagesse dit 2Ti 1:7. Balaam se tint devant Dieu et il reçut la parole et avec sa ferme décision de la sorte d'Esther, "si je périt, je périrai" il s'avança vers le roi. Puis, comme Paul, il transmet ce qu'il avait reçu de Dieu, la parole vivante de Dieu. Voilà ça marche! Malgré la colère du roi, il sort indemne. Mais en fin de compte, à part de tous ces choses qui sont les clés de la victoire de Balaam, la base de tout cela s'avère clair. C'est que Balaam, quand il entendit la voix de son âne et la voix de l'ange de l'Eternel, s'était repenti. Une âme repenti profondément ne peut être surmonté par le monde. Elle est victorieuse.
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